Escale à Cair Andros [Kerwin]

Larannë s'ennuyait à
mourir dans la Forêt Noire. Elle avait déjà exploré chaque parcelle de
son royaume en compagnie d'Aethen, son fidèle étalon. Elle tournait en
rond dans sa chambre, comme une prisonnière. Tout était trop calme pour
la princesse. Le temps s'écoulait dans une lenteur infinie, ce qui
avait le don de l'agacer. Tant pis, elle désobéirait. Elle était une
tête brûlée et adorait ça.
Pendant toute une nuit, elle prépara son
excursion. Elle rassembla vivres, cartes, vêtements et autres choses
utiles pour son voyage dans son sac puis elle s'habilla d'un pantalon
de toile couleur rouille, d'une chemise blanche et d'une longue cape
noire, en prenant tout de même une belle robe blanche aux manches amples, liserées de bordeaux , tissée par les elfes, tout comme le grand capuchon assorti qu'elle attachait autour de ses épaules(là et là,
si vous voulez voir). Elle chaussa ses grandes bottes de cuir, s'arma
de son arc à bouble courbure, de ses différentes flèches et de ses deux
dagues et descendit aux écuries en passant par la porte qui se trouvait
côté jardin, sachant que celle côté cour était gardée. Elle alla dans
la sellerie, prit le nécessaire pour panser, brider et seller Aethen.
Quand l'étalon fut prêt, elle le fit sortir par derrière, en se
retenant parfois de rire. Elle enfourcha sa monture lorsqu'ils furent à
l'écart de la cité et elle la lança au grand galop. Son rire frais se
perdit dans le claquement des sabots contre la terre.

C'est
ainsi que la princesse Larannë se retrouva sur un navire qui descendait
le fleuve Anduin, après plusieurs jours etnuits de voyage et un bref
repos en Lorien. Aethen n'aimait guère être sur un navire mais sa
maîtresse le rassurait de la voix et lui flattait l'encolure pour qu'il
se tienne tranquille. Ils approchaient de Cair Andros, forteresse
construite sur une île, en plein milieu de l'Anduin. Ils entrèrent dans
le port et
amarrèrent. Larannë se dépêcha de faire descendre Aethen car l'étalon
n'aurait pas apprécié que quelqu'un d'autre que la princesse le fasse.
Le cheval s'ébroua, non mécontent de retrouver la terre ferme. Elle leva la tête : les remparts étaient vraiment impressionnats. En même temps, quand on est la première cité sur la route du Mordor, vaut mieux être bien protégé .. Elle enfourcha souplement Aethen et le fit marcher en direction des lourdes portes fortifiées de la ville.Des
gardes vinrent vers la jeune fille. Elle mit pied à terre, ils lui demandèrent ses armes.
Bien qu'un peu surprise par cette mesure de sécurité, Larannë tendit son arc, ses flèches et ses deux dagues, qu'elle cachait
dans chacune de ses bottes, à contre-coeur. On lui dit ensuite qu'elle
allait se faire fouiller. Larannë se souvint qu'on murmurait partout qu'une fête était organisée. Mais elle en avait oublié la raison. Elle était quelque peu réticente au fait
de se faire fouiller mais elle se dit que ce n'était pas le moment de
créer un incident diplomatique alors elle soupira et leva les yeux au
ciel le temps que le garde l'inspectait. Ils ne trouvèrent rien. Puis
le garde lui demanda son nom et ses titres. Nouveau soupir.

"- Je suis Larannë, princesse de la Forêt Noire, de Lindon et des Falas."

Oui
.. bon. Avec ses cheveux blonds emmêlés, son visage un peu couvert de
poussière, sa chemise qui n'était plus tout à fait blanche, son
pantalon défraîchi et ses bottes crottées, elle n'avait pas tout à fait
l'image qu'on peut se faire d'une princesse .. La jeune fille se mordit
la lèvre inférieur pour s'empêcher de rire. Quelle idiote ! Elle aurait
au moins pu se changer ..

Les gardes firent entrer la princesse dans la ville et deux gardes furent envoyé retrouvé Kerwin qui se trouvait en route pour le château, il lui dit que la princesse de forêt noir et de d'autres endroits était sur les lieux. Kerwin qui eut toujours admiré et adoré les elfes se rendit donc a sa rencontre, De plus il se demandait quelle age vénérable pourrait avoir une princesse elfe, donc une fois a sa rencontre il l'a regarda rapidement, admirant autant sa beauté que son acoutrement qu'il reconnaissait un peu sale a cause du voyage, mais Kerwin le savait que c'était du au voyage et il avait asser d'imagination pour la voir l'imaginé dans son meilleur état, il fit se pencha bien bas avant de se relevé et de dire

- Je vous souhaite bienvenu dans la cité de mon père qu'est la mienne aussi. Puis-je vous invité dans le château ou vous preferez les auberges ?

Puis Kerwin la regarda, il remarqua qu'elle n'avait pas d'armes, cependant un garde se tenant tout de même près d'elle, celui qui l'avait fait entrer transportait ses armes, Kerwin regarda le garde, et toujours avec sa bonne humeur dans sa voix il dit

- Vous pouvez lui rendre ses armes, je ne crois pas qu'elle soit de menace.. Cependant il serais preferable que vous veniez dans le château avec vos armes, pour ne pas faire de jaloux dans la cité... mais la décision vous revient... ?

Puis Kerwin attendit sa reponse, une fois faites il réalisa qu'il avait oublier de se presenté, il s'en voulait.. quoi que ce n'était pas bien grave mais c'était tout de même un manque de politesse, le prince de 16 ans n'étaient cependant pas tout a fait habitué aux rencontres diplomatiques et il faisait de son mieux pour bien paraître comparativement aux autres endroits qu'elle avait été, et cela paraissait qu'il tentait de bien paraître, il se rattrapa par contre sur son oublie de presentation.

- ah désolé, j'ai oublier de me presenté, je suis Kerwin, prince des lieux, ainsi que d'Anfalas, mais je serais tout simplement votre hôte durant votre sejour si cela ne vous importune pas ?

Puis il attendit patiamment, tout en se dirigeant vers le château si elle avait accepté, ou en restant la si elle avait refusé l'invitation.

Larannë s'apprêtait à pénétrer dans la ville lorsqu'un autre personnage vint à sa rencontre. Il n'avait rien d'un garde, la jeune fille pensa que c'était sans doute quelqu'un de plus important. En bonne adolescente qu'elle était, elle ne put s'empêcher de trouver ce jeune homme qui s'avançait vers elle terriblement craquant (^^ qu'est-ce qu'elle est cruche). Il s'inclina, elle plongea dans une parfaite révérence. Il lui souhaita la bienvenue dans sa cité et l'invita au château, s'il elle le désirait. La jeune fille souria. Les gardes qui offraient une perspective d'une ville pas très chaleureuse mais tout était contrecarré par l'arrivée de ce jeune homme.

"- Je vous remercie de votre accueil."

Elle se demandait s'il accueillait toute personne de haut rang ainsi ou si c'était un traitement de faveur. Elle préfèra croire qu'elle n'était pas une exception. Larannë poursuivit d'une voix un peu moins assurée et ses pommettes rosissaient au fur et à mesure qu'elle parlait.

"N'ayant rien pour me protéger, les auberges m'effraient quelque peu mais j'ai peur d'abuser de votre hospitalité en acceptant de vous suivre au château .."

La jeune fille savait qu'elle aurait dû refuser, mais elle détestait la solitude. Il y avait Aethen, bien sûr, mais ce n'est pas le genre d'ami avec qui vous pouvez entretenir une réelle discussion .. Le jeune homme ajouta à l'égard du garde qui avait pris les armes de la princesse de les lui rendre. La jeune fille remercia le garde d'un hochement de tête accompagné d'un sourire et retrouva son arc et ses flèches avec soulagement. Elle glissa à nouveau les dagues dans chacune de ses bottes.

"- Merci. Vous avez raison, je ne tiens vraiment pas à créer de problèmes .."

Elle disait cela en pensant à ses parents. Elle ne savait pas trop comment ils allaient réagir mais .. elle préfèrait ne pas trop y songer. Le jeune homme finit par se présenter. Kerwin .. Prince de Cair Andros et d'Anfalas .. A vrai dire, elle avait totalement oublié de se présenter également. Elle ignorait qu'il savait déjà ses titres ..

"- Enchantée. Je suis Larannë, princesse de la Forêt Noire, de Lindon et des Falas. "

Il commençait à avancer alors Larannë tira doucement sur la bride d'Aethen. Mais l'étalon restait buté et ne voulait pas avancer. La jeune fille lui caressa l'encolure et lui parla dans la seule langue dont le cheval connaissait les intonations : l'elfique.

"- Aethen .. Viens, suis-moi. Tu ne crains rien, aie confiance en moi."

L'étalon gris consentit alors à avancer. Larannë marcha à ses côté et replaça les longs crins de la crinière de son cheval du côté droit tout en lui murmurant des choses rassurantes. Puis elle s'adressa au prince.

"- Excusez-moi, Aethen est un peu .. capricieux."

Elle ponctua sa phrase d'un nouveau sourire.

Kerwin souria au remerciements qu'elle lui avait fait pour son accueil, il trouvait cette jeune elfe bien aimable. Puis il l'écouta la reponse a son invitation. Cela fit de nouveau sourire Kerwin, il ne voyait pas pourquoi elle abuserais de son hospitalité..

- Mais ne vous en faites pas cela me fait un plaisir de vous accueillir.

Puis les gardes vinrent lui posté ses armes et elle rengea deux dagues dans chacun de ses bottes, exactement comme lui le faisait avec son seul et unique poignard. Le jeune prince portait sur lui une armure d'apparat, blanche avec sur le torse gravé et peinturé or la banniere de Cair Andros. Et dans le dos, quoi que legerement caché par sa cape bleu aux brodures doré, il y avait la banniere d'Anfalas de gravé et peinturé d'or, il avait en sa main son épée, avec son nom gravé en elfique a la base de la lame. C'était une épée de maître faite a Dol Amroth, et dans son fourreau il y avait une épée dont le manche et la garde était entourré d'un tissu en forme de bandage et qui cachait les formes.

Ensuite Larannë repondit a sa remarque sur les armes par rapport aux auberges, Kerwin n'en repondit rien ne trouvant aucune reponse valable d'être dites a ceci. Ensuite apres sa propre presentation la jeune elfe se presenta elle aussi a Kerwin, qui connaissait déja par le biais des gardes mais il trouvait cela bien aimable qu'elle se presente a son tour. Ensuite il y eut le cheval qui ne voulait pas avancé, Aethen de nom.. et Larannë lui parla en elfique, Kerwin par contre ne comprit pas la totalité de la phrase, cependant il comprit quelques mots et pu en déduire le reste. Cela fit sourire Kerwin de voir cette belle jeune femme parlé en elfique a son cheval, lui et le sien, son cheval, se comprenait bien sans même a se parlé mais Kerwin aimerais en apprendre plus sur le language elfique tout de même, et non seulement pour cela. Puis elle s'exucsa, Kerwin repondit aussitôt.

- Mais vous n'avez nul besoin de vous excusez, sa m'est déja arrivé souvent avec Héro, mon destrier, dans le temps et je comprend parfaitement!

Kerwin trouvait le sourire de l'elfe magnifique, mais il se gardait de seulement pensé cela plutot que de le dire, une certaine gêne s'empara de lui soudainement lui qui était extremement rarement gêné, il secoua la tête discretement pour tenté de surpassé cette gêne, et cela fonctionna... du moins, partiellement. Tout en marchant Kerwin continuait la discution.

- Alors qu'est-ce qui vous amene ici alors que les pays elfiques sont magnifique ? La fête en l'honneur du retour de ma soeur a amené une si jolie personne ici ?

Le dernier commentaire lui avait échappé, mais il n'en fit rien, il aurais l'air encore plus stupide s'il tentait de se rattrapé. Il ria quelque peu de lui même intérieurement et cet amusement envers lui provoqua un sourire a nouveau dans le visage de Kerwin.

Le prince lui dit que c'était un plaisir de la recevoir et cette phrase fit monter le rose aux joues de la jeune elfe. Si elle avait sû que cette cité avait un prince aussi charmant, elle serait venue plus tôt ! Elle regarda la superbe tenue de son hôte puis contempla la sienne. Elle commençait à se sentir honteuse de se présenter ainsi et avait hâte de revêtir sa robe. Elle remarqua qu'Aethen non plus n'était pas sous son meilleur jour. Sauf que cela rajoutait une touche sauvage à la beauté de l'étalon aux longs cris cendrés. Alors que pour la princesse .. ça faisait vraiment vagabonde qui n'avait pas vu la civilisation depuis plusieurs semaines.
Kerwin lui dit qu'elle n'avait pas besoin de s'excuser du caprice d'Aethen et qu'il avait de temps en temps le même problème avec son cheval. Elle souria.

*Tu souris trop ma vieille, il va te prendre pour une cruche qui n'a rien dans la tête ..*

Elle s'aperçut de la gêne passagère du prince et crut que c'était parce qu'il la trouvait réellement cruche. Mais elle ne pouvait pas s'empêcher de sourire ! Elle se retrouvait à des lieues de son royaume, sans personne pour la réprimander ou l'espionner, en compagnie d'un charmant jeune homme - autant de manières que de traits ! - et qui n'avait rien à voir avec les jeunes elfes qui étaient tous blonds et aussi imbéciles les uns que les autres. La liberté absolue. La voix du prince la ramena sur terre.

"La rumeur court qu'une fête a lieu ici, mais je n'avait pas entendu l'objet de ses réjouissances ou alors je l'avais oublié. Un retour est toujours heureux, tant que c'est celui d'une personne de bonne nature et de confiance. Je suis heureuse pour vous et j'y associe toute ma famille. Mais ce n'est pas réellement la raison qui m'a poussée à sortir hors de mon royaume. Les pays elfiques sont magnifiques .. pour ceux qui n'y vivent pas en permanence. L'oeil s'habitue et l'émerveillement n'est plus éprouvé pour la plupart des habitants de ces contrées.
La Forêt Noire est un endroit reculé et, à vrai dire, je m'y ennuyais quelque peu. Mais vous dire pourquoi les sabots d'Aethen m'ont conduite jusqu'à Cair Andros, je ne pourrais. Moi-même, je l'ignore."

Elle avait noté le compliment dans la question du jeune homme et ce fut à elle d'en être troublée. Elle feint d'être inquiète pour Aethen mais ce n'était que pour ne pas que le prince la voit rougir.

Kerwin remarqua la certaine gêne de l'elfe, ou plutot le faite que ses joues changeaient de teint de beige a rose, et cela lui donnait ncore plus de charme qu'elle n'en avait déja. Il remarqua qu'elle sourait beaucoup et cela le fit sourire.. pourquoi? Parce qu'il savait que lui aussi il sourait énormément, il était facile pour Kerwin d'être heureux et son sourire était enclin a apparaître souvent. Puis il l'écouta attentivement lui parlé, Elle associait son bonheur a celui de sa famille, Kerwin pensa donc que sa famille avait envoyé cette femme pour les représenté a cette fête pas si importante, mais elles se font tout de même rare... Mais il se ravisa en pensant a ce qu'elle avait dit une demi-seconde auparavant, qu'elle n'était pas au courant des raisons exacte de la fête. Il repensa a ses titres et esseya de trouvé qui était sa famille, il irais voir dans ses livres un autre moment pour l'instant cela ne lui importait que très peu. Donc elle s'ennuyait dans son royaume, cela le fit pensé, mais il décida de pensé a voix haute..

- Le monde est étrange je trouve, tandis que vous vous ennuyé dans votre royaume, moi je rêve d'y vivre ou alors de passer au moins un bon séjour la-bas. Pour ce qui est de votre venu en ses lieux precis, peut-être est-ce une coincidence, mais peut-être pas non plus..

Il marqua une certaine pause, réfléchissant quelque peu, puis il continua sur autre chose, cependant quelque peu lié.

- Vous savez, j'ai déja été a Forêt Noir. Je n'y est pas été longtemps, j'y est passé, le seul royaume elfique dans lequel je suis resté tout de même longtemps fut Nargothrond. Vous avez vous déja visité d'autres endroits appartenant aux hommes, ou c'est votre premiere fois a l'exterieur de pays elfiques ?

Puis tout deux tout en avançant parlaient, Kerwin apperçut le château au pas si loin que sa, puisqu'il n'avait pas beaucoup regardé en avant durant le trajet, il appréciait énormément la discution.

Il ne faut jamais jouer avec le feu face à une femme (surtout si c’est moi qui la joue) et là, Kerwin venait sérieusement de lancer de l’huile.

Après quelque minutes de trouble Charlotte s’éveilla à la vérité et l’éveil n’était pas des plus agréable pour elle, ni des plus hospice pour les autres.

Agacée, rageuse et d’un pas décidée, elle alla vers le château, et avec une certaine chance sa route croisa celle du Kerwin.
Il faut dire qu'elle demandait où se trouvait le prince Kerwin, donc le hasard ne fut pas tant solicité, elle alla vers lui... et là....

Là, elle alla vers lui, lui arracha l’épée dans un :

« Ca, c’est à MOI ! Prince ou pas prince et je refuse votre amitié, monsieur le manipulateur ! »

Peut importe les protestations que lui opposèrent Kerwin, Charlotte s’en repartie avec l’arme en demandant à un garde de la suivre et de la raccompagner jusqu'à la sortie de la ville car elle était armée et qu’elle ne voulait pas prétendre être un danger en enfreignant les règlements.

Ainsi Charlotte s’en repartie de la ville avec l’épée.

Spoiler:

( pour répondre a ton spoiler je prend ma défense en répétant exactement ce que j'ai dit dans le mp que je t'ai envoyé, si tu veux continué la discution a ce sujet fait le par le mp en question: Mp:En passant j'avais dans mes plans de te rendre l'épée peu importe ce qui arriverais, prêt a me battre contre Targon et d'être banni du Gondor et etc. pour que tu récupère cet épée mais bon, je te la laisse si tu y tient, peu importe.. ton choix. Et je rajoute, ton choix de ne pas vouloir jouer avec moi cela me fait quelque chose mais je ne m'attarderais pas la dessus, donc si c'était un besoin d'attention, ce qui m'étonnerais grandement, et bien c'est raté, et tu ne t'attire aucunement mes foudres, je te considère encore comme une excellente joueuse et c'est pourquoi je trouve sa dommage que tu ne veuille plus jouer avec moi, mais bon je n'y peut rien et c'est la vie...... et encore une fois pour me défendre de ce que tu prétend de moi par rapport au faite que je joue seulement avec les membres de ma famille fait juste regardé avec qui je fait du Rp en ce moment sur ce post. )

Kerwin vit Charlotte arrivé, il allait lui dire un beau bonjour, mais il voyait dans son regard quelque chose de différent, elle tira l'épée du fourrau de Kerwin et en sortit l'épée d'Idrahil, par la suite Kerwin en profita pour remettre sa propore épée dans son fourreau, il avait un regard totalement confus. Charlotte alla vers un garde a proximité, qui avait vut la scene et était sur le point d'interrompre Charlotte car il pensait qu'elle venait de volé le prince, celle-ci lui demanda de l'escorté, le garde regarda Kerwin et celui-ci lui fit signe que tout était sous controle et d'écouté la fille qui venait de reprendre l'épée d'Idrahil. Le garde regarda la lame noir avec un peu de méfiance, mais bon il écouta le prince et escorta Charlotte jusqu'a la sortie de la ville et lui souhaita un bon voyage. puis Kerwin regarda Larannë sans rien dire attendant sa réaction face a la situation et sa reponse face a la discution qu'ils tenaient tout deux.

HJ : Charlotte, je suis désolée de te le dire mais tes petits problèmes avec Kerwin, il vaut mieux que tu les règles en MP avec lui. Je pense que tu n'apprécierais pas non plus si un autre joueur "polluait" le sujet que tu es en train de faire par une intervention qui n'a absolument aucun rapport avec l'histoire qui était en train de se dérouler. Ce serait gentil de t'arranger en MP avec Kerwin comme ça, vous pouvez vous renvoyer la balle sans problème sans que ça pénalise un autre joueur. Merci.

Ainsi il rêvait de séjourner quelques temps chez les elfes ? Une idée folle, certes mais une idée quand même vint titiller l'imagination débordante de notre chère Larannë. Elle eut un grand sourire, inexpliquable puis baissa et secoua la tête, faisant voleter ses longs cheveux blondsautour de son visage. Non. C'était bonnement et purement impossible. Et puis, que feraient-ils tous deux, là-bas ? Bien sûr, ils n'auraient même pas vu un quart de la Forêt Noire en l'espace d'une semaine, ce n'était pas l'occupation qui était le problème mais les autres. Oui, les autres. C'est tout de même un peu suspect que la plus jeune princesse de la Forêt Noire ramène avec elle le prince de Cair Anddros sous le simple prétexte que celui-ci mourrait d'envie de voir tous ces paysages magnifiques et ce peuple qui sucite souvent de l'amiration de la part des autres peuples. C'est ainsi qu'aux premières paroles de Kerwin, Larannë resta muette. Pour l'instant, elle ne rêvait pas de couleur une vie paisible en terres elfiques, non. Malgré son jeune âge, la jeune princesse rêvait d'aventures et de dangers. Les récits de son père à propos de la communauté de l'anneau l'avaient fascinée et elle aurait aimé être aussi héroïque un jour. Bien sûr, elle ne souhaitait nullement qu'un pareil chaos règne à nouveau sur la terre du milieu, personne ne peut souhaiter cela, à par Sauron lui-même. Mais elle voulait sentir que le même courage, la même bravoure qu'avait fait preuve son père ainsi que tous les autres membres de la communauté coule aussi dans ses veines. La douce voix de Kerwin la tira à nouveau de ses songes. Mais elle n'eut pas le temps de répondre car un éclair rouge s'approcha du prince, lui vola l'épée qui était sagement rangée dans le fourreau du jeune homme, accroché à sa ceinture et disparut, raccompagnée par un garde aux portes de la ville. Larannë avait donc lâché Aethen, bandé son arc avec une flèche en demi-lune afin de trancher le poignet de la voleuse et ainsi, récupérer l'épée. Mais la jeune princesse fut surprise de voir le prince échanger avec le garde un regard consentant, comme si il était normal de se faire voler une épée sans rien faire. L'elfe baissa son arc, lâcha la corde, envoyant ainsi la lèche en demi-lune s'enfoncer profondément dans le sol. Elle se tourna vers Kerwin, l'air ahuri. Trouvant le prince très calme pour quelqu'un qui venait de se faire voler une magnifique épée, la jeune fille regarda devant elle.

"- Wow."

Si cette femme lui avait volé quoi que ce soit, la petite Larannë ne se serait absolument pas gênéepour récupérer son bien et donner une leçon de savoir-vivre au voleur. Elle alla récupérer sa flèche, la nettoya de la terre qui était sur la lame et la remis dans son carquois.

"- Pour vous répondre, c'est la première fois que je m'aventure hors des terres elfiques. Mais .. dîtes-moi .. se faire voler une épée et ne rien dire, c'est normal chez vous ?"

( Ce n'est pas grave c'est juste un petit malentendu mais bon, continuons le jeu ^^ )

Kerwin observait l'elfe avec qui il discutait remarquant ses faits et gestes, tentant de "lire dans ses pensés" mais ce fut en vain. Apres que Charlotte eut volé son épée il remarqua rapidement que Larannë avait bandé une de ses flèches, prête a tiré sur Cha'. Mais elle fut plus rapide de reflexion que lui fut d'agissement et elle tira volontairement sur le sol, ce fut aussi a ce moment là que le prince rangea sa propre épée dans son fourreau, relâchant son souffle discretement. Puis il continua de la regardé, et d'attendre qu'elle parle. Puis elle repondit a la fois a sa question et en posa une autre, qui fit sourire le jeune prince de Cair Andros, puis il repondit a la dîtes question.

- A vrai dire non ce n'est pas normal, mais cette épée ne m'appartient pas, elle lui appartient a elle. Cependant le vrai détenteur de cet épée est mon oncle, et il n'est pas une bonne personne, et cet épée a quelques atouts pouvant le servir, et mon oncle a plus de chance de la trouvé ici que dans les mains de cette gamine qui l'a trouvé sur le sol, apres un affront entre moi et mon père, et lui. J'avait cet épée sur moi au lieu de la mettre avec les autres, parce que si elle aurais été avec les autres mon père aurais tôt fait de se l'approprier et j'aurais trouvé cela dommage pour cette gamine qui semblait y tenir énormément comme vous avez pu le voir.

Il marqua une courte pause, tout en continuant de marché il avait expliqué la situation, puis il continua sur l'autre sujet.

- Et alors jusqu'a maintenant qu'est-ce que vous pensé des terres non-elfiques ? Cependant il va falloir faire attention, dans les terres elfique certaine sont introuvable et peu ont le courage de les attaqué, mais la guerre dans la terre du millieu est fréquente.

La porte du château était en vue, Kerwin n'avait jamais prit le temps de l'admiré puisqu'il avait toujours vécu là. Mais alors qu'il faisait visité a quelqu'un il prit le temps de regardé la porte, ce ne fut pas Targon qui avait décidé de l'allure de la forteresse car sinon sa aurais été un château bien banal, plus que les autres. Mais ce château était tout de même digne de compétition parmi les plus beaux, dans la porte était gravé tout au dessus un aigle puis au millieu la banniere de Cair Andros avait été gravé et peinturé, cependant la peinture n'y était plus, et tout en bas il y avait celle d'Anfalas, c'était une grande porte.

[Je sais bien mais c'était à l'intention de Cha' si elle repassait par là ^^)

Larannë se remit en marche et écouta attentivement les explications du prince, qu'elle trouva quelque peu .. compliquées. Il passa à une autre question, sur les terres non-elfiques, cette fois. Elle souria - et oui, une fois de plus -. Lorsque Kerwin lui déclara que les terres elfiques n'étaient pas facilement accessibles et que peu de gens se risquaient à les attaquer, le sourire de Larannë s'accentua. Elle faillit franchement rire lorsqu'il lui fallait faire attention car les guerres en terre du milieu étaient fréquentes. Elle le regarda, avec dans ses yeux gris perle cette espièglerie, cette malice qui faisait parfois sourire Legolas.

"- Mais pourquoi croyez-vous que je suis partie de la Forêt Noire ? Pour vos beaux yeux ?"

Les joues de la princesse rosirent un peu car il était vrai que les yeux du prince étaient magnifiques. Surtout cette expression mystique qu'elle n'arrivait pas à déchiffrer qu'elle avait parfois l'occasion de lire dans son regard, lorsqu'ils se regardaient dans les yeux.
Elle baissa la tête, peut-être de honte, arrêta Aethen, l'enfourcha souplement et tendit une main au prince.

"- Montez en croupe, je vous en prie. La lenteur de cette marche a tendance à m'exaspérer et .. Aethen aussi." dit-elle en désignant l'étalon gris qui, ayant compris les désirs de sa maîtresse, piaffait d'impatience.

Elle eut un nouveau sourire malicieux, invitant le prince à la rejoindre pour ce qui allait sans doute être un galop effrené jusqu'au palais.

Kerwin remarqua facilement le sourire de la belle elfe avec qui il dicutait et remarqua tout aussi lorsque ce beau sourire s'Accentua de plus belle. Puis ce fut la reponse de Larannë avec comme sous-entendu que le prince avait des beaux yeux, et bien a vrai dire Kerwin n'était pas certain, il ne savait pas si c'était totalement sarcastique, ou si c'était quelque peu sarcastique mais qu'elle soutenait le fait qu'il avait des beaux yeux. Il ne put s'empêché de ressentir une gêne et tenta de la caché avec difficulté. La seule reponse que Kerwin fut capable de dire fut celle-ci

- Ehhh... bonne question!

Il était vrai que ce n'était surement pas pour cueillir des fleurs qu'elle était venu jusqu'ici, jusqu'a côté du Mordor, peut-être pour connaître l'aventure qu'elle n'avait peut-être jamais connu, Kerwin ne put s'empêché de sourire lorsqu'il parla et apres aussi, surtout que cela reflétait sa personnalité, plusieurs souvenirs de lui sur le point de fugué revint a lui, puis il y eut sa premiere guerre a Minas Morgul il y a de cela peu de temps. tout de suite apres ce fut l'affront entre Idrahil - son oncle - et lui aux côtés de son père, du moins il chassa toute ses pensés et se concentra sur le présent, alors qu'il vit l'elfe baissé la tête, il se demandait un peu pourquoi mais bon il ne s'attarda pas la dessus, puis elle monta sur son cheval et lui demanda de monté a son tour en lui tendant la main, il prit la main qui était tendu vers lui tout en disant:

- Volontier.

Il n'était pas habitué d'embarqué a l'arriere du cheval, étant habitué de lui transporté quelqu'un, mais bon si tel était ses désirs alors ainsi soit fait, il embarqua sur le cheval et s'accrocha a la taille de Larannë d'abord par réflex de ses cours d'équitation, mais un malaise s'empara de lui et il tenta de savoir par le comportement de la princesse de Forêt Noir si cela lui dérangeait.

Il est vrai que la phrase de la jeune fille était emplie de sarcasme et elle n'avait pas songé que le prince avait pu prendre le mauvais sens de cette question. Il parut embarassé et la jeune princesse en fut désolée. Il saisissa néanmoins la main de la jeune fille et monta en croupe, comme elle l'avait naïvement espéré. Larannë lança aussitôt Aethen en lui soufflant :

"- Noro lim, Aethen, noro lim !" [faut bien récompenser ce pauvre Laesonif qui se décarcasse à trouver de l'elfique potable ! ^^]

Le puissant étalon fit un bond en avant et ses deux passagers durent se cramponner. Larannë se rattrappa au pommeau de sa selle et elle sentit en même temps que des mains s'étaient posées sur ses hanches. Le teint de la jeune fille prit une violente couleur pivoine mais elle affichait un sourire radieux. D'ailleurs, elle se mit à rire du comique de la scène. Le prince des lieux, en croupe de l'étalon gris d'une parfaite inconnue ! Son rire clair et frais se perdit dans le vent de leur course effrénée. Larannë essayait de se grandir au maximum pour que Kerwin puisse se courber un peu afin d'éviter de manger la longue tignasse blonde de la princesse qui voletait loin derrière elle. Elle se laissait bercer par les grandes foulées confortables de sa monture. Cavalière depuis son plus jeune âge, Larannë avait développé une parfaite assiette. C'est donc ainsi qu'elle put faire un noeud aux rênes pour ne pas qu'elles traînent dans les pieds d'Aethen et les lâcher sur l'encolure. Ce petit jeu dangereux amusait toujours autant la jeune demoiselle, elle ria de plus belle. Elle ferma les yeux, essaya de sentir tout ce que sa peau pouvait ressentir : le vent sur son visage et dans ses cheveux, le balancement de l'allure, les mains de Kerwin sur ses hanches, cette sensation incroyable de liberté et de toute-puissance.

Le trio passa les portes deu palais et débouchèrent dans la cour. Larannë reprit les rênes et exerça une légère pression dessus. Aethen se stoppa net, ses postérieurs glissant sous lui, provoquant un nuage de poussière. La princesse sentit une nouvelle fois que les mains de Kerwin resserraient leur étreinte. Elle ne comprenait pas tout à fait ce qu'elle ressentait. Ce geste la gênait terriblement mais, d'un autre côté, elle ne pouvait pas dire qu'elle le réprouvait totalement .. Larannë décida de passer outre et se retourna vers Kerwin, les joues rosies par la gêne ou leur course ?

"- Il me semble que nous sommes arrivés .. Après vous, mon prince .."

Elle lui désigna le sol avec un sourire. Après qu'il soit descendu, elle sauta elle aussi souplement au sol puis dessangla un peu Aethen afin qu'il puisse récupérer plus vite. Elle le caressa encore un peu et regarda enfin autour d'elle. Le chateau s'élevait devant elle, immense et massif. Jamais elle n'aurais cru qu'un édifice puisse paraître aussi majestueux. Elle ouvrit la bouche de stupéfaction. Bien sûr, l'architecture n'avait rien à voir avec celle des palais elfiques et n'en avait pas sa grâce mais tout de même .. Larannë regarda chaque parcelle de la façade du chateau avec la plus grande attention puis elle se tourna vers le prince en souriant, toujours en souriant.

"- Je crois que vous n'avez rien à envier aux elfes !"

Kerwin était embarqué sur la monture de Larannë, Aethen, et lorsqu'elle parla en elfique il se rappelait qu'il trouvait magnifique le langage des elfes, et encore plus lorsqu'il était prononcé par leurs peuple. Au début de la course de l'étalon il se retrouva avec les cheveux de la princesse sur son visage, et rapidement d'un inconscience total il trouvait que ses cheveux était doux et sentaient bon, mais elle s'arrangea afin que ses cheveux ne dérange plus Kerwin, qui trouvait la situation des plus amusantes a son tour, en se levant se matin il n'aurais jamais pensé se trouvé sur la monture d'une princesse elfe, de cette beauté, dans son royaume a galopé vers son propre château.. du moins le royaume de son père ainsi que le château. Il remarqua aussi qu'elle était une cavaliere quasi-parfaite, puisque la perfection est innateignable, mais si c'était atteignable elle l'aurais atteint. Et la cavaliere en question lacha les rênes! Il trouva cela étrange au début mais il remarqua qu'elle gardait la maîtrise et trouva cela impressionnant. L'ambiance était bonne, les gens étaient heureux autour, l'air et le vent était frais et bon, il se trouvait en bonne compagnie et il était heureux en ce jour d'être avec cette personne, et aussi d'avoir retrouvé sa soeur, fait qui le soulageait énormément d'un poid extrêmement lourd. Les portes s'ouvrirent au deux cavaliers les gardes ayant reconnu le prince aisément, même s'ils se demandaient qu'est-ce qui se passait, mais bon le prince avait l'habitude de toujours surprendre les autres, surtout lorsqu'il était jeune avec ses mauvais coups, d'ailleurs pendant un instant il se remit a pensé a ce temps où il ne se souciait de rien et il trouvait cela particulierement amusant d'avoir vécu cela mais une fois arrivé dans le palais elle stoppa le galop net et cela chassa les pensés de Kerwin qui serra son étreinte sur Larannë, il ressentit une certaine gêne pendant un instant mais il s'en départit rapidement, se souvenant de ce qu'un vieux sage lui avait dit une fois: là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir.

Elle se retourna vers lui, avec ses joues rosies qui lui donnait un certain charme, Puis elle lui dit qu'il pouvait débarqua d'une façon très polie et avec son sourire magnifique, chose que fit le prince en sautant sur le sol, Puis il se retourna et regarda la princesse en lui tendant la main pour qu'elle descende, mais elle avait préféré sauté et cela fit sourire Kerwin, le titre de princesse lui allait aussi mal que celui de prince a Kerwin et cela l'amusait. Il allait commencé a marché lorsqu'il vit que la princesse admirait l'architecture et la maçonnerie de la forteresse des lieux. Elle avait la bouche ouverte de stupéfaction et Kerwin se perdit un instant lui aussi a admiré toute cette structure qu'il avait pourtant si souvent vu mais si rarement regardé, et effectivement c'était du beau travail, puis elle lui parla et cela le fit sortir de ses pensés, une seconde fois, il l'a regarda en souriant a son tour face a un si beau sourire, mais il souriait aucunement de force, tous pourront dire que son sourire est toujours sincere, c'est sans même le savoir qu'il sourit presque toujours. Il répondit donc aux dires de l'elfe face a lui par ce qui suit:

- J'ai déja vue des forteresse, ou même encore de simples structure elfique, et ici ce n'est rien comparé a tout ce qui est magnifique chez les elfes, en commençant par vous.

Un certain moment de gêne se fit en Kerwin, le commentaire lui avait une fois de plus sortit des pensés, il recommença a parlé

- Veuillez me pardonnez, ça m'a échappé. ... Du moins, vous voulez visité le château ?

Dit-il afin de premierement ne pas trop resté dans un silence qui le rendait gêné, chaque moment de silence qu'il y avait entre eux le rendait plus ou moins mal à l'aise. Et il avait posé cette question deuxiement parce que comme elle semblait trouvé le tout magnifique elle voudrais peut-être en voir plus, qui sait. Il laissa donc la question planné jusqu'a une réponse.

Larannë ne vit que trop tard que le prince lui avait tendu la main. Il aurait bien sûr été plus courtois d'arrêter son geste et d'accepter cette aide mais l'indépendance était un trait fort du caractère de la princesse. Lorsqu'elle parla, il sembla que sa voix tirait Kerwin d'un doux songe. Il répondit en vantant toujours et encore les talents elfiques. Le compliment non dissimulé dans sa phrase fit à nouveau rougir la jeune fille. Vite, faire quelque chose. Larannë trouva soudainement qu'il faisait une chaleur insupportable mais la brise qui balayait ses cheveux enmêlés la détrompait. Le jeune homme s'excusa, prétextant que le mot était sorti tout seul. Puis il l'invita pour une visite guidée du château. Larannë murmura que ce n'était pas grave puis resta silencieuse quelques instants, essayant de reprendre ses esprits.

"- Les elfes, c'est bien jolis, mais c'est pas très robuste." rétorqua-t-elle dans un petit sourire.

"- Je vous suivrai volontiers mais ... je crains que ma tenue fasse fuir quelques personnes que nous serions peut-être suseptibles de rencontrer ..." ajouta-t-elle en déplorant le sale accoutrement dont elle était vêtue.

Qu'est-ce qu'elle avait hâte de pouvoir se présenter sous un meilleur jour ! Sans feuilles dans les cheveux par exemple ... Ou encore sans poussière sur le visage ...

[désolée, c'est pas bien long !]

Kerwin regardait l'elfe en face de lui. Il avait remarqué a nouveau que Larannë rougissait, et remarqua aussi par le fait même qu'elle eut marmonné quelque chose, au début il n,eut pas bien compris mais il fut ayant entendu le principal de la phrase il put en déduire la totalité. Elle repondit par le faite que les elfes n'étaient pas tres robuste, pourtant lui tout ce qu'il connaissait des elfes c'était Glorfindel duquel il avait combattu a ses côtés, et pourtant lui il est tres robuste, quoi qu'il est vrai que c'est difficile a dire puisqu'il est tellement habile que même son armure ne subit aucun coup, mais ce qui est sure c'est qu'il a de l'énergie a revendre en combat. Du moins la n'était pas la question, il acquiesça d'un signe de tête voulant dire: a moitier, penchant sa tête a droite puis a gauche, suivi d'un sourire a son habitude.

Ensuite elle accepta l'invitation de la visite, mais en laissant un commentaire sur sa tenu vestimentaire, que Kerwin n'avait pas remarqué de si sale que cela, puisque lui-même avait l'habitude de se promené partout dans la ville sans se soucier a savoir si il était sale ou non.. Du moins surtout dans sa jeunesse, mais bon si elle était sale, les soldats lors d'une guerre sont dépourvu de propreté, et pourtant tel est le cas, donc selon Kerwin qui avait vécu la guerre, elle n'était aucunement mal propre. Kerwin repondit ainsi avec un sourire quelque peu moqueur, mais a l'endroit de personne.

- Je n'ai pas vraiment de vêtement a mon appartenance pour vous. Vous me comprendrez! Mais bon la plupart des gens ici ont déja voyagé et tous savent qu'on ne peut pas être parfaitement propre lors d'un voyage. Mais si vous voulez et si vous avez d'autres vêtements vuos pouvez aller vous changé dans une chambre, comme vous voudrez.

Il laissa quelque seconde de silence, avant de se retourné et commencé a marché, environ un pas ou deux, rien de plus, puis il se retourna et fit un signe de tête, souriant a sa fidele habitude avec son fameux sourire bien a lui. Le signe de tête voulant bien évidemment dire a peu pres cette phrase-ci: "vous venez ?" . Tout en marchant dans les corridors Kerwin demanda ceci a l'elfe a ses côtés.

- Où voulez vous visité en premier, la salle du throne, la salle d'entrainement, le balcon principal, les chambres, les cuisines peut-être, la cour principal, l'écurie royal ou les jardins ? c'est a vous de voir!

Dit-il d'un ton indéniablement enjoué tout en regardant autour de temps a autres, Il attendit patiemment une réponse de la part de son hôte.

Larannë entendit avec soulagement qu'une chambre lui était prêtée. Kerwin précisa que les gens de Cair Andros comprendraient tout à fait une telle tenue lors d'un voyage. Seulement, Larannë s'était dit qu'elle n'allait tout de même pas rester crottée pour une fête ! Ce serait désanchanter le mythe des elfes qui sont toujours beaux et propres quelles que soient les circonstances. Elle souria.

"- Je vous en remercie."

Kerwin avança de quelques pas puis lui fit un petit signe de la tête pour lui dire de le rejoindre, ce que Larannë. Le prince lui proposa de visiter plusieurs endroits : la salle du trône, la salle d'entraînement, le balcon, les chambres, les cuisines, la cour principale, l'écurie royale ou encore les jardins. La jeune fille, devant tant de possibilités, ne sut que dire. Puis enfin, elle déclara après avoir un peu bafouillé :

"- L'endroit que vous aimez le plus."

La princesse de Forêt Noir remercia Kerwin, et son simple remerciement fit une fois de plus sourire le prince des lieux. Qui songeait a plein de chose en même temps sans vraiment le réalisé. Elle lui proposa l'endroit qu'il aimait le plus, normalement cet endroit aurais été en dehors du château, l'inconnu. Sinon a l'intérieur du château la plupart du temps il s'agissait de la salle d'entraînement, ayant toujours eu comme rêve de devenir un héro, mais cet fois-ci il n'avait pas trop envie d'aller dans la salle d'entraînement, non pas parce que son rêve avait changé, bien au contraire ce rêve était de plus en plus encré en lui plus les jours avançaient. Mais seulement parce que selon lui elle n'aurais premierement pas envie de voir la salle d'entraînement, c'était plutôt normal comme endroit, et parce qu'il y avait bien mieux ailleurs. Kerwin repondit donc ainsi:

-D'habitude je passe la majorité de mon temps dans la salle d'entraînement, mais bon c'est plutot banal. Allons au balcon principal voir où en est la fête!

Habituellement il regardait la ville de par sa fenêtre, mais il voulait voir qu'est-ce que sa donnait de voir la ville par le balcon principal, sourtout avec tout les gens qui se promenent dehors, qu'il puisse s'imaginé qu'est-ce que sa a l'air lorsqu'on fait un discours, puisqu'il n'en avait jamais fait a toute la ville, a vrai dire il en avait seulement fait aux soldats. Il accéléra donc le pas de façon dynamique, suivi de Larannë ils se rendirent au balcon principal, qui était quelques étages plus haut. Ils arriverent sur une porte en bois avec des barreaux de fer dessus, mais auparavant durant le chemin ils avaient rencontré plusieurs portraits de tout les ancêtres royaux de Cair Andros, plusieurs objets de valeur, mais ce n'était rien comparé a la salle au trésors mais Kerwin ne pouvait ni dévoilé son existence et encore moins y mené quiconque. Donc arrivé a la porte Kerwin l'ouvrit et fit signe de geste de la main a Larannë qu'elle pouvait entré et il entra par la suite, laissant la porte ouverte. La porte menait dans une salle, tout de même simple, mais avec un énorme table plus vers la droite que vers le centre de la piece, une multitude de chaises y étaient placé autour. Parfois, ces temps-ci plus rarement, un conseil s'érigeait ici, mis apart cela la salle était bien simple, toute de pierre évidamment, elle laissait deux sorties, une par laquelle les deux personnages royaux étaient entré, et un autre n'ayant pas de porte, ornant un cadre de porte avec une multitude de symbole entrecroisé ne voulant absolument rien dire, cette sortie menait directement sur un grand balcon en pierre, faisait une demi-lune parfaite le balcon avait une sorte de petit mur comme avec des barreaux qui eux aussi était rempli de symbole ne voulant rien dire ( je parle la de ce qui nous empêche de tombé en bas, ne me souvenant plus du nom que sa a XD ) .

Kerwin alla donc sur le balcon et s'accota sur le genre de petit mur qui empêchait de carrément tombé en bas et ainsi mourir a coup presque sure. Il regarda la foule, puis tout en regardant la foule il ajouta au arriere son que donnait la fête:

- C'est ici!

De sa parole toujous et a jamais enjoué, ainsi qu'avec un sourire, il semblait regardé dans la foule, a vrai dire il regardait dans la foule mais il sembla se concentré pendant un instant, même plus qu'un instant. Il avait reconnu la petite charlotte comme il l'avait fait lorsqu'elle était entouré d'Uruk-Hai. il arriva a la suivre pendant un instant mais il l'a perdit a nouveau dans la foule, malgré qu'elle était accompagné d'un garde, Kerwin n'avait pas la même vision que les elfes. Puis il tomba dans ses pensés, pendant que Larannë devait surement regardé soit la foule ou alors le château de par le balcon. ses pensés donnait cela si jamais sa intéresse quelqu'un

*** Dommage, j'ai tant fait pour l'aidé mais toujours elle a refusé, sa semblait être une bonne personne, refusant d'être mon amie selon des noblesses étrange que je n'arrive pas a comprendre. J'aurais pu bien m'entendre avec cette personne, et pourquoi elle m'en veux d'ailleurs, je n'ai voulu que son bien. est-ce qu'elle pense que tout ce que je veux c'est l'épée ? Mais non... elle n'avait aucunement cet épée lorsque je l'ai sauvé des Uruk-Hai, et que j'ai sauté sur ce Nazgûl. mais bon, en esperant pouvoir prouvé ma bonne foi un jour... et pourvu qu'il ne soit pas dans la cité....... ***

Puis il se tira lui-même de ses pensés. On dit que la vitesse de pensé est plus rapide que la vitesse de la lumiere, puisque l'on peut se retrouvé a nimporte-quel endroit dans le monde en une fraction de seconde, ainsi ce petit discours a lui-même ne prit pas beaucoup de temps a vrai dire. Il tourna son regard vers la belle princesse qui se tenait non loin de lui, souriant d'être avec une bonne personne, dans un temps de paix et de fête. Il prononca par la suite ces quelques mots.

- Alors comment tu trouve la vue d'ici ?

Sans même le vouloir il avait tutoyé l'elfe du nom de Larannë, et il ne l'avait même pas remarqué, si tel avait été le cas il aurais eu tôt fait de s'excusé, mais il ne l'avait pas remarqué, peut-être continuerait-il de la tutoyé ou de la vouvoyez, lui il preferais qu'on le tutoye mais il laissait le libre choix a Larannë, a vrai dire depuis le début de leurs rencontres ils se vouvoyait sans même que Kerwin le réalise, sa avait été un réflexe pour lui. Mais bon, seul le futur peut nous prédire l'avenir alors attendons la suite des évenements.

Après quelques instants de rélfexion, le prince déclara que la pièce du chateau dans laquelle il passait le plus clair de son temps était la salle d'armes (quoi de plus normal ? ^^) mais que le balcon était susceptible d'être beaucoup plus intéressant. Il accéléra alors le pas et entraîna la princesse dans le dédale de corridors qu'habritait la forteresse. Ils ralentirent devant une immense porte de bois qui était décorée de barreaux de fer. Kerwin poussa la dite porte et pénétra dans une salle en faisant signe à Larannë de le suivre. Sur la droite, il y avait une immense table rectagulaire faite de bois, entourée de siège à haut dossier.

* Pour les réunions, naturellement ..* pensa la jeune fille.

Elle vit ensuite que le jeune homme qui l'accompagnait s'était avancé sur le balcon de pierre. Elle le rejoignit. En dessous d'eux, le peuple de Cair Andros buvait, mangeait, dansait et chantait en l'honneur de la princesse des lieux. Larannë, grâce à sa vue perçante, voyait les moindres détails de la fête. Ici, une jeune femme se faisait marcher sur les pieds par son cavalier, sûrement piètre danseur et là, un jeune couple de tourteraux dansaient les yeux dans les yeux, l'un et l'une captivé(e) par l'autre. La princesse elfique eut un éclat de rire lorsqu'elle vit cette pauvre femme grimacer de douleur et un sourire attendri à la vue du jeune couple. Toute cette humeur joyeuse faisait terriblement envie à Larannë. Il lui semblait que les elfes étaient moins ivres de joie, plus réservés, plus conditionnels, sans doute plus austères. Il y avait rarement des réjouissances telles à la Forêt Noire et, lorsqu'il y en avait, tout était toujours trop rigide au goût de la jeune fille. D'ailleurs, elle se retourna vers le prince, les yeux qui reflétaient encore la joyeuse foule et qui brillaient d'envie, pour lui demander :

"- Et si nous les rejoignons ?"

Kerwin qui regardait la foule tout en attendant la reponse de la jeune elfe. Lui tout ce qu'il voyait, avec sa vision d'humain, c'était son peuple des plus heureux, fêté, boire, dansé et s'amusé. Puis pendant qu'il regarda le peuple de Cair Andros Larannë repondit a sa question en lui demandant si il voulait qu'on les rejoigne, Kerwin se retourna puis la regarda quelques instant. Il ne pensais pas a grand chose, a vrai dire on pourrais même dire qu'il ne pensais pas en ce moment, Il repondit donc ainsi.

- Pourquoi pas!

Fit-il avec un sourire en coin, avant de commencé a faire le chemin pour se rendre dans la ville, mais il s'arrêta apres la porte en bois et en fer, puis il l'a regarda et dit d'un ton blagueur avec un peu de sarcasme.

- Cependant c'est toi qui guide, parce que je ne me souvient plus du tout du chemin!

Puis il l'a regarda, dans l'attente d'une réponse ou qu'elle tente de trouvé le chemin, il savait déja cependant qu'il la guiderais si elle allait vraiment nimporte-ou, mais il savait que les elfes avaient de bonnes mémoires, donc il pensait que peut-être ce fut possible qu'elle trouve elle-même le chemin. La blague lui était venu seul sans réfléchir au conséquence possible, c'était dans son caractere d'être un blagueur inné, un farceur ou peu importe les synonymes qui s'associent a ce mot. Il avait son étincelle de jeunesse dans les yeux, cet étincelle qu'il avait perdu peu avant la disparition de sa soeur lorsque ceux-ci avait eu leur premiere et seule vrai chicane.

( désolé si ce n'est pas long, au pire j'éditerais pour rajouté. Seulement je n'ai pas beaucoup d'inspiration )

[C'est pas grave, je comprends, ça arrive à tout le monde !]

Larannë fut heureuse d'entendre une réponse positive à sa requête. Elle suivit Kerwin, qui sortait de la pièce mais il s'arrêta après avoir passé les lourdes portes de bois. Il décréta avec une certaine malice qu'il ne se souvenait pas du tout du chemin et que cependant, c'était elle qui allait guider les opérations.

"- Soit. Même si je pense que vous avez une méchante tendance à mentir !" déclara-t-elle sur le ton de la plaisanterie.

Puis elle passa devant lui en lui tirant la langue. Il ne faut pas oublier que Larannë avait parfois des comportements complétement puérils, héritage de querelles futiles entre frères et soeurs du style : "Papa, Kaythy m'a pris mon peigne, elle ne veut pas me le rendre !" ou encore "Maman, Elonnon m'a poussée dans la rivière !". Elle jeta un regard circulaire autour d'elle, ferma les yeux, les rouvris puis s'élança sans hésitation à gauche. Elle prit ensuite la première à droite, continua tout droit jusqu'à ce qu'ils rencontrent un escalier, après la cinquième intersection. Elle dévala les marches comme elle le faisait à la Forêt Noire, même si elle préférait s'assoir sur les rembardes de bois et glisser jusqu'en bas. Elle continua ensuite un peu le long du couloir et en prit un autre, à droite. Elle tourna à gauche après quelques mètres de marche et se retrouvèrent dans le hall du palais. Larannë fit volte-face et croisa les bras.

"- On dit que les femmes ont un sens de l'orientation bien plus inférieur que les hommes .. Y crois-tu ?"

La jeune princesse avait elle aussi tutoyé le prince sans y faire vraiment attention. A vrai dire, elle trouvait que le vouvoiement avait un certain charme que le tutoiement ne possédait pas. Mais là, l'âge des deux jeunes gens étaient trop rapprochés pour qu'elle continue ces formules de politesse. Kerwin pouvait bien avoir l'âge (humain, pas elfique ^^) d'Elonnon, son frère aîné ou bien de Melia, la plus grande de ses soeurs !
Elle attendit la réponse de Kerwin en songeant à un bon bain parfumé ..

Kerwin qui venait de demandé a l'elfe à qui il faisait une visite guidé de lui trouvé le chemin de la sortie, avait un sourire aux levres a la réponse de la dites elfe. Puis il rétorqua une réponse comme la suivante.

-Et bien vous êtes plus perspicace que je ne le croyait.

Fit-il avec un sourire en coin, se trouvant a la fois moqueur et sincere, faut le faire quand même! Donc il suivit Larannë dans le chemin qu'elle prit, qui se trouvait a être le même chemin qu'ils avaient prit dorénavant, mais cependant il n'avait pourtant pas remarqué qu'elle avait prit en note le chemin, peut-être l'avait-elle fait d'un inconscience, et discretement. De plus elle prenait le chemin avec une étonnante confiance, ce qui surprena le jeune prince de plus belle. Une fois arrivé elle lui sortit une rémarque qui plut bien a Kerwin, qui repondit donc sincerement ceci.

- Je n'y est jamais vraiment cru, pour tout dire je n'ai jamais entendu ses dires.. mais vous ne le confirmez aucunement, au contraire!

Apres le " je n'ai jamais entendu ses dires " Il laissa échappé un leger rire avant de continuer sa phrase. Puis juste au moment où il était sur le point de parlé des gardes se précépitèrent rapidement dans le château, un s'arrêta devant Kerwin qui l'interpella d'un signe de main et d'un simple regard completement confus Kerwin fit comprendre au soldats qu'il voulait comprendre ce qui se passait, le soldat en question l'informa qu'un Loup-Garou se trouvait dans la cité. Kerwin fit d'abord un expression faciale de quelqu'un de surpris, puis il sembla desesperer.. il passa sa main dans ses cheveux ondulé lui arrivant environ aux épaules. Il détacha quelques cordages et le garde l'aida à enlevé son armure qui ne lui donnait pas vraiment de défense puisque c'était une armure d'apparat. Kerwin se tourna vers Larannë.

- Attend moi ici je dois reglé des problèmes majeur, un Loup-Garou se trouve dans la cité et il en veux a une amie a moi. Je revient sous peu, reste dans le château tu est plus en sécurité.

Puis il parti a la cuisine la plus près, il se rappelait que dans le premier étage fuate de ne pas avoir d'ustensil il y avait des petites dagues, ou poignard, en argent. Il alla en chercher deux puis il repassa par la même porte avant de se dirigé là où toute l'attention était dirigé, vers Idrahil!

Apres un certain temps, au maximum 10 minutes, un garde revint, un papier style parchemin a la main, sur lequelle il était inscrit ceci:

" Désolé de mes actes irréfléchi, mais justement j'ai besoin de réfléchir, de m'isolé... Je suis désolé, j'était sensé vous faire une visite, mais si vous contiez resté dans la ville pour la nuit, au lieu d'aller dans une auberge vous pouvez dormir dans le château, seulement montré cette lettre au seigneur Targon. Je vais revenir, seulement je ne sais pas quand... j'ai besoin de discuté avec moi-même, de faire le vide et de me retrouvé, Si vous voulez partir, libre a vous.. peut-être si cela ne vous importune pas qu'un jour je viendrai vous rendre visite en forêt noir... du moins vous êtes libre, a ce soir je l'espere, ou sinon a bientôt je l'espere aussi.

Signé: Kerwin fils de Targon"

Plus tard, Kerwin revenait, environ 10 a 30 minutes plus tard, peut-être 15 minutes plus tard. Larannë regardait ce qu'il y avait avec attention dans les alentours ( si sa te convient! ^^ ) et donc Kerwin revint, il se dirigea vers elle et baissa la tête puis il dit.

- Veuillez me pardonnez de mon départ pressé, il se passait des choses que je devais reglé, et j'Avais besoin d'un peu de solitude... quoi que que... en tout cas... veuillez me pardonnez.

Il prit une courte pause, durant laquelle il releva la tête puis il lui répondit.

- J'ai décidé que j'allais aller devenir un vrai chevalier de Dol Amroth et je part bientôt, mais pas tant que sa, nous pouvons aller participé a la fête si vous le souhaitez encore ?

Puis il attendit patiemment sa réponse.

( Désolé mais c'est que jouer avec quelqu'un d'inactif c'est pas cool, sans rancune, on se reprendra. Je vais faire comme si, si il y a quelque chose que tu veux changé ou rajouté libre à toi de le faire a ton retour ^^ )

Les deux nouveaux amis participèrent à la fête, ils dancerent et s'amuserent bien. Kerwin ne se souciait plus de grand chose a l'entour de lui il était heureux en la présence de sa nouvelle amie. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu autant de plaisir avec quelqu'un, a vrai dire toujours occupé a apprendre et a apprendre il n'avait jamais prit le temps de se faire des amis et aujourd'hui il était heureux d'en avoir une. Tout le temps qu'il passait avec il l'a regardait dans les yeux captivé par la beauté de son âme. Mais bon.. après un certain temps durant la fête Imrahil vint le chercher ( sa ne lui tente pas de faire un post juste pour dire sa ). Il dit aurevoir a Larranë et partit accompagné d'Imrahil, vers la sortie de la ville. Larranë tant qu'a elle avait accès a la chambre de Kerwin par le biais que Kerwin avait dit aux gardes et le petit message, ou si elle voulait elle pouvait aller a l'auberge ou partir de Cair Andros.

[Je suis vraiment désolée Kerwin ! Mais ma vie réelle a été très mouvementée ces derniers temps et je n'avais plus le temps ni l'envie de faire vivre mes personnages.
*Emma se fait taper dessus par : Larannë, Lankâa, Morgan, Patrick, James, Maud, Louis XIV, Louis-Etienne, Hélène, Iresh, Laifennas, la future Lyna, le futur Hayden et la future Yumi*]

Larannë n'eut pas le temps d'ajouter un mot que son beau prince charmant s'était évaporé sous prétexte qu'il y avait un loup-garou dans la ville. La jeune elfe ouvrit la bouche inutilement puis, elle répondit au vent qu'avait soulevé Kerwin en faisant volte-face :
"- A bientôt ..."

Quelques instants plus tard, un garde lui présenta un pli. Elle remercia le serviteur de la ville et le gratifia d'un sourire. Elle déplia la lettre et lut pour elle-même :

Désolé de mes actes irréfléchi, mais
justement j'ai besoin de réfléchir, de m'isolé... Je suis désolé,
j'était sensé vous faire une visite, mais si vous contiez resté dans la
ville pour la nuit, au lieu d'aller dans une auberge vous pouvez dormir
dans le château, seulement montré cette lettre au seigneur Targon. Je
vais revenir, seulement je ne sais pas quand... j'ai besoin de discuté
avec moi-même, de faire le vide et de me retrouvé, Si vous voulez
partir, libre a vous.. peut-être si cela ne vous importune pas qu'un
jour je viendrai vous rendre visite en forêt noir... du moins vous êtes
libre, a ce soir je l'espere, ou sinon a bientôt je l'espere aussi.

Signé: Kerwin fils de Targon

Elle secoua la tête, n'ayant pas compris ce que le jeune homme avait voulu dire. Puis elle jeta un regard circulaire autour d'elle. Elle soupira. Qu'allait-elle bien pouvoir faire, maintenant que sa seule compagnie humaine s'était enfuie ? Larannë souria et se précipita vers les écuries.
Elle trouva Aethen dans une stalle remplie de paille aux reflets d'or et en plein mastiquage de foin. Elle souria. Le harnachement elfique était posé, rutilant comme si on venait de le nettoyer, à côté de la porte de la stalle. Larannë pénétra dans la stalle de son étalon avec la bride d'Aethen. Elle remarqua que le cheval avait été étrillé d'une manière experte et que plus un gramme de poussière ne venait ternir la robe étincellante de l'équidé gris. Elle le brida en souriant puis le fin sortir de sa stallle et l'emmena vers l'extèrieur. Là, elle l'enfourcha souplement et elle sortit de la cour du palais au petit trot.
Dans la lumière déclinante d'une douce fin d'après-midi, elle visita la ville de fond-en-comble, n'oubliant aucune petite rue sinueuse, s'arrêtant pour admirer les saltimbanques et leurs drôles de numéros. Elle s'emplit de musiques, de couleurs et d'odeurs jusqu'à en crever. Elle ne reprit le chemin du palais que le soir tombant, la tête tournante de toutes ces images. Son regard se posa sur une tête connue. Elle plissa les yeux et le reconnu. Elle pressa Aethen d'aller plus vite et l'étalon se fraya un passage dans la foule à l'aide de son large poitrail. L'elfe augmenta la pression des rênes lorsqu'ils furent à la hauteur de la personne. Larannë tendit une main.

"- Je t'emmène ?"

[Surtout, tu me dis si tu n'avais pas envie de reprendre ici ! Je n'ai pas tenu compte de ton deuxième post.]

Kerwin, qui s'était réveillé du poison somnifère que l'on lui avait servie sans même qu'il s'en rende compte, se souvenait encore de la phrase que l'on lui avait dit avant qu'il ne tombe inconscient d'un sommeil profond. Et tout en revenant d'un pas lent il prévoyait se rendre a Umbar, son destrier l'avait suivit sur la liniere de la forêt reconnaissant son odeur, mais comme Kerwin lui avait dit de ne pas entrer dans la forêt il ne l'avais pas fait. Puis Kerwin ayant retrouvé son chemin vers Cair Andros avait trouvé son cheval à la sortie de la forêt. Mais comme il était pensif et il n'avait pas envie de chevauché Héro, il ne fit que le tenir par la bride tout en continuant de marché.

Une fois en ville il alla laissé son cheval a l'écurie de l'armée dans la section royal. Puis quand il sortit il se dirigea vers la forteresse, les pensés dans le vide, il pensait a tout et a rien a la fois... du moins il ne pensait pas à grand chose de précis, sauf peut-être Larranë, il se demandait où elle pouvait bien être en ce moment quand il l'a vit arrivé soudainement, quelqu'un lui dit " Je t'emmene " il leva la tête et aperçut la belle elfe qu'il avait fait connaissance plus tôt. Il fut très surpris et pendant un instant ne savait pas vraiment quoi dire, ce qui donna a peu près sa:

- Heu.. J.. ... m'emmenez où ?

Legere pause dans laquelle il reprit legerement ses esprits.

- c'est qu'en ce moment j'ai besoin de soins je crois... mais il y a énormément de soldats blessés, donc je vais attendre un peu.

Quand il dit qu'il avait besoin de soins, il désigna son épaule qui avait reçut une flèche, ensuite du même bras il désigna le bras qui avait aussi reçut une flèche et sur lequelle se trouvait un bandage teinté de rouge par le sang. Il désigna par la suite la cicatrice que le nazgûl lui avait fait, qui n'était pas bien grave en somme mais bon, puis lui désigna les marques de griffes du loup-garou.. en désignant ces blessures Kerwin pensa en lui qu'il vivait de rude moment depuis quelques temps.. mais il se disait que sa devait être la vie du combattant d'avoir au temps de blessure.. à moins que ce ne soit qu'il ne sache pas ce battre... du moins il arrêta d,y pensé et rapporta son attention complète à l'elfe se trouvant devant lui.

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