Izildur repart

Plusieurs jours s'étaient écoulé pendant lesquels il était rester au pres de sa femme laissant le boulot a ses conseillers... puis un soir ou il décida de discuté avec ses conseillers pour savoir ou en était la situation de l'Arnor, et tous furent d'accord qu'il était grand temps de ressucité l'Arnor, premierement aller reprendre Fornost, deuxiement il faudrais des seigneurs respectif aux autres cité puisque Izildur ne peut vraiment pas s'occuper de toutes ses citées en meme temps, surtout avec toute l'aide qu'il apporte au Gondor... mais il allait commencé par Fornost et s'occupé du reste apres... le soir meme il dit a ses conseillers de réunnir les hommes nécéssaire pour la reconstruction de Fornost...

Le lendemain matin il se leva beaucoup plus tot que sa femme et laissa une lettre sur laquelle il était ecrit: Bon Matin, je t'écrit ce petit mot pour te dire que je suis partie reprendre Fornost et tenter de réanimer l'Arnor puisque les seigneurs ne semble pas presents, ne t'en fait pas pour moi je vais revenir saint et sauf.

cordialement, ton amour, Izildur.

Comme demandé le matin il vit devant l'entré d'Annuminas 35 000 cavaliers et 15 000 ouvriers tous a cheval, ils partirent donc en direction de Fornost

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Je me réveilla quelques heures plus tard, tellement j'étais fatiguée de ce que j'avais du accomplir quand Izildur était au combat puis je trouva le mot qu'il m'avait laissé sur la table de chevet de notre chambre. Doucement, je l'ouvrit et y lu ce qu'il y avait d'écrit. Je soupira par la suite et je replaca le mot en place. Puis je me dirigea ensuite vers la fenêtre de la chambre et je regarda le soleil qui éclairait notre cité, ou plutot celle de son père. Je soupira a nouveau mais je ne pouvais pas rester ici indefiniment alors j'alla me changer dans une robe bleu que Vyvial m'avait fait faire chez les elfes puis je me dirigea ensuite vers l'extérieur de la chambre, vers la salle du trône pour savoir les nouvelles des royaumes environnants.

Izildur revint au galop, les soldats qu'il avait preparer était en train de faire ce qu'ils devaient faire de leur journé tout en étant preparer a devoir partir au plus vite, aussitot qu'il arriva les gardes lui ouvrirent les portes et il envoya plusieurs de ses soldats aller avertir, apres ne serais-ce que quelque minute tout les soldats qu'il aurais besoin étaient la, c'est-a-dire 40 000 cavaliers, puis il leur expliqua la situation de sa voix fortes et hautes qu'il utilise a chaque fois qu'il parle a ses soldats, on pouvait l'entendre un peu jusque dans le chateau

- Nous avons reprit Fornost grace aux renforts qui ont bien voulu nous venir en aide!!! c'est a dire Les ents les elfes et les humains de plusieurs endroits différents!! Mais des renforts ennemi vont surement arrivé bientot alors nous devons faire au plus vite!!! les renforts alliers sont encore sur les lieux mais nous devons les aidé a proteger notre cité!!! et plus d'hommes pour reconstruire ce qui a été perdu est toujours d'une bonne utlité!!! Aller!! on y vas!!

Sur ce Izildur fit demi-tour avec son cheval, Phénix, et partie au galop suivit de ses soldats

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Moi qui me trouvait sur une des terasses du palais vit et entendit clairement la voix de mon mari Izildur proclamer très haut et très fort qu'ils avaient réussis a reprendre Fornost. Je l'écouta attentivement puis le laissa repartir sans essayer de me lever. De toute facon, sa ne m'aurais pas tellement servi a grand chose vu le peu de temps qu'il a utiliser pour venir, réclamer ses hommes, annoncer son message et repartir. Je détourna donc mon regard sur la table de repas a laquelle j'étais assise a coté de mes conseillers. Pourquoi je les avait invités? Pour profiter de la paix et de la tranquilité tandis que nous étions en mesure de la poséder, si rare et si peu présente malgré elle. J'avais hate que nous puissions avoir plus de temps a nous et moins de dérrangement de la part de nos ennemis car j'avais hate de pouvoir avoir mon mari pour unpeu plus de temps que deux jours.

Après plusieurs heures de voyage, nous arrivames en vue de la cité d'Annuminas, lieu de notre prochain arret et de l'avant dernier arrêt que j'aurais a faire avec Bellerophon. C'est d'ailleurs sur lui que je portait mon reggard en ce moment.

-Nous n'avons plus le temps d'attendre a savoir si ils peuvent nous recevoir. Je vais donc venir avec toi tout de suite cette fois comme Sasha d'ailleurs si nous voulons partir le plus tot que possible.

J'attendais cette heure fatidique ou nous allions finalement arriver a Nevrast, ce serait la derniere fois que je reverais Bellerophon avant un long moment. J'aurais aimé qu'il vienne avec moi mais avec la nouvelle en plus de Myria qui était en danger, je ne pouvais faire autrement que de le renvoyer a Forêt Noire pour veiller sur elle en mon nom. Puis nous fimes repartir nos chevaux au galop pour arriver devant les portes de la ville ou deux gardes nous arrêtèrent.

-Qui êtes vous?

En fait, comme je m'etais cacher le visage et que Bellerophon se faisait souvent prendre pour un cavalier noir malgré son masque blanc-gris dans le visage, je m'attendais a ce genre de question de leur part. C'est alors que je laissa voir mon visage et qu'ils s'inclinerent devant moi.

-Pardonnez-nous...

-Vous n'avez rien a vous faire pardonner. J'aimerais par contre qu'on annonce aux souverains des lieux que je nous sommes ici maintenant.

-Tout de suite seigneur.

Puis le garde semblant le plus expérimenté des deux s'en alla parler a la princesse Elena.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon posa son regarda sur la capitale de l'Arnor puis regarda Legolas.

-C'est compris, nous y allons...

Puis les chevaux se mirent en route et ils arrivèrent devant les portes de la ville ou des gardes les arreterent. Bellerophon ne dit pas un mot car il semblaut que les gardes savaient deja qu'ils parlaient au prince de Forêt Noire. Il resta donc en retrait en attendant de savoir ce que les gardes allaient leur donner comme réponse. Il reposa son raggard sur Sasha, se demandant ce qu'elle pouvais bien faire avec eux car après tout, lui ne la connaissait pas alors c'etait bien nomale qu'il se pose des questions.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Je discutais tranquillement avec mes conseillers quand un garde arriva vers moi. Il semblait tout essoufflé et transportait une grande nouvelle pour moi.

-Princesse Elena, le prince Legolas se trouve au portail nord de notre cité accompagné de deux autres personnes. Il demande l'hospitalité pour la nuit, pour lui et pour ses deux compagnons. J'attends de savoir la réponse que je me devrais de leur transmettre.

-Non laissez, je vais aller de moi-même a leur rencontre, inutile de vous troubler pour ceci. Je vous remercie par contre grandement de ce message et allez vous reposer maintenant, vous semblez tout essoufler.

Je permis donc a mon garde de se rendre dans ses quartiers tandis que je me dirigeais vers le portail qu'il m'avais indiquer. Je vis avec joie qu'il disait vrai et que Legolas se trouvait bel et bien en ces lieux.

-Bienvenu a Annuminas, Legolas, fils de Thranduil. Merci de venir nous voir et je vous accorde ce que vous me demandez avec grande joie.

Maintenant, je portais plus mon attention sur les deux autres personnes qui accompagnaient Legolas. Je reconnu tout de suite Bellerophon car j'avais souvent entendu parler de lui et c'étais pour moi un honneur de le rencontrer. J'inclina donc la tête respectueusement vers ce dernier.

-Bienvenue a Annuminas, chevalier Bellerophon. C'est pour moi un immense honneur que de vous recevoir dans ma demeure.J'espère que votre séjour vous plaira.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon regarda la princesse et retira son masque.

-C'est un immense plaisir pour moi aussi princesse mais ne vous en faites pas, je peut être heureux dans la plupart des endroits car je sais me contenter de peu. Je suis certain que ma visite sera agréable et je ne m'en ferrais pas pour sa si j'étais a votre place.

Bellerophon resta unpeu plus loin afin de laisser Legolas terminer les dernieres choses a completer avec la princesse avant qu'ils ne puissent organiser leur nuit a Annuminas.

-Je ne voudrais pas parraitre pressé ou quoi que ce soit mais nous avons une longue route encore et nous avons a peine dormis lors de notre dernier arrêt.

Je devenais unpeu plus grincheux de jour en jour, chose qui ne me plaisait pas mais que je ne me battais pas pour arrêter, étrangement. Je regardait Elena puis une fois que tout fut prêt, je monta sur mon cheval et incita les autres a me suivre.

-Je vous remercie encore et je suis vraiment désolé du mauvais comportement que j'aie eu envers vous au portail. Je suis juste tanné et j'ai hate que ce que je m'en vais faire se termine au plus vite pour que je n'en entende plus parler.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Une fois dans le palais, je me retourna vers mes invités et répondi a Legolas:

-Oh non ce n'est rien, je suis certaine que je ne serais pas tellement mieux si je n'avais pas dormis pendant des jours. Ne vous en faites pas Legolas, je comprends très bien et je suis encore plus grincheuse le matin. En tout cas, changeons de sujet si vous le voulez bien. Vous trouverez des chambres au bout du corridor, une pour chacun d'entre vous, je crois que nous ne devrions pas avoir de problème de ce coté la. Si vous avez besoin de quoi que ce soit vis a vis mes servantes, ne vous gênez pas.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 168 Date d'inscription : 15/04/2007

Le second garde, celui qui étais rester alors que son compagnon allait chercher la princesse pour la prévenir de l'arrivé de Legolas arriva lui aussi essoufflé par sa course folle vers le palais.

-Princesse, des soldats se trouvent a l'extérieur des portes de la ville. Ils ne sont pas ennemis mais semblent très ammochés physiquement.

Ce ne pouvais être que les chevaliers de Laesonif qui venaient voir si Legolas allait bien. Comme il n'avais pas donner signe de vie descente a Doriath, ils avaient commencer a s'inquiéter de ce qui se passait avec lui.

-Ils demandent permission de voir le prince Legolas et le Chevalier Bellerophon. Dois-je les laisser entrer?

Je regarda Elena puis ensuite le garde qui venais d'arriver, m'annoncant la venue des chevaliers de mon ami.

-Faites les venirs si ils souhaitent me voir. Je suis tout disposé a les recevoir si la princesse Elena est d'accord avec ca.

Comme la princesse etait d'accord(desoler si tu ne l'etais pas), les chevaliers finirent par arriver. Je vis avec dégout ce qui etait arriver a certains d'entre eux: des bandages, des cicatrices non-completement guéris, mais qu'est ce qui avais bien pu leur arriver? En fait je le savais mais si ils étaient comme sa et que d'après Bellerophon, ils n'avaient subis aucune torture, bien je pouvais en partie m'imaginer a quoi ressemblerais mon ami, chose que je trouvais d'ailleurs triste.

-Messieurs, je suis content de vous savoir tous en vie mais il me semble qu'il en manque plusieurs d'entre vous. Que leur est-il arriver?

Les chevaliers se regarderent puis poserent leur regard sur Legolas.

-Seigneurs, ils sont toujours a Doriath. Nous sommes simplement ceux qui ont "Guéris" plus vite si nous pouvons le dire. Les autres viendrons peut etre bientot.

A ces mots, je sentis mon coeur battre moin vite. Je pensait pendant un instant que les autres chevaliers etaient mort de leur blessueres a Doriath et je me sentais sur le coup soulagé.

-Vous reprennez donc la route d'Edhellond? Je suis ravis pour vous. Vous transmettrez mes amitiés a votre princesse tandis que vous serez a ses cotés. Je ferrais ce qui est en mon pouvoir pour sauver votre roi.

Dans une main cachée, je gardais l'anneau de Cirdan a l'insu des 30 chevaliers qui se trouvaient devant moi.

Izildur revint de Fornost avec son cheval bien aimé qui méritait du repos apres tout le travail qu'il a fournit, il se fit ouvrir le portail a son arrivé, et meme chose pour les portes de la cité, il alla porter son cheval dans les écuries et laissa les servants s'en occupé car il avait hate de revoir sa femme, il se dirigea vers le palais et s'arreta net lorsqu'il vit qu'une foule s'était formé devant deux persones qui semblait importantes, mais de ou il était il n'arrivait pas a les reconnaitres, il avait la main sur la garde de son épée et avança lentement, il s'arreta a environ 2 metres derriere la foule dont les gens semblaient blesser a plusieurs endroits, il se posait vraiment des questions, puis il dit:

- Quelqu'un peut m'expliqué qu'est-ce qui se passe ici !?

Tout ceux qui connaissait Izildur pouvait facilement le reconnaitre a sa façon de parler, sans compté son armure bien a lui et sa posture toujours droite et haute. Il attendait la reponse de quiconque étant present et connaissant la reponse

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Je regardais le prince Legolas s'entretenir avec les chevaliers quand soudain me vint aux oreilles une voix que je connaissait bien. Dure de ne pas reconnaitre la voix de celui ou celle, dans mon cas celui qu'on avais épousé.

-Izildur!

J'alla vers lui et je le serra dans mes bras.

-Je suis contente de te revoir. Ce qui se passe ici? Le prince Legolas ainsi que Bellerophon et une mystérieuse dame nous ont demandé l'hospitalité pour cette nuit. Maintenant les hommes que tu voies ici sont des membres des chevaliers d'Edhellond d'après ce que je peux voir sur leur armures et sur leur drapeaux. Je ne penses pas qu'ils avaient prévus de passer la nuit ici mais si ils en ont besoin, tu aurais quelque chose contre sa mon amour?

-Nous ne resterons pas, nous voulions tout simplement verifier que le prince etait en route car a Doriath, ils commencaient vraiment a s'inquieter. Mais maintenant que nous savons ou il est, nous pouvons maintenant partir.

Puis c'est ce qu'ils firent. Chacun vint pour ma saluer et je leur repliqua un salut aussi mais je n'avais pas le meme espoir malgré l'anneau que Cirdan m'avais donner dans mes yeux que celui que je pouvais lire dans les leurs. Je me disait de plus en plus que cette mission ne finirais jamais et plus les gens placaient de l'espoir en moi, plus j'avais de poids sur les épaules. Je savais que je ne serais pas le seul dans cette position si il devait arriver quelque chose de semblable a quelqun d'autre mais n'empeche que cette situation me rendais inconfortable. Je posa ensuite les yeux sur Bellerophon alors que les chevaliers quittaient la salle uns a uns. En elfique, ce qui eut pour resultat qu'uniquement lui, moi et Elena pouvions comprendre, je m'addressa a lui.

-C'est notre dernier arret tout les deux, j'aimerais que tu vienne me voir malgré le fait que je vais deja dans mes appartements. Je ne me sens pas bien et je crois bien que tu sais pourquoi.

Sans attendre sa réponse, je m'en alla des lieux sur le champ, prennant a peine le temps de saluer Izildur au passage. J'entra dans ma chambre et je me jetta ensuite sur le lit puis je m'endormit tout de suite tellement je me sentais fatigué. Pourtant il y avait encore quelques rayons de soleil qui percait a travers les nuages de l'Arnor mais ca ne m'empecha en rien de dormir.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon suivait de prèes ce qui se passait dans la salle du trone de Annuminas quand Legolas lui dit qu'il ne resterais pas plus longtemps. Bellerophon se sentait triste en quelque sorte que Legolas parte bientot et qu'ils n'aient pas le temps de parler unpeu avant ce départ mais quand il lui dit de venir le rejoindre, il se sentait déjà mieux. Bellerophon alla racompagner Sasha dans sa chambre et alla rejoindre Legolas.

-Je suppose que je peux au moin te souhaiter bonne nuit...

Pour le moment, c'était tout ce qu'il pouvais dire car il ne savais pas les raisons qui avaient pousser Legolas a l'appeler dans sa chambre.

-Je suis aller accompagner Sasha dans sa chambre pour qu'elle puisse prendre du repos et qu'elle ne se sente pas perdue demain matin a cause d'un éventuel manque de sommeil. Il ne reste plus que nous deux debouts et les gens dehors evidemment.

Je posa le reggard sur mon apprenti en souriant.

-Laisse faire cette partie, tu parles trop mon cher. Assis-toi s'il te plait.

Je lui désigna une chaise posée près d'un bureau de la chambre et lui fit signe par la suite de venir la porter près de lui et de s'y assoir.

-Nous ne pourrons certainement pas parler le même temps que la dernière fois mais j'ai quelques mots a te dire car j'ignore si une fois a Nevrast, nous en aurons la chance de nous les dire. Bellerophon, je part bientot et je sais que tu m'a dit de ne pas désespérer et que je ne devrais pas non plus avec le cadeau du père de Myria, Cirdan mais je ne puis combattre ce qui me ronge maintenant depuis que je connais le lieux de ma prochaine destination. Je ne voulais pas te faire passer au travers de tout ceci mais tu es maintenant la seule personne envers qui j'avais confiance pour prendre le trone si quelque chose de mal devait arriver. Avant notre départ, et je sais que tu vas me dire que ca devrais être passé maintenant, j'ai eu la "Merveilleuse idée" de m'addresser a toit de facon injuste et bête et je veux que tu saches que je m'en excuse de tout coeur et j'espère que si je m'en sort, je pourrais m'éffacer ce mauvais souvenir de la tête. Tu as été pour moi sans doute une des deux seules personnes qui m'aie vraiment donner l'impression d'être père car tu ne t'es pas rabaissé aux insultes de quelqun de la famille ou tu n'a pas insulter qui que ce soit, pas de ce que je sache en tout cas. Pour ceci, je t'en suis éternèlement reconnaissant Bellerophon.

Je baissa ensuite les yeux.

-Bonne chance dans ta vie futur et prends soin de ceux que je n'aurais pas eu la chance de garder auprès de moi.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

-C'est vrai, je ne voulais pas le role que tu m'a donner car je ne suis pas la meilleure personne pour le prendre. La raison pourquoi je l'ai accepter n'est pas parce que tu restes mon supperieur qu'importe ce qui arrivera, mais parce que tu me l'a demander et que jamais je n'ai su te dire non Legolas. Je peux plus rien te dire sur le fait de desesperer ou pas, car tu dis toi même que tu n'arrives pas a garder confiance. Je ne sais plus quoi te dire pour te remonter. Essaie, car nous savons que tu ferra ce que tu pourra pour ceux que tu aimes. Je nous recommande moi-meme de ne pas passer le même temps qu'avant a parler car ton combat approches bientot, très bientot et que tu dois menager toutes les forces possibles. Bonne nuit Legolas.

Je regarda Bellerophon, toujours la tete basse. J'avais perdu mon espoire mais lui seul pouvais me faire garder une partie de ce que j'avais perdus. Une fois que Bellerophon avait quitter ma chambre, je me roula dans mes couverture, toujours une boulle dans le fond de la gorge puis je m'endormis tout de même assez tard après ca. Le lendemain, j'avais pas passer une si bonne nuit a cause des images de Laesonif et Myria qui me hantaient a chaques minutes que mon rêve me donnait l'impression de passer. Je me dirigea vers mes effets et m'equipa puis j'alla reveiller mes compagnons. Puis je laissa une bourse de paye sur une des tables de ma chambre. sans doute Annuminas avait deja leur propres coffres mais je voulais les remercier a quelque part. Par la suite, je me dirigea vers les ecuries et nous quittames le dernier royaume des hommes que nous verrions avant un moment.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Je me reveilla le lendemain, par le bruit que faisaient les chevaux de Legolas, Bellerophon et sasha en s'en allant. Je savais que j'avais manquer leur départ mais je n'en était pas aussi triste que les autres l'avaient étés quand legolas fut partis de leur villes car je ne le connaissait pas assez pour le pleurer. Je me dirigea donc vers ma garde robe et je me changea en habit plus de jour que ceux que j'avais en ce moment même. Puis je me dirigea dans la salle du trone ou je pouvais y retrouver ensore une fois mes conseillers. pour l'instant, je laissait Izildur dormir, lui qui avait deja combattus assez longtemps et qui meritais maintenant son repos.

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