Eledor venait juste de quitter la comté. Son père lui avait parlé de cette cité. Une grande cité blanche situé en bord de mer. On pouvait entendre le bruit assourdissant des vagues s'écrasant sut les rochers qui formaient la côte. L'odeur de l'iode et du sel marin vint caresser son nez. Eledor passa la grande porte de la cité d'Edhellond, une porte majestueuse taillé dans le marbre blanc, le blanc le plus pur qu'il n'est jamais vu. La porte paraissait un peu plus grande que celle de la forêt noire. Quand il approcha les portes, il vit des gravures d'or sur le haut et le bas de la porte, écrites en elfiques, et au centre, on pouvait voir une moitié des armoiries de la famille royale qui vivait en ces lieux, l'autre moitié étant sur l'autre porte. Après avoir passé les portes, Eledor descendit de son cheval, et marcha à côté de lui, pour admirer l'architecture de des lieux. Son père avait dit vrai sur cette cité ; les anges l'avaient bien construits. Toutes les maisons étaient d'un blanc pure, mais elles avaient toutes quelquechoses qui les rendaient uniques. Certaines avaient des gravures sur les portes et les fenêtres, d'autres des balcons garnits de fleurs de toutes compositions. Mais ce qui le surpris au plus haut point, fut le palais royal. Eledor se souvenait de son voyage avec son père à Minas Thirit, pour voir un cousin ou quelquechose comme ça, et on lui avait montré l'arbre blanc, et surtout le palais royal, imposant, construit dans la roche même, intouchable et indestructible. Ce palais l'avait marqué, car il n'en n'avait jamais vu le sommet. Et là, Eledor revoyait ce palais, en plus petit biensûr, mais tout autant imposant. Il s'arrêta devant pour mieux le contempler, les fenêtres étaient énormes, et la porte d'entrée aussi. des gardes étaient positionnés autour, et leur uniforme imposait le respect. Il continua de regarder cet édifice de longues minutes quand il vit apparaître une créatures sortit de ses rêves, un ange, ou autre créature magnifique. Il ne fit qu'entrevoir son visage, mais ce moment fut assez long pour permettre à Eledor de rêver d'elle un court instant. De long cheveux bruns, ondulant sur son dos comme les vagues de la mer éternelle, un regard perçant qui exprimant tant de sentiment, un visage d'une beauté rare, un teint blanc, comme la cité, quoique qu'un peu moins, c'était obligatoirement un ange. Eledor descida de se rendre dans le palais pour essayer d'obtenir une audience. Eledor monta les marches lentement, en regardant de tant en tant les marches pour essayer de revoir la belle demoiselle qui s'y cachait.