Izildur, qui avait subit quelques attaques de temps a autres, surtout a Fornost. mais qui depuis un certain temps avait pu profité du repos. N'était pas sur son throne a l'étonnement de tous, mais sur son lit. Il faisait la grâce matinée, il sentait que cela n'allait pas s'éternisé. Et il avait raison, il s'en rendit bien compte lorsqu'il entendit quelqu'un courir vers sa chambre, et donné au moins 5 coups a la porte de sa chambre, 5 coups pressés. 5 coups qui ne pouvaient attendre d'être repondu, Izildur se leva donc, il était habillé, forte heureusement. Puis il ouvrit la porte, un éclaireur, comme il s'en doutait, et comme il n'esperait pas, mais cela lui ferait du bien. Il faisait cela pour lui seulement, personne ne le forçait. L'éclaireur lui dit
- L'union des peuples libres se sont fait prendre 3 cités du coups!! N'étant pas prêt a subir un assaut, Cair Andros, Linhir, et Nargothrond ont tombé. notre groupe ont vue un campement militaire au drapeau de Cair Andros et autres cités du Gondor, a Anfalas. Ils ont aussi envoyé des troupes a Cair Andros, nous ne savont pas si elles vont suffir a la reprendre. Ah et désolé de vous avoir dérangez
Izildur l'écouta avec attention, la situation était plus grave qu'il le pensait, il fit signe a quelques servant dans les corridors d'aller lui chercher ses armes et son armurie. Puis il repond au messager se trouvant devant lui.
- C'est bon, aller avertir les généraux, que nous prenons tout mes hommes. Dites leurs que c'est une prise de cité a vrai dire une reprise d'une cité apartenant il n'y a pas si longtemps au Gondor. ils vont savoir exactement quels effectifs preparé, selon mes exigences et mes habitudes pour les prises de cité.
Ses serviteurs apporterent son armure et lui mirent, ils partirent donc apres environ une heure le temps que les hommes se preparent, pour Anfalas. 150 000 hommes a la disposition d'Izildur, il décida de ne pas demandé a son frere de venir avec lui afin qu'il puisse s'assuré des défenses, et il envoya un messager l'avertir qu'il partait avec la totalité de ses soldats a lui