Un verre dans la première taverne

Cirus l'avait dit et il l'avait fait, il s'était arrêté à la première taverne qui trouvait, et se mit au contoir. Il commanda un verre et le tavernier s'executa.

Tavernier: Et voilà un verre pour les oreilles pointues. dit le barman sympatiquement/

Mais Cirus le regarda avec dégout. Il en avait marre de toute ses réplique qu'il trouvait soulantes. Ou d'être mal vue par les nains. Il bu en même temp son verre cul sec, et le reposa.

Cirus: Une autre ! et quelque chose de plus fort !

Le barman servit encore un verre. Cirus continua à boire. En penssant encore au faite que c'était un elfe. La réaction d'écarlate l'avait mit en nerf... Il finit son verre et le reposa sur le comptoir.

Cirus: Une autre !...

Le barman servit encore

Tavernier: J'ai jamais vue un elfe boire autant ! Hé ! Hé !

Le barman commençait à énerver Cirus. Il e avait marre de toujours se taire quand on lui fesait une reflexion... une reflexion comme on ne peut en fait qu'aux elfes... Il continua à boire, puis le barman reprit encore parole:

Tavernier: Une autre pour monsieur oreilles pointus ?

Cirus posa son verre sur le comptoir, le barman servit encore.

Tavernier: Allez y doucement mon jeune ami ! c'est fort ces choses là !

*jeune ami* qui disait, mais plus il parlait, plus Cirus voulait lui traverser le torax avec son...... son épée... confisqué par la garde... à cause de cette jeune femme au cheveux de feu...

Tavernier: On ne boit plus ?

Cirus leva son verre et regarda le barman...

Cirus: Moi ? .......... Il sourit. A la votre !

Il balanca le verre dans la figure du Tavernier, et lui bondit au visage. Il le cribla de coup, encore, et encore. Il voyait rouge. Les clients bondirent sur lui pour l'arrêter, tandit qu'il fesait saigner la figure du Tavernier. Un de client se saisit d'une chaise, et là fracassa sur le dos de l'elfe. Cirus vit de étoile quelques seconde, puis se tourna vers celui qui l'avait frappé. Il bondit sur celui-ci et le frappa à son tour, cette fois tout les clients se mirent à frapper Cirus pour arrêter sa folie meurtrière. Il encaissait des coup de poing, de coups de débrit de la chaise qu'on lui avait éclaté dessus, et lui distribuait tant de coup qu'il pouvait, le combat ne dura que cinq minutes, car cirus ne ressentait plus la douleur, il perdit tout ses sens, et eux l'impression que la salle tout entière se remversait. En réalité, c'était lui qui était tombé, son corp ne supportant plus les coups. Les client s'arrêtèrent tous comme un seul homme, et reculèrent. Malgré son état, Cirus se relèva, il ne voyait rien à un mètre tout était brouillé. Il se dirrigea vers la sortit de la taverne dans une démarche tordu, et se perdit dans la foule.

Les réponses de l'elfe firent rigoler la jeune danseuse. Elle le prit par le bras et tenta de le rassurer.

-Ne vous en faites pas...Cirus. Je vais m'occuper de vous, si je peux trouver un moyen de vous faire entrer dans l'auberge. Vous voyez, ma chambre s'y trouve et ce serait pratique pour vous soigner.

Elle l'entraina près de la porte, mais s'arrêta à quelques mètres.

-Vous ne pouvez pas y entrer comme cela, après les dégats que vous avez fait! Prenez ma cape et cachez-vous bien! Pour le reste, vous n'avez qu'à suivre mon jeu...

Marysse poussa la porte et amena son protégé à l'interieur. Le propriétaire lui lança un regard curieux, ce à quoi elle répondit par un grand sourire et un clin d'oeil. Le tavernier ne pu que secouer la tête, un sourire géant sur le visage, laissant le "couple" passer. Aussitôt la porte de la chambre fermée et vérouillée, la belle laissa Cirus s'écraser sur le lit.

-Parfait! Il croit que vous êtes mon nouvel amant. Faites gaffe à ne pas vous faire repérer! Cela pourrait être mortel.

Elle sortit une bouteille d'alcool de son sac, en versa sur un mouchoir et posa le morceau de tissu sur une des plaies de l'elfe.

-Voilà qui devrait prévenir quelques infections... Ça ne brule pas trop?

Elle savait déjà la réponse, mais elle aimait bien taquiner les gens et le fait qu'elle l'aide lui donnait le droit, selon elle, de se moquer.

Au lendemain matin, Cirus se leva de très bonheur, le soleil n'était pas encore levé, mais l'elfe avait fait prendre assez de risque à la jeune femme qui s'était occupé de lui. Il reconnu là un grand coeur et une grande générositée, mais il ne voulait pas être un risque pour elle. Elle lui avait laissé son lit, mais Cirus ne s'en était pas rendu compte la nuit dû au fait qu'il était en piteux état. La jeune femme s'était installé sur un fauteuille, avec une couverture. Cirus se leva, et prit là porta délicatement afin de ne pas l'éveiller, puis il là posa sur le lit et remit lui remit la couverture. Il sourit légèrement maintenant qu'elle était plus confortablement endormit, puis il s'équipa rapidement et silencieusement. Ses armes avaient été confisqué par la garde si ses souvenir était juste. Il prit des fournitures d'écriture qui était posé sur un meuble, et rédigea une lettre de remerciment. Il se souvenait encore de son prénom et de sa douce voix... *Marysse*. Quelle jolie nom pensa-t-il.



Cirus n'était pas le meilleur écrivaint au monde, mais il espèrait qu'elle comprendrait davantage ce qu'il ressentait à travers ce qu'elle lirait. Il aurait scincerment aimé trouver un moyen de la remercier, mais il n'avait rien. Ni argent, ni objet de valeur. Il se rapprocha de la fenêtre, et regarda une dernière fois Marysse.

*A une prochaine fois gente dame.*

Puis il referma la fenêtre en partant et disparut dans les rues de la ville.

( "J'y monte ou j'n'y monte pas ?")

Une chaleur apaisante, des effluves de pains dorés au four, la douceur de cheveux charbon...Ces douces sensations n'était certe pas le paradis, pourtant très agréable au réveil. Se passant des étirements normal que tout humain aurait reflexe de faire en se levant, Marysse sauta du lit et cligna des yeux quelques fois, essayant tant bien que mal de s'habitué rapidement aux rayons lumineux aveuglants; les rideaux, ouverts, laissaient entrer la lumière du soleil, maintenant très haut dans le ciel. Dans peu de temps, il serait certainement à son apogée. Marysse, à elle-même:

-Ai-je dormi autant? Ce n'est pas possible, une vrai marmotte!

Elle accompagna cette constatation d'un doux rire. Puis, trouvant la lettre sur la commode:



-"Je ne sais encore comment je pourrais vous remercier de m'avoir aidé alors que j'étais dans la détresse."... Rester aurait d'abord été un bon début! Arf, les hommes...Ou devrais-je dire les elfes? Peu importe! Ne laissons pas cette histoire gaché la belle journée que Mère Nature m'a réservée!

Sur ce, elle sorti de la petite pièce que l'aubergiste appelait chambre et se dirigea vers le comptoir.

-Bonjour! Pouriez-vous m'aider? Je perçois une délicieuse odeur de pain. La boulangerie se trouve tout près?

-Bien sûre mad'moiselle! Sufis d'traverser la route et vous S'y'êtes!

-Merci, monsieur!

Et effectivement, à peine la porte de l'immeuble franchis, la jeune femme aperçu une petite maisonnette contenant tous les pêchés des gourmants. Elle s'y rendit en quelques pas, presqu'en dansant, et y acheta quelques brioche qu'elle ramena de l'autre côté. Elle en tendis une à l'homme l'ayant informé en lançant, de sa voix mélodieuse " Merci de l'aide"et s'instala à une table, tout près de la fenêtre, pour déguster son petit-déjeuné, ou à cette heure, son dîner.

Cirus arriva dans le port et réflèchissait à comment allait-il faire son entrée. Si elle avait déjà lu la lettre, ce sera encore plus difficile de là revoir en face. Il rentra en ville, déposant ses équipements dangeureux à l'entrée, et se dirigea vers la taverne où elle l'avait amené, et où il s'était battut d'ailleurs. Arrivé à proximité, il l'aperçut soudain traverser la route afin d'acheter du pain dans une boulangerie, puis revenir dans la taverne. Cirus réflèchissait, elle avait probablement lu sa lettre. Il repensa à ce que lui avait dit Anya:

"- Si cette personne est si chère à vos yeux, vous reviendrez..."

Il se remémora sa réponse.

"- Je vais là rejoindre... Oui, je vais y retourner !"

Il était maintenant à lui d'agir... elle s'était installé à proximité de la fenêtre, Cirus abaissa sa capuche et son foulard vert qui masquait son visage, puis là comptempla quelques seconde en fouilla ses poches. Il lui resta seulement un écu. Il fit tourner la pièce entre ses doigts en regardant dans les environs.....

(quelques minutes après)

Un verre de lait se posa délicatement sur la table de la jeune danseuse et Cirus bien que le coeur battant de crainte, semblait serein.

- Ca passera mieux avec, non ?

Il savait que son départ n'était pas pardonnable, mais il espèrait qu'elle puisse le comprendre. A priorit le tavernier ne l'avait pas encore remarqué. Celui-ci semblait occupé à ranger ses affaires derrière son comptoir.

Les gens défilaient dans les rues de la ville. Ils semblait tous si pressés, comme si le temps allait ralentir parce qu'eux couraient...Cette reflexion amusait Marysse qui, depuis quelques minutes à peine, avait réussis à rejoindre la lune, à oublier l'univers matériel l'entourant. Soudain, un étrange déformateur de réalité remplis d'un liquide opaque vient modifier les songeries de la jeune rêveuse. Et une voix familière...Douce, incertaine, elfique...

- Ca passera mieux avec, non ?

De nature peu colérique, voir carrément légère, Marysse releva doucement le visage et afficha un sourire chaleureux à ce Cirus qui, si vous vous souvenez bien, l'eu quitté le matin même.

-Tiens, un revenant! Est-ce que M. le Fantôme veux bien poser son élégant postérieur sur cette rustique chaise et engloutir galament la misérable mais délicieuse brioche que la modeste danseuse que je suis lui offre?

Son ton n'étais pas emplein d'agressivité ou encore de reproche. Simplement, de l'humour un peu étrange dont seule, de mémoire d'artiste, la jeune femme avait habitude de faire. Elle accompagna d'ailleurs cette remarque d'un autre tendre sourire.

-Vous pourriez en profiter pour essayer de vous faire pardonner, ou encore de me draguer, comme le ferrait volontier certains hommes dans cette pièce.

Un regard circulaire à la pièce où les regards se détournait du couple insolite qu'ils formaient fit clin d'oeil à sa dernière intervention.

Cirus sourit légèrement, et accepta volontier l'invitation de la jeune danseuse. Celà commençait plutôt bien, il n'avait pas déjeuné et accepta volontier une brioche proposée par Marysse. Puis il répondit tout en mangeant:

- Miam ! *mache* J'avoue *mache* ne pas avoir été très juste. *mache* Pas correcte pour être franc.

Il avalat, et s'essuya les lèvres avant de reprendre plus clairement:

- Je ne voulais vous causer des ennuits, mais vous abbandonner un beau matin sans vous dire aurevoir en face était mal de ma part. Je vous en demande pardon.

Il fit une petite pause, et reprit de d'un ton plus bas:

- Vous aurez de bonnes raisons de m'en vouloir.

Cirus avait arrêté de manger, en attendant la réponse de la jeune femme. Il jetta par la même occasion un regard discret aux gens dans la taverne, et se rappellait de certains visages qu'il avait cogné, et qui l'ont cognés. Il espèrait que tout resterait calme.

Le regard amusé, Marysse enchaina la conversation:

-Je n'ai pas la moindre intention de vous en vouloir pour m'avoir laisser seule dans cette petite chambre sans mot d'au revoir. Par contre, je vais probablement vous bouder pour l'impolitesse de vos actes. Un elfe devrait savoir que manger la bouche pleine n'est pas enseigner dans les cours d'étiquette!

Elle lui fit un petit clin d'oeil, prouvant qu'elle se moquait un peu de lui par le fait même. Ce n'était pas méchant, plutot amical.

- Une vie d'humaine est trop courte pour avoir des regrets! Par contre, je sais pas pour une existance d'elfe! N'empêche, on est jamais heureux lorsque l'on s'accroche au passé qu'on aurait pu avoir eu...

Changeant radicalement de sujets, elle continua:

-Donc, on fait quoi aujourd'hui? Des choses de prévus pour M. Cirus l'elfe?

Grand sourire franc, Marysse était prête`à commencer la journée, le ventre bien rempli.

(Désolée, vraiment pas d'inspiration pour quelque chose de mieux! )