De Gondolin, la reine Ancalime avait fait quérir une centaine de guérisseurs. De la main de chacun avaient été sauvées des centaines de vies. Car les guérisseurs de Gondolin étaient des maîtres dans le savoir de la médecine, que leur reine leur avait enseignée. Car la magie des Valar est sans faille. Donc, cent cavaliers quittèrent la belle ville elfique de Gondolin. Ils passèrent par maintes forêts et monts rocheux. Lorsqu'ils arrivèrent dans le royaume des descendants de l'ouistrenesse, la soleil brilait de tout son éclat. Les elfes étaient habillés en bleu nuit, avec de fin motifs argentés sur les bords de leur maches. Au milieu étaient marquées les armoiries de Valinor. Les chevaux forts et rapides appartenants à la Valië frappaient le sol du Gondor de leurs sabots blancs. Le sol grondait sous leurs pas. Ils arrivèrent dans le pays d'Anorien et le traversèrent. Ils pénétrèrent dans le Pelennor. Des milliers de cadavres étaient entassés sur le sol. Qu'ils soient porques, elfes ou hommes. L'odeur pestilentielle qui y régnait était insuportable. Avant de la peste ne croisse, le héraut de la dame de la lumière ordonnèrent aux villageois qui venaient de rentrer d'enterrer les corps des hommes du Gondor pret de la nécropôle, plus loin dans les montagnes. Ils leurs dirent de mettre les elfs sur les chariots, car ils s'en occuperaient eux-mêmes. Quant à ceux du Rohan, il fuadrait les enterre selon la tradition de la marche, avec les lances plantées dans le tertre. Ils leurs dirent aussi de bruler les orques ave soin. Ils poursuivirent leur chemin dans la cité. Les murs et les habitations en pierres blanches étaient ébrêcchés. Le spectacle étaitmorne. Le sang coulait depis les hauts de la cité, rouge mêlé de noir. Les sabots des chevaux frappaient le sol pierreux. Ils arrivèrent au sixième étage. Ils parvirent aux maisons de guérison. Les guérrisseurs de Minas Tirith furent enchantés. Le héraut dit alors:
- La reine de Gondolin et princesse de Valinor Ancalimë nous as envoyés ici. Car l'heure est grave.
Les elfes se mirent au travail. Usant de leurs outils propres et de potions emportées avec eux, de pansements, d'herbes médecinales et d'un peu de savoir, ils pavirent à remettre sur pied beaucoup d'hommes. Certains gravement atteints de l'ombre noire furent perdus. Car seul le roi ou encore les grands seigneurs elfiques sont encore capables de cela.