Replie a Minas Tirith

Moi et mes elfe de Gondolin fondit dans les rangs des orques et se dirrigérent droit vers Minas Tirith c' est armée était peut étre moins nombreuse qu'' au début mais quand il passérent dans Osgiliat il fut surprit de les voir. Arrivé au porte de Minas Tirith il ralentit leurs vitesse, j' était surpris d' avoir atteint Minas Tirith en aussi peu de temps mais il avait aussi du se reposer un bon nombres de fois pour se reposer a s' occuper des blesser les plus grave. J' interpella un garde et je lui dit

Ouvrais nous la porte, on vient de Minas Mogul et on voudrait se reposer a Minas Tirith jusqu' a que nos blesser puisse reprendre la route vers Gondolin

Il attendit que la porte s' ouvre ou qu' un commandant vienne me parler, mais rien, comme si c' était une statue cela l' inquiéta beaucoup, les blesser les plus grave n' allait pas vivre lontemps si il voyais pas un guériseurs très vite des soldats elfique les maintenait en vie mais cela allait pas durer longtemps car même si c' est des elfe il ne sont pas imortel il peuvent mourir de ses blessures comme les hommes.

Adarion le capitaine de gondolin entendut parlait du reour de gi-galad il allat voir les guerriers et chercha gil-galad.

Il le trouvat l'aidat à s'assoir et lui dit:

mon seigneur vous ete en vie,ma joi et immense,vous-les vous manger boire ou quelque chose,je vous l'apporterez,vous-les vous que je préviennent Tyrion et que j'aillent chercher un carosse pour que la route soit plus agréable. Mais en attendent reposer vous.

Puis il souriat a son seigneur et s'inclinat devant son seigneur

P'tit Nouveau Nombre de messages : 255 Date d'inscription : 05/06/2008

Gandalf fut surpris de l'arriver soudaine du chef des elfes du Gondolin .Gandalf arriva devant Gil-Galad .Il lui tapota sur l'épaule car celui-ci était à genoux et à bout de force.

'Bienvenue mon ami .Mais que vous est il arriver ?"dit il d'une voie discrète" Vous avez était pris d'un surnombre .

Gandalf fit un sifflement .Grispoils ,son cheval arriva sur le champ en traversant Minas-Thirit .Gandalf regarda Gil-Galad .

Ne bouger pas ,mon seigneur ,je vais essayer de voir plus claire .

Sur c'est mots ,Gandalf partit au galop .Il descendit Minas-Thirit à un vitesse qu'il était arriver en bas en un rien de temps devant la porte principale .

Il monta sur les rempart au dessus de la porte et regarda au loin .Il remonta voir Gil-Galad

Gandalf appela des gardes pour mener les soldats de Gil-Galad et le roi dans des chambres pour qu'ils puissent se reposer .Les garde arrièrent devant le roi des elfes .

Mon seigneur ,si vous et vos hommes le voulait bien suivait moi je vais vous mener à vos chambres .

( Je ne suis toujours pas rentrer dans Minas Tirith et j' ai toujours pas expliqué se qui s' est passé )

Gil Galad vit le générale de Tyrion arrivait. Il fit rentrer ses troupes dans Minas Tirith et dit a cette personnes

Je veux vous parler seule et pas devant les oreille indiscréte cela et une haute importance.

Il fit suivres le générale de Tyrion dans un endroit ou personnes ne pourais parler et ces soldats eux allait un peu dans tes auderges ou dans les maison de quériseurs. Des qu' il eut fermé la porte il dit a son génarale

Voila se qui s' est passer, on as attaquer Minas Morgul et la Ancalimë a était enlevait pas un nazgul, ensuite les trois quarts de l' armée de l' aliance sont partie de Minas Morgul moi et notre armée et rester pour répares Minas Ithil et pndant cette réparation on as était attaquer la un combats terible commenca.

Il se tut et laissa son interlocuteurs comprendre se qu' il c' était passer et surtout il attendit la réponse de cette personnes.

Invité

An loin ,dans les plaines du Gondor et tout particulièrement dans les champs de Pelenor ,Aragorn galopait sur Arod son cheval ,en direction de Minas-Thirit .Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait point vu ,mais tout semblait être normale .Il arriva devant la porte de Minas-Thirit qui se dressait face à Pelennor .Les garde présent sur le rempart lui ouvrit immédiatement la porte ,et une fois entré il fut accueillit avec tout le respect qui lui est dut .Il amena Arod à l'écurie ,et s'asseya sur un tapis .Il bu une gorgée d'eau dans un récipient arrondi ,et se mit en route pour le dernier niveau de Minas-Thirit .Il vit en marchant plusieurs elfes .Soit en trein de se reposer ou de se soigner ,car à en voir le visage il venait de faire une guerre .Il continua sa route au dernier niveau et une fois arriver ,il vit le roi des Noldors qui discutait avec un elfe ,et vit ensuite son vielle ami ,Gandalf le blanc .Il s'approcha de lui ,le salua et lui demanda d'une petit voie :

'Que font tout c'est elfes ici ?Que c'est il passait ?

Aragorn attendit une réponse du magicien,en regardant les elfes qui étaient autour de lui . .

Adarion regardat son seigneur avec beaucoup de d'admiration,puis il s'inclinat devant son seigneur et lui dit:

Mon seigneur,vous ete d'une grande bravour,je venais ici sous audre de Tyrion pour un plan d'attaque,mais tout change,reposer vous et puis nous repartirons pour gondolin une fois que vous serez retablis

puis,il attendis une reponse...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 255 Date d'inscription : 05/06/2008

Gandalf était toujours debout à regarder les elfes .Il se mit à marcher en direction des escaliers de Minas-Thirit .Il avança ,mais soudain un flash lui apparut Gandalf s'évanouissa et lorsqu'il se réveilla ,il se leva du lit ou l'avait transporté des hommes .Cette vision ;Gandalf savait se quelle voulait dire .Elle n'arrive qu'au magicien donc à lui et à son rival .Saroumane .Il fallait qu'il trouve l'artéfact qui la vue dans sa mission ,car elle avait une grande importance ,mais la ou elle se trouvait ,le lieu ou elle se trouvait ...la Moria cela faisait très très peur à Gandalf ; tout sa était bien dangereux mais il falait qu'il la trouve avant Saroumane .Celui-ci appela 6 hommes du nord ,dunedain .Il allèrent à l'écurie prendre leurs chevaux .Gandalf fit ouvrir la porte de Minas-Thirit est parti sur le champ avec ses compagnons .Il galopèrent pendant 2 heures ,mais la nuit tomba .Il faisaient un bivouac .Gandalf réfléchissa alors à la vision qu'il a eu .Il se leva ,et marcha un peu .C'est alors qu'il retomba par terre ,et dans sa vision il vit qu'il était partit .Et lorsque il se redressa son premier mot fut :

Saroumane !!!!

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

[HRP : Je me permet une intrution^^]

Faramir s'était afféré à quelques taches habituelles, comme chacun des jours passé en temps qu'Intendant, ce dernier se devait de s'assurer du bon fonctionnement de la cité et du soutient au Roi Aragorn. Alors qu'il était en présence d'un conseillé, Faramir fut interrompu par un garde, celui ci semblait avoir couru jusqu'à sa rencontre. D'une voix saccadée et essoufflée, il répliqua :

" Mon Seigneur...un groupe de...d'Elfes...du Seigneur Gil-galad...Ils sont...à la grande porte..

- Bien, dit-il en mettant sa main sur l'épaule du soldat, merci d'être venu me prévenir, retournez à votre poste, se retournant vers le conseille, Faramir reprit, nous reprondrons cette conversation plus tard, gardez bien tout ce qui a été dit en mémoire."

Puis, sans laisser le temps à son interlocuteur de répondre une quelconque réponse, Faramir couru en direction de son destrier et grimpa dessus d'un bon. Eperonnant celui ci, l'animal partit au galop vers la grande porte, dépassant le soldat qui repartait, d'un pas plus léger et tranquil qu'à sa venue, vers son poste de garde. En quelques minutes, Faramir arriva devant une masse toute relative d'Elfes, chacun d'eux étaient plus ou moins en mauvais état. Mettant son cheval de coté, il en descendit afin de l'attacher. Laissa sa monture brouter un petit fétu de paille tranquillement, Faramir arriva devant Tyrion, ce dernier était en pleine discussion avec le Seigneur Gil-galad. S'arrêtant à un mètre à peine des deux hommes, Faramir salua les deux individus d'un hochement de tête solennel puis rétorqua :

" Puis-je savoir de quoi il en retourne Messieurs ?"

Tout en disant cela, Faramir jeta un coup d'oeil furtif au reste des hommes amassés près de la porte, puis reporta son attention sur ses deux interlocuteurs, attendant une réponse de leur part...

Il entendit une personnes demandait quesqu' on fessait ici et lui il répondit

On est ici pour se reposer après notre replie de Minas Morgul, des que Minas Morgul tomba sous notre contrôle, les ourouk hai de Sauron attaqua Minas Morgul et la on tomba sous le nombres, no as du partir enfoncent dans l' armée ennemis et nous voila ici

Il dit sa a Faramir mais il écouta aussi une autre personnes qui demandait a Gandalf se que des elfe fessait a Minas Tirith se qui l' étonnas. Ensuite il dit au commandant de Tyrion

Un plan d' attaque, de quelle plan d' attaque vous parlez car je ne suis pas au courant de sa , vous pouvez m' en dire plus sur se propose .

Il attendit la réponse de ses deux interlocuteurs.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

Face aux deux hommes, Faramir fut très vite mis au courant. Il semblait que le Seigneur Gil-galad ai pris la décision de s'attaquer à Minas Morgul, ce qui n'était pas rien. Pendant un temps ce dernier avait visiblement pris le contrôle des lieux ennemis, mais se fut de courte durée, car le nombre d'orques ne devait pas être insignifiant, bien au contraire. Alors que Faramir écoutait le Seigneur Elfe faire un léger rapport, l'Intendant pris enfin conscience, dans tout ce désordre, de la présence de son Roi, d'un mouvement très fluide et rapide, il fit un quart de tour en sa direction et s'inclina humblement devant son Seigneur. Une fois les salutations de faites, Faramir reprit sa place face à son interlocuteur et le laissa finir son discours. Après un silence très court, Faramir répliqua :

" Vous êtes, évidemment, le bienvenue parmis nous Seigneur Gil-galad. Je vais faire en sorte que vous ayez de quoi vous loger et, surtout, de quoi soigner vos blessés."

Tout en disant ces mots, Faramir fit signe à un homme qui se situait à une dizaine de mètres de lui. Celui ci approcha à grande vitesse comme si le temps lui était compter à chaque fois qu'un Seigneur lui adressait la parole. Souriant en voyant le jeune garçon à moitié tremblant devant tant de Seigneurie, Faramir lui répliqua :

" Assurez vous qu'il y ai assez de place pour accueillir nos hôtes. Et prévenez autant de médecins que possible pour aider les gueriseurs Elfes."

Sans répondre la moindre chose, le jeune serviteur partit en courant afin de s'atteler aux ordres qu'il venait de recevoir. Repportant son regard sur Gil-galad, le Prince Ithilien reprit :

" Combien êtes-vous Seigneur Gil-galad ? Avez vous besoin de plantes ou autre concoctions pour vos guerisseurs ?"

Tout en attendant une réponse de la part de son invité d'honneur, Faramir fit signe à un second homme qui s'avança tout aussi rapidement que le premier auprès de l'Intendant. Fixant de nouveau son interlocuteur, Faramir rétorqua une nouvelle fois :

" Il nous faudrez un nombre précis si vous n'y voyez pas d'inconvéniant, pour que je puisse faire le nécessaire pour vous accueillir convenablement."

j' écouta attentivement l' intendant et je dit

On doit être a peu prés neuf mille cela est très peu effectivement et pour les guérisseurs il sont partie cueillir les plantes pour pouvoir soigner nos blesser il devrait rentrer demain, mais pour le reste sa peux encore allez.

Je repensait a tous se qui c' était passer depuis son départ de Gondolin et surtout je repensa au combats qui c' était passer a Minas Morgul depuis que j' était arriver devant, ensuite je regarda l' état de ses soldas sans même penser a mon état qui était assez grave, je n' avait pas ressentie les douleurs qu' avait fait plusieurs flèches et coup d' épée sur moi tellement que j' était en colère mais maintenant j' avait mal a ses endroit surtout a son épaule droite la j' avait reçu plusieurs flèches et coup d' épée. Dessous moi une flaques de sang ce formais de mon sang, je compensais a plus voir très clair et je cherchait un endroit ou me retenir mais je trouva rien. Je tomba évanouis par terre pour la raison que j' avait perdu beaucoup de sang. Des elfe s' approcha et s' inquiéta aussi beaucoup. Un guérisseurs elfe qui était pas partie avec les autre car il voulais surveiller l' état des soldats elfe.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

[ HRP : Gil essaye d'être plus fluide dans tes postes. Décris bien les actions de ton personnage et met des mots de liaisons entre chaque action que tu fais. Décris aussi les sentiments qu'il a, ce qu'il vois, ce qu'il entend, soit précis dans tes récits, ça sera d'autant plus réaliste^^]

Faramir fit un signe de main à son serviteur pour qu'il prenne, tout comme le premier l'avait fait, les mesures nécessaire pour la venue de neuf mille hommes. Fixant ce dernier l'Intendant répliqua :

" Faites en sorte que neuf mille hommes puissent tenir dans la cité."

L'homme partit sans dire un traitre mot en direction des appartements pour hôtes. Alors que Faramir reportait son attention sur le Seigneur Elfe, le Gondorien vit que son interlocuteur n'était pas dans un très bon état. Celui perdait beaucoup de sang et, au final, tomba dans un léger coma. D'un geste de la main Faramir fit signe à un guerisseur et à plusieurs Elfes qui arrivèrent sans perdre un instant. Fixant les compagnons du Seigneur Gil-galad, il répliqua :

" Faites le porter dans mes appartements, prenez ma chambre afin de le soigner immédiatement."

Tout en disant ses mots, Faramir fit signe de la main et de la tête à deux soldats en faction près de la grande porte. Ceux ci arrivèrent en trotinant et Faramir s'adressa à eux :

" Faites venir une sivière, et menez le à ma chambre. Tout ce que demanderont les guerisseurs doivent leur être apportés, est-ce clair ?

- Oui mon Seigneur !

- Allez-y !"

Sans attendre, les deux hommes partir à la recherche d'une sivière, au bout d'un peu moins de dix minutes, les deux soldats revinrent avec l'objet demandé. La posant près du corps du Seigneur Gil-galad, Faramir laissa les Elfes et leur médecins mettre leur supérieur sur la sivière et le mener, guider par les deux soldats, à la chambre de l'Intendant. Laissant les choses se faire pour son hôte de marque, Faramir se reporta ur les neuf mille hommes présents, puis il répliqua assez fort afin que tous entendent :

" Je suis Faramir, Intendant du Roi Aragorn et je vais vous demander de m'écouter avec attention ! Aujourd'hui vous venez de subir une lourde défaite, mais vous êtes toujours ici, et je ferais tout ce que je pourrais pour que vous soyez bien traités. En revanche je vais demander à tous ceux qui sont valide de faire monter les blessés dans les appartements afin qu'ils ne soient plus dans le froid et que les médecins puissent faire leur travail comme il se doit. Merci !"

Sans en ajouter plus, Faramir partit en direction de la garnison, située proche de la grande porte. Ouvrant les deux battant de celle ci, Faramir répliqua fortement :

" Soldats !! Vous êtes réquisitionnés pour venir en aide aux Elfes blessés ! Tous à la grande porte !"

Dans un mouvement qui pourrait facilement passer pour de la panique, près de deux cents hommes s'afférèrent à prendre leur effets et sortir de la garnison afin de se rendre au point de rendez-vous annoncé par leur supérieur. En l'espèce de cinq minutes, la grande porte fut envahie par des hommes en armure, venant en aide aux Elfes valident trop peu nombreux qui s'occupaient des blessés bien trop nombreux. Faramir faisait également tout son possible pour aider les nouvels arrivants...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 09/06/2008

Itachi se trouver dans les quartier supérieur de Minas-Tirit,il avait entendus que des elfe etait venus à Minas-Tirit,car il avait subit une sévère défaite,Itachi déssendit avec légèreter les escalier puis partispour voir se qu'il en était des blesser,sa robe trénés avec douceur sur le sol froid de Minas Tirit,arriver dans la cour ou se trouver les blésser qui etait transporté vers des appartement conforme pour les soigner.

Les visage des elfes parésser,crisper et à la fois soulager,des flaque de sang s'imaculer de partout,les médecin apporté les premier soins sur place pour les plus souffrant,

Puis il allat voir Faramir,et le trouvat un peu plus loin,puis il lui dit de la voix la plus calme:

Bonjour,faramir,que leur et'il arriver,je suis pose que la guerre à etait perdu

puis il attendit une reponse,mais il se douter de la reponse

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

Faramir était couvert de sang, ses vétements étaient devenus rouge foncés avec part endroit des taches noires montrant que le sang des blessés avait coagulés sur lui. Alors qu'il faisait tout ce qu'il pouvait pour mettre les blessés sur les sivière de fortunes, l'Intendant fut interrompu par Itachi, le Chef des Services Secrêts. Tout en continuant son travail de soutient, Faramir lui répliqua :

" Ces Elfes ont tentés de prendre Minas Morgul, pendant un temps ils ont réussis, mais au final, ils se sont fait repousser par le nombre trop important d'orques. Maintenant, le Seigneur Gil-galad est inconscient dans mes appartement, et neuf mille hommes sont dans cette cours. Malheureusement sur les neuf mille, à peine le dixième son en état d'aider les autres. J'ai donc fait appel à la garnison plus loin, mais nous sommes à peine plus de mille...D'ailleur, si vous pouviez nous donner un coup de main, ce ne serait pas de refus."

Cela faisait déjà quelque temps que Faramir et les hommes se donnaient corps et âmes pour aider les blessés, faisant des dizaines d'aller et retour entre la grande porte et les appartements. Mille cent hommes s'occupant de huit mille cent autres...
Une perspective bien malheureuse, ce qui devait une explication, pas tout de suite bien évidemment, mais une fois le Seigneur Gil-galad de réanimé, Faramir demanderait le pourquoi du comment de cette mission suicide sur Minas Morgul. Perdu dans ses pensées, Faramir se demandait ce qui avait bien put pousser un Seigneur aussi doué et conscient lorsqu'une bataille se tranforme en mission suicide comme Gil-galad à faire cette attaque. Reprenant conscience des choses importantes, Faramir fixa Itachi, dans son regard on pouvait facilement voir une certaine incompréhention, comme si dans les instants qui allaient venir Faramir allait s'éffondrer de chagrin face à tous les questionnement qu'il se faisait. Reprenant une grande inspiration afin de calmer ses nerfs, l'Intendant reprit :

" Bien, je vais aller rendre une petite visite au Seigneur Gil-galad. Je vous laisse la direction des choses ici Chef Itachi, coordonné les déplacements des blessés vers les appartements, je reviens d'ici peu de temps."

Tout en disant ses mots, Faramir partit en direction de son cheval et grimpa dessus en toute hate puis l'éperonna afin de lancer sa monture dans une course effrainée. Ce dernier arriva bien vite à ses appartements et, descendant de son destrier, Faramir entra dans sa chambre d'un pas sur et rapide. Se penchant auprès du corps insconcient de son hote, Faramir répliqua aux médecins :

" Dans combien de temps il sera sur pied ? Ou tout du moins conscient ?

- Je vais lui faire boire ceci, d'ici une petite dizaine de minutes, il devrait reprendre conscience.

- Très bien, faites donc."

Remuant sa mixture gris-verte, le médecin fit signe à ses assitants de s'approcher afin de maintenir leur Seigneur tête levée afin de lui faire boire le liquide. Malgré qu'il fut dans l'insconcient le plus total, le Seigneur Gil-galad bu instinctivement la solution verdâtre...
Ce dernier ne réagissa que par un léger toussotement, puis le médecin fixa Faramir et rétorqua :

" Voilà, il suffit d'attendre maintenant..."

Patiemment, Faramir attendit une quelconque réaction de la part du blessé...

"Milles tourments que j'avais subi dans les geôles de Sauron. Alors ils me jetèrent, sans raison devant la Porte Noire. J'étais très faible. Trop faible pour continuer. Alors mon ami Meneldor vint sur ses grandes ailes, et m'emmena haut en ses nids. Six mois, j'y demeurais inconsciente. Alors il me demanda où il fallait qu'il me dépose, et je lui demandais de m'amener à la tour d'Anor."

L'aigle descendit dans le Pelennor, et me déposa au sol. Je le remercia de cela. Ainsi, il avait aussi récupéré sur le champ de bataille mon épée, qui m'étais chère, et ma lance, celle qui avait transperçé Sauron. Son manche de métal s'était brisé en deux. On voyait la pointe conssumée.
Je n'avais rien dis depuis longtemps. Alors, à mon grand enchantement, un hennissement me vint, que j'aurais reconnu entre mille. Ravageur, destrier fidèle, descendant de la seconde lignée du destrier Nahar de Valinor.
Je le montai, parfaitement rétablie. Si il y avais une chose qui me frappait, c'était le fait qu'il se débrouillait toujours pour trouver sa nourriture.
Je traversai le Rammas Echor, et galopai dans le Pelennor. J'entrai par la porte, et traversait la Grande Cour. Je vis que mes hommes n'étaient pas dans les légions de Gondolin, et je devinais tout, sans que l'on me dise.
Mes soldats s'en étaient fut vers Valinor, lassés des caprices d'Endor.
Minas Morgul avait été abandonnée.

Gil Galad toussa après qu' il ait ait reçu cette drôle de mixtures et la il vit la tête de Faramr l' intendant du Gondor sela le surprit un peu et il dit

Ou somme nous et que ses t' il passer, je me de plus rien qu' a partir que je suis arriver a Minas Tirith et ensuite vous avez ordonnais de faire transporter les blesser mais ensuite j' ai un trous noirs.

Il était surpris mais aussi il avait peurs car Faramir pourrais le prendre pour un fou et croire que j' était partie a Minas Morgul seule et mon armée des qu' il lui poserais la question il lui expliquerai tous se qui c' est passer depuis le début du siège, mais il fut surtout étonner de Faramir n' est pas reçu la lettre qu' Ancalimë avait fait passer a tout les royaumes. Quand il repensa a Ancalimë il se demandait si elle était encore vivante et surtout si elle était encore dans cette prison de Barad Dur. Si seulement je serais rester au près d' elle tout seul a ne se serais jamais passer et Minas Morgul serais toujours entre nos main et non au main de Sauron. Ancalimë vas m' en vouloir s pendant très longtemps d' avoir laissé Minas Morgul au main de l' ennemis et on devrait peut être refaire une attaque.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 09/06/2008

Il regardat Faramir un petit instant comme si son esprit c'etait égarés dans ses pensée,puis il lui repond en tout calme:

Bien,je vais me charger de les mettre dans des lieu plus aproprier,je vais chercher les médecins du service secret,leur savoir en médecine et inégalable,

Puis il repartis vers ses quartier général,le pas légèrement préssés,au bout de cinq minute il arrivat,dans ses quartier,et demandat:

Bien,mais amis j'ai besoin de l'éscouade de médecins,sur le champs.

Bien sur Itachi,nous nous maitons en route sur le champs

Il repartir sur les lieu ou etait les blésser,l'éscouade des cinq médecins des service secret se mirent au travail sur le champs,Itachi enlevat sa robe pour aider un blesser,il l'amenat dans les appartement,ou il croisat Faramir,il le regardat de ses yeux rouge percant et lui dit:

Je viens d'aller chercher,mon équipe de soigneur,l'aventage et que il dispose de tout l'équipement nécéssaire,mais le problème et que nous n'aurront pas de médicament pour tout le monde.

Puis il déposat le blesser délicatement sur le lit...

La dame écarlate regardait stoïquement l’attroupement de soldats dans la cours inférieur. Elle était rentrée des havres gris il y avait quelque jours de cela et ne s’était pas attendue à revoir des elfes si tôt et encore moins ici… Assis en tailleur sur un promontoire, elle regardait les soldats tentant de soigner leurs camarades. Elle soupira avant de se lever. En temps que guerrière-guérisseuse, elle se devait de mettre son savoir au service de ces malheureux… Elle n’en n’avait pas vraiment envie mais si elle voulait éviter les contrariétés, mieux valait perdre du temps de cette façon. Elle prit des bandages et de quoi désinfecter les plaies des mains d’un soldat et commença à soigner un elfe. Le soldat à qui elle avait prit le matériel allait répliquer mais la rousse fut plus rapide :

« Je suis guérisseuse alors laissez moi faire… Regardez comme je fais et imitez-moi… »

Elle banda habilement la plaie de l’elfe à demi- conscient. Elle fit signe à deux gondorien de mettre le blessé sur une civière et de l’emmener loin d’ici. Elle regarda les elfes qui agonisaient tout autour d’elle… Elle eut un sourire pour elle-même…Elle aperçu le chef des services secret avec un blesser qui paraissait particulièrement grave. La brune eut vite fait de le rattraper en quelque enjambée féline. Elle le regarda déposer le blesser sur le lit et déclara :

« Laissez… Je m’en charge… »

D’un mouvement souple, elle se débarrassa de sa cape écarlate et remonta les manches de sa tunique. Elle s’approcha de l’elfe et observa, cherchant le nœud du problème. Elle trouva deux blessures. Une à l’épaule et l’autre sur le torse. Elle prit des herbe dans sa bourse et alla prendre un bol et les écrasa obtenant une pâte. Elle l’appliqua sur les blessures avant de les bander.

« J’ai fais ce que je pouvais… Il doit se reposer et boire de l’eau en suffisance. »

La brune se rinça les mains dans une petite bassine et les essuaya sur sa cape.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

Faramir imaginait tout les scénarios possible en ce qui concernait Minas Morgul. Seule la folie pouvait pousser quelqu'un à donner l'ordre de s'attaquer à cette morbide cité, surtout en sachant que celle ci était le siège du Roi-Sorcier, le plus puissant des Neuf. Alors qu'il était perdu une nouvelle fois dans ses pensées, Faramir en fut bien vite sortit par les paroles émisent par le Seigneur Gil-galad, ce dernier semblait être déboussolé. Ce qui n'était pas anormal vu ce qu'il avait enduré, et vu ce qu'il endurait encore actuellement. Alors que l'Intendant allait répondre au questionnement de son interlocuteur, celui ci fut interrompu par le Chef Itachi. Effectivement comme venait de le faire remarquer Itachi, les soins pouvaient être prodigués, mais pas la médication, ce qui était problèmatique. Repportant son attention au Seigneur Gil-galad, Faramir répliqua :

" Il semblerait que vos blessures fuent été bien plus grave que vous ne le pensiez. Je vous ai fais mener à mes appartements, au coté de certains de vos hommes. Tout les appartements sont réquisitionnés pour accueillir vos blessés, en attendant reposez vous, se retournant vers Itachi, Faramir reprit, pour la médication, faites parvenir un message aux Elfes et à Théoden du Rohan. Dites leur que des hommes survivants à la bataille de Minas Morgul ont besoin de soins dans les plus brefs délais et qu'il nous faut des médecins en nombre mais avant tout des médicaments."

Tout en se relavant du chevet du Seigneur Elfe, Faramir fit signe de la main aux médecins présent de s'occuper à nouveau du blessé. Se dirigeant vers la porte afin de retourner vers les hommes plus bas, Faramir s'arrêta dans l'entre-baillement de la celle ci et reprit :

" Ah ! Et n'oubliez pas de préciser que le Seigneur Gil-Galad a été touché mais qu'il s'en remettra. Cela devrait rassurer les Elfes..."

Puis il quitta ses appartements recemment changés en hôpitale. Descendant dans la Grande Cours, Faramir croisa plusieurs de ses hommes qui salua d'un hochement de tête et, ce voulant rassurant, y ajouta un sourire amical. A quelques dizaine de pas des hommes regroupés près de la Grande Porte, Faramir prit conscience de ce qu'il se passait enfin. Il vit le nombre imposant d'hommes mal en point jonchant le sol froid de la cité, sous cette image ed désolation, Faramir se sentit comme responsable de ce malheur. Voilà environ deux heures que lui et tout les hommes valident s'afféres au rapatriement des blessés, mais le travail semble sans fin. S'asseyant sur le rebord d'un petit mur de pierre, Faramir s'accouda sur ses deux jambes et posa sa tête entre ses mains. La fatigue commençait à le prendre et surtout la tristesse que la guerre peut engendrer...

Kazumi ne cessait ses allées et venues entre les blessés, s’efforçant de secourir les plus meurtris… Malheureusement elle ne pouvait pas être partout à la fois et la gravité des blessures la forçait à rester longtemps sur un cas… Elle avait fini tachée de sang.... Elle en avait partout aussi bien sur les vêtements que sur la peau… Son beau visage était maculé de sang… Cela contrastait avec ses yeux dorés…
A l’instant, elle tentait de sauver un soldat qui agonisait… Il avait reçu une flèche dans le poumon… Kazumi essayait de le sauver mais elle savait que c’était vain… Elle ne pouvait pas réparer les tissus perforés… Elle regarda le soldat qui crachait du sang… Elle lui posa une main sur le front et prit une petite fiole dans sa bourse. Kazumi souleva délicatement la nuque du soldat et fit couler un mince filet du contenu de la fiole dans la bouche du mourant. Il avala sans poser de question…
Kazumi se leva et les yeux de l’elfe se fermèrent pour toujours… La brune passa une main sur son visage taché de sang… C’était un massacre… La voilà devenue obligée de donner du poison aux mourants pour abréger leurs souffrances… Mais jusqu’ou allait aller cette guerre immondes ?
La brune traina son corps lourd et fatigué à travers les cadavres couché sur le sol pavé de la cité blanche. Elle prit une carafe d’eau fraiche et un morceau de tissus pour boire et enlever le sang sur son visage.
En s’avançant, elle remarqua le seigneur Faramir assit sur un petit muret… Elle n’eut pas besoin de beaucoup de temps pour déchiffrer les pensées du gondorien… Doucement, elle s’avança et tendit la carafe et le chiffon.

« Tenez… Un peu d’eau fraiche vous ferait du bien… »

Elle marqua une pause plongeant son regard doré dans celui océan de l’intendant.

« Je lis dans votre regard de la tristesse et de la fatigue… De la culpabilité peut-être… Cela est vain. Tout comme moi vous savez que vous n’y êtes pour rien… De plus, vous devriez aller vous reposer… Ce n’est pas un travail pour un intendant de déplacer des cadavres… »

Encore une fois, elle avait outrepassé les règles et les usages de base lorsqu’on était une femme et que l’on s’adressait à un seigneur… Mais cela faisait longtemps qu’elle ne respectait plus ces règles… Cela allait peut-être lui apporter encore des soucis… Mais qu’en vient même, elle n’aurait qu’a prononcé le nom de son père pour calmer le jeu… Pratique d’avoir eus un père capitaine tout de même…
Le regard de la brune s’égara sur la cours jadis vide et blanche et qui se trouvait à présent pleine et tachée de rouge…

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

Faramir était toujours assis, la tête dans ses mains, pensant à tout ce qu'il fallait faire afin de s'assurer du bon fonctionnement de la cité, mais également de ce qu'il fallait faire pour aider et assiter les Elfes dans leur malheur. Rien qu'à cette idée, Faramir se sentit découragé, comme abandonné par ses propres forces. Alors qu'il était dasn ses pensées, ce dernier en fut retiré lorsqu'il entendit une voix lui proposer de l'eau. Sortant sa tête de ses mains, et levant les yeux afin de voir la voix féminine qu'il venait d'entendre, Faramir fut surpris de voir une femme maculée de sang avec un verre d'eau à la main. Dans un mouvement lent et pénible, l'Intendant prit le récipiant et adressa un sourire de remerciement à la jeune femme. Buvant une gorgé, Faramir écouta son interlocutrice lui faire part de son opinion à propos de la non responsabilité qu'avait ce dernier sur ce qu'il se passait actuellement. Toujours affiché de son sourire amical, Faramir, laissant un soupir s'échapper, reprit :

" Vous êtes ampathique pour affirmer ma tristesse ?"

Faramir était en proie à un remord qui le parcourait régulièrement en temps de guerre. Celui ci n'aimait pas vraiment les horreurs qui pouvaient en surgir, alors que celle ci s'invite dans la Cité Blanche était plus qu'il pouvait en supporter. Mais Faramir prit vite conscience de son manque total d'éducation et de politesse envers la jeune Elfe et reprit aussitôt :

" Ah, ne faites pas attention, les guerres me rendent toujours mesquin. Je me rend toujours responsable, car je le suis. En temps qu'Intendant, je me dois d'assurer une stabilité dans cette cité, et la guerre perturbe toujours cet équilibre. Enfin elle perturbe surtout le mien. Je ne laisserais pas mes hommes seuls dans cette situation. Ils ont besoin de moi, tout comme j'ai besoin d'eux, l'un sens l'autre, il n'y plus aucune utilité de nous voir ici."

Se relevant, Faramir fixa le regard de la jeune femme et bu lentement une nouvelle gorgé. Puis, alors fixant autour de lui les déplacements de ses hommes, Faramir, posant son gobelet sur le rebord du mur, répliqua :

" Bien, assez fainéanté, les blessés ne se déplaceront pas tout seul !"

Tout en disant ses mots, Faramir adressa un hochement de tête solennel à la jeune demoiselle et reprit les taches qui lui étaient dévolues. Très vite celui ci oublia la fatigue afin de mieux prendre en main les choses, se dirigeant vers un éclaireur, Faramir lui fit signe de s'approche, ce que fit le jeune homme. Arrivé près de lui l'Intendant lui répliqua :

" Allez voir le Chef Itachi, il a un message à faire parvenir. Il est dans mes appartements."

Sans dire un mot, le jeune homme partit en courant dans le lieu dit afin de s'acquiter de sa tache. Se retournant vers la jeune femme, Faramir reprit :

" Dans quel domaine excellez vous exactement ?"

Kazumi avait écouté l’intendant avec toujours le même calme et la même neutralité. A la première question, elle eut un petit sourire mais ne répondit pas. Les arguments de l’intendant étaient matures et on aurait pu les entendre de la bouche d’un roi… Courage, fraternité… La brune regarda l’intendant se remettre au travail, mais elle, elle ne bougea pas, se versant un peu d’eau… Sa gorge était sèche… le contacte d’une eau si délicieuse laissa échapper un soupire satisfait à la gondorienne. Elle fouilla dans sa bourse et sortit un petit récipient remplie d’une poudre blanche. Elle en prit une pincée et la lâcha dans son verre avant de la mélanger… C’était un cadeau des elfes… Galadriel lui avait dit de la mélanger à sa boisson pour retrouver force et vitalité… La brune avait par plusieurs fois usé de cette poudre mais elle s’étonnait toujours de ses effets. A nouveau totalement fringante, elle se remit elle aussi au travail… Elle déplaça un elfe et l’examina attentivement, il avait une flèche plantée un peu en dessous du cœur… La brune réfléchit quelque instant, elle savait que si elle ne se dépêchait pas, il allait mourir. Mais elle hésitait… Il y avait une chance sur deux qu’il meurt durant les soins… Les paroles de l’intendant lui revenaient en tête…Ce fut se moment que choisit l’intendant en question pour revenir et lui poser une question.Elle lui fit signe d’attendre.

La brune sortit une autre poudre de sa bourse, la mélangea à de l’eau et la fit boire à l’elfe… C’était un somnifère… On disait de Kazumi qu’elle était froide, mais elle n’était pas cruelle non plus… Elle n’allait pas opérer quelque de réveiller… Une fois sure que l’elfe dormait, elle sortit une de ses dagues qu’elle désinfecta à l’aide d’une torche… Elle prit une longue inspiration et agrandit un peu la plaie, suffisamment pour extraire la flèche. Une fois cela fait, elle prit une bouteille d’alcool et en versa sur la plaie… Heureusement que le soldat était endormit sinon il en aurait surement hurlé… Une fois la plaie propre, la brune marqua une pause… La plaie n’était pas large, mais elle était profonde… Et l’hémorragie était assez importante…Si elle ne faisait que la bander, il y avait de grosse chance qu’elle s’infecte et surtout que le soldat se vide de son sang.… Cruel dilemme… Elle prit la torche et regarda encore une fois la plaie d’au air critique… On allait surement l’accuser d’avoir fais souffrir l’elfe pour rien… Qu’importe… Elle posa la torche sur la plaie quelques instants pour cautériser la plaie… Il eut une odeur insupportable de chaire brulée… La brune retira la torche et regarda la plaie qui s’était réduite de sa moitié… Elle don na la torche à un soldat qui passait et sortit une bande de sa sacoche et banda la plaie… Kazumi se pencha sur l’elfe pour vérifier qu’il était toujours parmi le monde des vivants… Son cœur battait normalement et sa respiration était régulière. La brune s’essuya le front et s’assit quelque instant avant de faire signe à deux soldats qui tenaient une civière.

« Par ici ! »

Ils marchèrent vers elle et elle les aida à la mettre sur la civière. Elle donna quelques recommandations aux deux soldats avant de se détourner. Elle regarda l’intendant avant de nettoyer sa dague et ses mains couverte de sang. Après être sur de la propreté des instruments, elle répondit à Faramir :

« Vous êtes spécial… Peu d’hommes considèrent les femmes comme aptes à exceller dans un domaine… Je n’aurais pas l’audace ni la prétention de dire que j’excelle dans quelque chose… Je vous répondrais simplement que je manie l’épée, les dagues, l’arc et que j’ai des compétences médicales… »

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 09/06/2008

Itachi s'inclinat devant Faramir,puis il partis chercher sa robe des services secret,il repartis tranquillement pour prévenir,qu'(il nous fallait des renforts.

Itachi,partis voir le general de gondolin et lui dit:

Par ordre de l'intandent faramir,je vous demande de repartir à gondolin pour chercher de l'aide

Adarion lui repondit:
Je repard chercher des médecin,et du matériel

Il allat voir l'écurie puis il demandat que l'ont lui prépard un cheval,car dans une heur il partiré pour édoras la cités des seigneur cheveaux.

Il donner la raison qu'il y allait lui meme pour changer de paysage.

De retour sur les lieux du drame,il vit une femme qui s'occuper des blesser,il l'observat et se rendit compte qu'elle etait une talentueuse en matière de médecine,il s'approchat d'elle,s'inclinat devant elle et lui dit toujour avec la meme voit aussi calme:

Bonjour madame,vos compétence de médecine son incroyable,éscuser moi je dois partir chercher de l'aide,peut-etre pourrions nous voir à mon retour

Il se rinclinat devant elle,retournat au premier niveau de la cités,montat sur sont destrier et partis pour Edoras

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 11/06/2008

Faramir fixait la jeune femme, celle ci était aux cotés d'un elfe blessé par un flèche près du coeur, plus précisément en dessous du coeur. Beaucoup des hommes étaient dans le même état, comme si le mt d'ordre pour les orcques était de viser automatiquement le coeur afin de s'assurer de la mort de la cible. D'un autre coté, Faramir n'a jamais entendu parler de prisonniers chez les orques. Regardant ce que faisait la jeune femme, Faramir eu enfin la réponse à sa question, celle ci était donc une guerisseuse et de talent. Alors qu'elle venait de mettre sa patient sur civière, cette dernière répondit à Faramir, attestant simplement ce que celui ci déduit en l'observant. S'approchant de son interlocutrice, Faramir ne pu dire quoi que ce soit, car il fut interrompu par Itachi, qui semblait partir pour faire parvenir le message. Juste avant de partir le Chef des Services Secrets s'adressa à la jeune elfe, il fit savoir son étonnement envers les talents de médecin de celle ci et ajouta qu'à son retour, lui et elle devrait se voir. A ces dires, Faramir afficha un sourire amusé. Repportant son attention sur la jeune femme, Faramir lui répliqua enfin :

" Vos connaissances dans le domaine de la médications seront plus qu'appréciés. Pour le reste, nous verrons en temps voulu. Je compte sur vous pour assurer les autres médecins, et lorsque les autres arriveront, vous leur ferez savoir de quoi il en retourne si je viens à ne pas être dans les parages. Vous serez un peu ma conseillère médicale, si vous n'y voyez pas d'inconvéniant."

Tout en disant ces mots, Faramir afficha un sourire amical afin de tenter de détendre l'atmosphère. Puis, se retournant vers les hommes, l'Intendant intercepta deux d'entre eux et reprit :

" Vous deux, une fois remontés, faites moi un rapport sur la situation des médecins, je veux savoir ce qui leur manquent, ainsi que les blessés qui ne pourront pas attendre l'arrivée de soutient. Et comptez le nombre d'hommes déjà soignés et placés.

- Bien Mon Seigneur."

Les deux hommes, encore chargés d'une victime en mauvais état sur leur civière, partir donc en direction des appartements afin de mener à bien leur mission. Le temps défilait à grande vitesse, voilà déjà trois heures que les elfes sont arrivés, les soins sont rudimentaire et une partie des hommes ne passeront certainement pas cette nuit, Faramir en était conscient et c'était ce qui le rendait haineux. De nouveau, ce dernier fixa la jeune femme et rétorqua :

" Si vous avez besoin de quelque chose, faites le moi savoir, je verrais ce que je peux faire. Pour l'instant, je vois que vous avez de quoi faire sur vous, donc continuez."

Le vent était froid en cette soirée, triste et lugubre, les hommes étaient, pour la plupart, silencieux. La fraicheur aurait put être agréable si l'odeur du sang n'emplissait pas cette dernière. Faramir, sous le coup d'une légére brise, sentit le sang sur ses vêtements lui coller la peau comme une culpabilité collant à son âme. Clignant des yeux afin d'échapper à la fatigue, Faramir se redressa légérement et, d'un pas sûr et rapide, reprit son travail auprès de ses hommes...

[ Hum… Une p’tite chose Faramir…Kazumi est gondorienne même si son deuxième nom est Maranwë car il lui a été donné par les elfes… Mais elle reste humaine xP]

Kazumi regarda l’homme qui la complimentait sur ses compétences elle s’inclina sans paroles pour lui montra sa gratitude… Néanmoins, elle avait toujours eut de la peine à trouver quelque d’extraordinaire là-dedans…Elle ne connaissait que peu de chose en médecine… Elle s’aidait beaucoup de la magie des elfes pour cela… Et son savoir venait des elfes… C’était eux qui lui avait tout appris… Comment faire les bandage, la science des herbes… Elle n’avait aucun mérite la dedans… Enfin…
Elle écouta les ordres de son intendant et hocha la tête :

"Je ferais comme je le peux…A eux de voir s’ils sont prêt à écouter les conseils et les jugements d'une femme… "

Elle se détourna et déjà s’attaquait à un autre blessé, les sens au aguets…Guettant la moindre tache de sang, ou la moindre respiration anormale. Celui-ci semblait moins mal en point que l’autre.
"Comment vous sentez-vous ?" demanda la dame écarlate.

Le soldat ouvrit les yeux d’air air lasse et répondit dans un murmure presque inaudible.
" mal…Les Côtes… "

Elle fronça les sourcils et passa une main sur les côtes du soldat, épiant sa réaction… Elle sentit un petit ronflement, elle pressa un peu et le visage du soldat se déforma sous la douleur. La brune serra les dents… Les côtes enfoncées… Elle ne pouvait rien faire…C’était au-delà de son pouvoir. Elle chercha instinctivement sa petite fiole… Les côtes avaient du perforé un peu le poumon, ce qui provoquait la respiration sifflante et sacablée… La brune se pencha vers le soldat et dit :
" Je ne peux rien faire pour vous… Vous allez mourir… La seule chose que je peux faire, c’est d’abréger vos souffrances… "

Le soldat eut un sourire fugace et secoua doucement la tête avant de murmurer :
" Si je… dois mourir…je veux…mourir…Comme…un…elfe… "

Kazumi plissa les yeux et rangea la fiole…Elle s’assit au coté du soldat et prit sa main dans les siennes. Elle attendrait... Le soldat la regardait un peu surpris.
" Pourquoi…n’allez vous pas…Soigner les autre…je suis condamné… "

La brune soupira et prit un récipient d’eau fraiche et un morceau de tissus, Elle le mouilla et le posa sur le front du mourant.
" Je suis incapable de vous sauvez… Je paye le prix de mon incompétence… "

Le soldat eut un rire étouffé.
"Baliverne…Allez sauvez…Ceux qui peuvent encore être sauvé… "

Kazumi ferma les yeux quelque instants avant de demander.
" Quel est votre nom ? "
"Edwin…Fils de Rushia "

La brune se leva et laissa deux soldats emmener Edwin… Elle regarda ses mains tachée une fois encore de sang… Elle eut un petit rire… Elle, la dame écarlate devenait sensible… Il y avait de quoi rire. Faramir revient vers elle et lui parla. Elle regarda sa bourse. Il restait encore suffisamment de poudre et de plantes pour tenir la nuit.
"Je n’hésiterais pas…Merci… "

Pour la première fois de la soirée, elle fit un sourire au gondorien avant d’aller s’occuper encore des blessés.

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