Retour dans le nord.

Kaërm vit ses compagnons s'agiter et se préparaer au combats,cependant la présence qu'il sentait était toute proche,le vent était frais et la lune claire lorsque Kaërm tira une flèche de son carquois et banda son arc.Soudain on entendit des hurlements de Wargs et des cris d'orcs,ni une ni deux le groupe se retrancha au centre de leur campement et se préparèrent au combat mais le véritable danger ne venait pas des orcs,du moins pour l'instant,le danger était plus proche,bien plus proche qu'il ne l'avait penser.Ca y est il le savait,mais il fallait en être sûr,il couru donc vers la forêt et n'écoutant pas ses compagnons d'armes le rappeler il continua a courir,les hurlements se faisaient de plus en plus pressant et des bruits de combats éclatèrent derrière Kaërm mais celui-ci ni fit guère attention:Elbarâd et ses amis étaient assez bien entrainés et les orcs ne feraient pas long feu devant leur expérience de combattants.Kaërm était enfin ariver à la lisière de la forêt ne relachant plus sa concentration,il entendit une branche bruissée derrière lui,il tira mais aucun son ne se produisit.Kaërm tira silencieusement sa dague et se mit a grimper dans l'arbre le plus proche,si c'était bien la personne a laquelle il pensait elle commeterait forcément une faute qui la trahira.

Tandis que perchée sur sa branche l'arc tendu vers les orcs, "il" courut, se détacha du groupe, "il" l'avait sentit lui aussi, "il" était là en bas de son arbre. Nolofiriel n'en pouvait plus, son bras était complètement ensanglanté. Avec beaucoup d'agilité, elle se dressa sur la branche et se laissa tomber par terre en faisant une flip arrière . Sa cape étaitbien posée sur ses épaules mais sa capuche s'était baissée.

Comme on se retrouve ... toi aussi tu as sentis ma présence hein vieux frère.

Elle ne pouvait faire l'erreur monumentale et pourtant Kaërm était un adversaire redoutable, lui seul connaissait son passé et lui seul savait que son coeur était pris. Kaërm était l'ami de son amant. Nolofiriel l'aimait toujours mais elle avait changé. Sa cicatrice à l'oeil et à la hanche étaient la preuve unique de ce qu'elle avait pu endurer auparavant et pourtant Kaërm ne connaissait pas la cicatrice qu'elle avait à l'oeil. La surprise se lisait dans ses yeux.

Tu n'as pas changé ... et comment va l'elfe que j'ai délaissé ?

Elle parlait distinctement mais d'une voix si faible que le phénomène était très étrange à percevoir. Ses paroles étaient claires, ses yeux comme à leur habitude brillaient et son sourire dédaigneux avait disparu pour laisser place au visage de pierre qu'elle avait adopté. Une flèche siffla, frôlant son oreille, d'un coup de main elle l'attrapa et sans mot dire mais par un simple regard elle fit comprendre à Kaërm qu'un orc était derrière lui.

Lorsque Syria apprit que des orcs approchaient, une excitation lui prit soudainement. Il y allait enfin avoir de l’action, après des mois de routine. Ces séances d’entrainement qu’elle s’obligeait à effectuer pour garder l’habitude du combat allaient enfin servir. Le nombre d’orcs et de wargs la ramena durement à la raison. Il n’était pas question de combat pour s’entrainer, mais de survie. Elle devait lutter pour sa vie, ce qu’elle faisait depuis qu’elle était née. Elle les attendrait de pied ferme, et mourra s’il doit en être ainsi.

Soudain, elle entendit une voix lui lançant avec autorité :

-Avez-vous une arme? Si non, mettez-vous à couvert derrière nous. Et protégez votre serpent!!

Elle répondit aussitôt, sans se préoccuper de savoir qui venait de parler avec tant de fermeté.

-Me croyez-vous incapable de me défendre ? Répliqua-t-elle avec indignation et fierté, avant de s’adoucir :
Oui, j’ai des armes, sinon je ne survivrais pas dans ce monde. Et je crois que mon serpent sera plus utile à mes côtés que se tapissant dans les hautes herbes…

Elle s’empressa de sortir sa longue dague dans un mouvement fluide et pris derrière son dos sa sarbacane, y glissa avec rapidité un dard gorgé d’un poison plus que mortel et se prépara au combat. Son bâton lui servira plutôt dans le corps à corps.

Elle vit tout d’un coup Kaerm quitter le groupe et s’enfoncer hâtivement dans la forêt. Elle regarda son serpent et lui demanda de le suivre sans se faire remarquer et de lui dire tout ce qu’il remarquait. Elle hésita un instant puis le somma d'aider le jeune homme de son mieux s'il était en péril et de venir la chercher s'il ne pouvait pas l'aider seul. Le serpent parrut un instant contrarié par ces derniers mots, mais hocha finalement de la tête et glissa silencieusement sur le sol en direction de l’endroit où l’elfe noir avait quitté ses compagnons.

Kaërm observait Nolorifiel avec étonnement,il n'aurait jamais cru la revoir un jour mais elle était là devant ses yeux.Il connaissait très bien l'elfe qui était autrefois l'amant d'un de ses amis cependant un goût amer lui restait entre la bouche:Nolorifiel était parti un beau jour laissant tou derrière elle l'ami de Kaërm en était mort de chagrin et cela il ne pouvait le pardonner.Il remarque de longue entaille sur le visage de Nolorifiel mais n'y preta pas grande attention.Il répondit:

-Cela fait bien longtemps et cette époque est révolue,j'aurai préféré ne jamais renouer avec mon passé surtout de cette manière.

Avant qu'elle ne réponde Kaërm vit dans le regard de Nolorifiel une impression étrange,il comprit et fit le nécessaire:il se retourna brusquement et lança sa dague vers l'orc qui se trouvait derrière lui,il s'effondra dans un gargouilli atroce.Les bruits de combats s'intensifièrent a un tel point que l'on avait l'impression que le combat se déroulait sous nos pieds.Kaërm dit précipitemment:

-Nous parlerons de cela une autre fois je ne peux pas abandonner mes amis.

Tout en disant cela il pris son arc et une flèche et tira vers le sol:

-Si par une quelconque manière tu tentes de me retenir tu deviendra alors mon ennemis.

Rechargeant son arc il couru vers le lieu de l'affrontement:des corps d'orcs jonchaient le sol et une odeur répugnante émanait de l'endroit mais il y avait plus d'orc que Kaërm l'avait penser voyant ses compagnons regrouper en cercle avec autour d'eux une marée d'orcs le sang de Kaërm ne fit qu'un tour et il se lança dans la bataille.Il tirait,les orcs tombaient.Il n'avait plus de flèches,il sortait son épée et se battait.Cependant son esprit était préocuppé,surement dû a sa rencontre mais sa concentration fut interrompu par un grondement sourd.

Nolofiriel fut ravie de voir un peu l'ami de son amant sous l'emprise d'un coup d'énervement et de défense, elle en réprima même un rire sarcastique. Elle écouta attentivement Kaërm parler, son égo la faisait sourire dédaigneusement contre son gré. Elle jeta un regard sombre à Kaërm lorsqu'il lança une flèche à ses pieds, l'elfe lui en voulut énormément. Tandis qu'il partait vers le campement de ses amis, elle écahfaudait déjà un plan de contre attaque. Nolofiriel ne pouvait absolument pas lutter seule contre ces orques assoiffés de sang et haissant les elfes, contre sa nature elle fut obligée de porter secours aux gens de la caserne. Un rire glacial retentit de la forêt, Nolofiriel venait de voir le campement du haut d'un arbre extrêmement près de là où ils s'étaient placés, voir Kaërm se battre à l'épée la fit terriblement sourire. Elle tira toutes les flèches de son carquois, les orques n'étaient pas très nombreux mais les Wargs étaient là et c'étaient les créatures premières à abattre. Il était interressant de voir de loin la scène. Il faisait sombre mais la lune éclairait de façon incroyable le terrain. Des flèches tirées de derrières les barricades qu'avaient mises en place les soldats et quelques flèches tirées non loin du camp sortant extraordinairement d'un arbre. Les flèches s'estompèrent et des churicanes volèrent de l'arbre. Puis quelqu'un rebondit, sauta de l'arbre faisant voleter quelques feuilles ; c'était un ombre encapuchonnée, les yeux luisant de manière peu ordinaire, c'était Nolofiriel qui se mettait au corps à corps. C'était une guerrière redoutable, professionnelle de l'assassinat et des tortures, elle faisait tomber chaque orque qui l'approchait avec adresse et agilité, elle s'éloignait du campement mais sa voix s'éleva dans les airs, ses paroles elfiques résonnèrent dans le ténèbres de la nuit, seul Kaërm comprit ces paroles.

Je te retrouverais, je ne t'ai jamais retenu mais je suis consciente de la haine que tu me portes ... je te retrouverais et mon amant aussi.

Elle aimait encore ce mystérieux elfe, elle s'en cachait mais elle l'aimait encore. Les paroles prononcées n'étaient pas menaçantes, bien au contraire mais ce n'était pas si rassurant. L'ombre s'évanouit dans la nuit courant vers les arbres et l'atmosphère redevint plus douce malgré la présence encore majeur des orques.

Syria eu à peine le temps de regarder son serpent se faufiler au loin, ventre au ras du sol, que le sol commençait à trembler sous les pas lourds des orcs. En quelques secondes, ils étaient sur eux. Syria leva vivement sa sarbacane à sa bouche et tira en rafale, d’une précision typique de se type d’arme. Un, deux, trois...Des dizaines d’orcs tombèrent ainsi, une fléchette d’abord insignifiante au cou, mais qui les faisaient vite chanceler, puis tomber dans un coma (très peu) réparateur…et mourir.
Puis, lorsque les orcs et les wargs furent si proches qu’elle aurait pu les toucher s’il elle avait daigné tendre le bras, elle changea de style de combat et se lança au corps à corps. Elle sortit d’abord son long bâton, effectuant de larges et fluides mouvements, frappant plus un ennemi à la fois. Elle attaquait d’abord toutes les parties du corps de l’adversaire, exploitant au maximum l’avantage d’une arme dite « double lame ». Les extrémités de son arme semblaient frapper partout au même moment. Puis, elle utilisait des coups de pieds, de genoux et de bâton pour déséquilibrer son adversaire. Puis, elle dégaina sa longue dague et finissait le travail en finesse…et dans une effusion de sang. Elle était habituée au combat, sa méthode tant de fois répétée, améliorée, était efficace et unique.

Une grande et inexplicable joie s’empara d’elle lorsqu’elle s’aperçut que Kaerm revenait de son escapade mystérieuse. Est-ce parce qu’elle était contente d’avoir un allié en plus pour combattre ou pour une autre raison ? Elle fut interrompue dans ses réfexions par le retour de son serpent, qui sur un signe d’elle-même, se lança dans la mêlée mordant, fouettant de sa queue, étouffant de ses anneaux ses ennemis.

Après avoir légèrement dégagé une zone de quelques mètres de diamètre autour d’elle, Syria porta toute son attention sur les wargs montés par des orcs. Un plan se forma rapidement dans son esprit. Elle s’élança sa dague à la main. Un champ de bataille était un des meilleurs endroits où trouver des coins d’ombres. Même si celles-ci étaient mouvantes, qui sait les exploiter n’aura pas de difficulté.

Elle se faufila dans la mêlée en tachant de se pas se faire remarquer. Elle atteint ainsi un warg dont le « cavalier » s’acharnait sur l’homme nommé Elbarad. Le semblant de loup ne bougeait pas trop, ce qui allait lui faciliter la tâche. Lorsque l’occasion se présenta, Syria se lança sur le sol en dessous la créature, s’accrocha sous son ventre avec ses jambes puis planta le plus profond la lame effilée de sa longue dague dans la poitrine du warg. Elle devait l’enfoncer jusqu’aux organes vitaux. Elle appuya de toutes ses forces et le rentra jusqu’à son poignet, sans se soucier du liquide chaud et vermeille qui coulait sur son bras, et tira fermement vers le bas, transperçant le ventre de la créature grise de part en part. Puis, sentant que le warg chancelait, elle lâcha soudainement prise et roula sur le côté. Elle se releva péniblement, tout son bras couvert du sang de sa victime puis lança à Elbarad en désignant l’orc encore sonné qui tendait de dégager sa jambe d’en dessous de sa monture :
-Tu t’en occupes, d’accord ?

Sans attendre la réponse, Syria se fraya un chemin dans la mêlée. Puis, un grand orc lui barra la route. Il essaya de l'attraper mais elle fila entre ses jambes et lui planta sa longue dague dans le dos. En même temps, un autre attaquant arriva par derrière et brandi sa dague vers elle. Une douleur à l'épaule lui arracha une plainte. Elle se retourna vivement et, dans un excès de rage, transperça du fil de sa dague le crâne du malheureux.
Elle du prendre un instant pour reprendre ses esprits. Elle avisa la tête encore empalée sur sa lame, dégoulinante de sang. Avec une expression de dégout, elle la retira et continua sa progression.

Puis elle se donna quelques secondes de repos, haletante et toute en sueur. Elle regarda autour d'elle...Devant : Un orc, derrière : un autre. À droite, à gauche, partout ! Elle était cernée. Qu'elle mauvaise combattante, elle faisait ! Elle avait été prise au piège comme une vulgaire débutante !
Elle leva son épée et bondit. Elle atterrit au pied d'un orc, qui lui lanca un regard de haut, remplie de mépris. Elle allait lui montrer de qu'elle bois elle se chauffait ! Syria lui rendit son regard et attaqua. Un coup, elle le blessait au bras, laissant une entaille sur l'armure de métal bosselée qui était sensée protégé son propriétaire. Un autre, elle le rendait boiteux et finalement le coup final : Elle se concentra, repéra une faille dans la garde de l'orc, ramena sa dague à l'horizontale, tendit à l'extrême ses muscles et pointa. Son arme se planta dans le torse de l'humanoïde, au niveau du coeur. Syria, qui s'attendait à une moindre résistance, fut projetée en avant, contre l'orc, qui tomba lourdement, l’entrainant à se suite. Elle se releva, tachée de sang, mais vivante. Elle appuya sa botte contre la poitrine de sa victime et tira de toutes ses forces sur son sa dague.

(J'adooooore les récits de combat !)

Elbarâd, son épée en main, regarda son ami s'éloigner du combat, ce qu'il na'avait jamais vu auparavant. Il y avait sûrement une raison forte qui obligeait Kaërm à s'éloigner d'un combat. Connaissant son ami, Elbarâd ne s'en soucia guère. Il s'occupa du combat. Quand les orques arrivèrent, Elbarâd fut le premier à s'élancer en hurlant vers la masse grouillante de créatures du Mordor.
D'un geste presque machinal, Elbarâd décapita des dizaines d'orques de son redoutable revers. Sa technique était très simple. De sa grande taille, il se taillait un chemin dans la masse, encaissant les coups, parant et enfoncant la lame de l'épée de son père dans la chair des orques. Il avait à présent du sang noir jusqu'au coude mais il n'en s'en soucait guère.

Soudain, un warg lui sauta littéralement dessus. Elbarâd n'eut que le temps de l'esquiver, surpris, quand Syria vint lui prêter main forte. Il lui adressa un clin d'oeil complice quand elle se dégagea de sous le warg qui agonisait.
Elbarâd se tourna vers Kaërm et quiavait rejoint le combat. Il lut sur son visage un léger trouble. Il s'était passé quelque chose. Il en était sûr et certain.
Mais Elbarâd futr contraint de reporter son attetion sur l'immense orque qui s'appretait à lui assener un terrible coup de cimeterre. Contractant tout ses muscles, Elbarâd para le coup, ployant sous l'effort. Pour se venger, il n'eut aucune pitié à découper l'orque en plusieurs morceaux même si l'orque était déjà mort après le premier coup.
Un warg, la gueule écumante, foncait à toute allure vers Elbarâd. Ce ne fut que le cri percant de Syria qui alerta Elbarâd qui se retourna et, d'un revers formidable, coupa l'épais cou de la bête, tout net. Elbarâd avait les épaules qui commencaient à fatiguer et son attention baissait.
Ses pensées s'évadèrent un instant, il pensait à Cair Andors, Minas Tirith et fut saisi s'une mélancolie saisissante. Ne se sentant pas très bien, il s'éloigna de l'épicentre du combat et s'assit sur un rocher, à l'écard. Cette senstion était vraiment bizarre et ce ne fut que le cri hystérique d'un orque qui ramena Elbarâd à la réalité. Il se replonga dans le combat, voulant noyer ces drôles de pensées dans les effusions de sng noir qu'il appréciait tant...

Nolofiriel s'était éloignée de le scène où se propagaient les combats au corps à corps à présent. Son bras lui faisait terriblement mal, elle s'était faite une entaille plus profonde qu'il ne lui avait semblé. Elle se fit un bandage avec feuilles et ficelles trouvées. Elle regarda à travers les fourrés et les arbres les combats, ses oreilles pointues et sensibles tressaillèrent sous le cri de la jeune femme. Elle possédait un serpent, chose bizarre il lui obéissait au doigt et à l'oeil, elle vit un autre homme qui apparemment connaissait assez bien Kaërm. Nolofiriel frissonna un autre plan s'échaffaudait dans sa tête un peu plus diabolique cette fois ci. Il se retira du camp, l'occasion se présentait, il ne fallait pas faillir. Elle s'approcha sans le moindre bruit de l'homme et sortit sa double lame et la mit sous sa gorge, dépourvu, prit par surprise, Nolofiriel prit une voix étrange, mystérieuse, mélodieuse et même émouvante.

Ne fais pas de gestes trop brusques, je ne te ferais aucun mal.

La beauté non-dévoilée de l'elfe la rendait encore plus charmante. Le jeune elfe le laissa décider de son sort, se demandant si elle ne ferait pas mieux de lui trancher directement la gorge mais non, elle ne pouvait pas.

[j'ai édité]

(HRP) Nolofiriel ne pas trop faire agir les autres personnages ca passe pour cette fois mais s'il te plait fait atention à ça (HRP)

Fosco, connaissant bien ce royaume depuis longtemps avait décidé de passer par ici pour se remémoré des souvenirs avant de retourné dans la civilisation, surprise il tomba sur de la civilisation, mais c'était plutot en construction, il décida de passé par ailleur le royaume étant grand, deuxieme surprise il tomba sur plusieurs personne, des orcs et toute sorte de gens, il se plaça tapis dans l'ombre, presque totalement camouflé il regardait la scene, cherchant a comprendre, il comprit rapidement qu'il y avait un personne ennemi a toute les autres et il se demanda si les orcs étaient a son service, il vit aussi cette personne partir du lieu de combat et emmener quelqu'un avec elle, il décida de ne pas trop s'en mêlé mais, restant partiellement caché il changea de position de façon a voir le combat et la scene qui allait se produire, il ne voulait pas intervenir sans raison, il regarda les gens se battre, un utilisait son armure et sa résitance, l'autre se battait un peu comme lui mais d'un style différent, il remarqua son style unique, cela le fit sourire, il ne pensais pas tombé sur une autre personne que lui qui avait développé un style aussi unique, son style et celui de cette personne était completement différent mais énormément pareil. Il remarqua aussi qu'elle dominait un serpent, il continua de regardé le combat et la scene attendant le bon moment pour intervenir dans l'un ou dans l'autre, il ne laisserais personne ne sachant "bon" mourir ici et maintenant, toujours tapid dans l'ombre il attendait

Cela faisait un moment que Kaërm s'était lançé dans la bataille les orcs étaient peut être en surnombre mais cela n'empêchait pas le groupe de se défendre magistralement contre eux.Dorénavant il se battait a l'épée et faisait tourner la lame meurtrière contre ses ennemis, un orcs se jeta contre lui ce qui le projeta a terre l'orc essayait de lui trancher le cou avec une hache de lancer mais Kaërm se débatit et réussit a repousser l'ennemi, il coura vers l'orc et lui trancha le cou ,celui-ci s'effondra comme une loque.

Le vacarme du combat devenait de plus en plus sourd et on ne voyait que des ombres en train de se battre,Kaërm vit néanmoins Syria et se dirigea vers elle mais un warg se dressait sur son passage et il fut attaqué par surprise et les cros de l'animal claquèrent près de lui ce qui arracha la cape de Kaërm,celui-ci avait réussit a esquiver l'attaque en se jetant au sol mais une tache rouge venait d'apparaitre sur son flanc,rien de très méchant mais qui eu pour effet de rendre Kaërm fou de rage oubliant le vacarme il se concentra sur son adversaire et le chargea le warg et esquiva habilement l'attaque rendu inutile par la colère de Kaërm.La bête le regarda comme lorsuqe que l'on comtenplait un bon repas mais Kaërm ne se laiisa pas surprendre une deuxième fois et lorsque le warg chargea il lui enfonça son épée dans la gueule la bête vacilla puis tomba.

Se reconcentrant sur Syria il couru vers sa précédente position et la chercha du regard mais il ne la vit pas,il se mit donc a courir a travers le champ de bataille pour tenter de la retrouver tout en combattant les orcs qui se mettaient dans son passage.

Fosco regardait le combat, sans perdre personne du regard, il avait son arc en main, avec deux fleches encocher, puis il vit un uruk qui se dirigeait dans le dos d'Elbarâd, qui ne semblait pas en parfaite concentration, Fosco le visa puis juste avant que l'orc assaile un coup violent sur Elbarâd, qui s'était peut-être tourém deux fleches vinrent se planté dans la tête de l'orc, puis des fleches venait se planté dans les tête des wargs et des uruk et ainsi de suite, personne ne savait d'ou venait les fleches, du moins peut-être d'ou elles venaient mais le tireur, Fosco, était difficilement voyable, puis les orcs se dirigeant vers l'endroit d'ou les fleches venaient, c'est a dire l'abri de Fosco, il rangea son arc et sortit sa double-lame elfique, puis il couru vers les orcs, les tranchant en deux presque comme si de rien n'était, il désarma le premier en sautant dans les airs et en lui donnant un coup de pied virevoltant, puis il lui coupa la tête. les orcs tomberent alentour de lui et le combat avançait grandement, mais garderais-t-il cet énergie jusqu'a la fin?... il avait calculé que oui, puisqu'il se battait de façon a depenser le moins d'énergie possible tout en étant le plus efficace possible.

Apres quelque temps un uruk lui sauta dessus sans qu'il ne s,y en attende, Fosco dut réagir sur le coup et en vitesse pour ne pas mourir ici, il sauta par en arriere et, fesant un roulade, projeta l'uruk hors-combat, se relevant avec l'élan de sa roulade il continua a combattre, peu apres un loup arrivère sans prevenir, il désarcenait les ennemis permettant aux autres de les tuer, parfois même il arrivait a les tuer grace a ses griffes acérés qui frappait là ou les ennemis n'était pas armuré

Elbarâd s'étant éloigné du combat, se faisait pas attention à ce qui se passait. Il sentit une présence derrière lui mais n'y fit pas attention. Ses pensées troublantes le préoccupaient trop. Son épée glissa même de sa main.
Soudain, sans qu'il ait eu le temps de comprendre, Elbarâd se retrouva avec une lame froide collée sur la gorge et avec le choix de se débattre et mourrir ou rester calme et analyser la situation. Il choisit la deuxième option et respira tranquillement. Son agresseur semblait être une fille et elle était très belle. Sa voix avait quelque chose d'envoutant. Elbarâd se resaisit et lui répondit:

" Vous croyez me faire peur? Ce n'est pas une pauvre lame qui va m'arrêter!..."

Tout en disant ces mots, il avait ramssé une pierre de sa main gauche et la fracassait sur l'épaule de l'elfe et put s'échapper de son étreinte. Il se releva plus rapide que l'éclair et reprit son épée qu'il pointa vers son agresseuse. Elle était vraiment très belle mais il préféra ne pas y penser, de peur de faire revenir ses sombres pensées. Il la scruta dans les yeux le plus profondément qu'il put. Sa réaction pouvait être très rapide...

Nolofiriel, debout fixait des yeux l'homme. Sa capuche était tombée lorsqu'il l'avait violament frappée, elle avait affreusement mal à l'épaule mais elle essayait de ne pas y penser, au contraire elle ricana. Il voyait juste, sa beauté n'était qu'un appat. De sa voix toujours mystérieuse mai changeante, elle murmurait en parlant distinctement -comme à son habitude- elle défiait l'homme de son regard diaboliquement profond.

Ravie de voir qu'un homme est apte à se battre et débattre. Jeune homme ... il ne faut pas provoquer une elfe noire, ton ami Kaërm ne t'as pas mis au courant ? On est dangeureuse.

Sur ce nom elle sourit et brusquement elle donna un coup dans l'estomac du guerrier en lui coupant le souffle, ils se tenaient un peu éloignés dans le sous-bois. Le sourire aux lèvres l'assassine gardait tranquillement son sang froid, connaissant à merveille les réactions possibles des gens. Elle se coiffait pour la enième fois de la journée, les cheveux lâches, luisant noirs aussi et très beau, pris par une main rude, dure et sans pitié, attachés en arrière en queue de cheval par une ficelle un peu spéciale. Elle hochait la tête, se tenant l'épaule qui la faisait souffrir.

Je ne te veux aucun mal, juste que je dois quelque chose à un ami et tu me serviras plus tard mais je te promet que je ne te ferais aucun mal. Mes intentions sont toujours mauvaises à souhait mais une parole est une parole.

Fosco se battait encore et toujours, et le combat se déroulait a meirveille pour lui, il n'avait pas une égratignure, mais soudainement il jeta un regard vers la scene qui se déroulait un peu plus loin, un simple regard, mais qui dura une fraction de seconde de trop. Si un ennemi se serais approché de lui Fosco l'aurais remarqué et l'ennemi en question n'aurais pas fait long feux, mais ce fît plutot un gros rocher qui surpris le rodeur du nom de Fosco, mais le rocher en question avait été lancé a une vitesse fénoménale, il n'a pas eu le temps de voir son aissaillant, en fait il n'a même pas eu le temps de voir le rocher. Il fut projeter un environ 3 mètres minimums sans hésitation, tandisque sa double-lame approximativement 8 mètres, il resta au sol, tantant de reprendre son souffle, avec cette blessure il ne pourrais pas continué le combat extrement longtemps. quoi que son armure l'avait proteger son souffle était tout de même absent. Il se demanda pendant une seconde si un des orcs aurais l'intelligence de l'achevé ou s'ils le prendraient tous pour mort. Evidamment il ne se battait pas contre l'être vivant le plus rusé au monde, c'était des orcs et leurs especes, il le laisserent pour mort, et cela donna le temps a Fosco de reprendre son souffle et de se relevé. Personne des adversaires ne l'apperçut directement, cela lui donna le temps de s'éloigné amplement du combat corps à corps auquel il ne durerais pas longtemps s'il décidait de participé. tout en ramassant sa double-lame et en la rangea dans son dos il sortit son fameux arc et tira des fleches tout en se déplaçant de façon a ne pas être repéré, il tenta aussi de tiré une deux flèches vers Nolofiriel pour aidé l'homme se trouvant a sa merci mais soit il l'a rata soit elle esquivait de justesse, il ne put voir exactement puisqu'il se déplaçait.

Durant les moments qu'il ne tirait aucune flèches il se demanda pourquoi il s'était mêlé de cela, il ne cherchait pas vraiment de nouveaux amis, il en avait asser de 0, quoi que sa ne lui dérangeait pas d'en avoir d'autres, mais il savait très bien que ces gens n'étaient pas éloigné sans raisons, et de plus ils avaient un elfe noir avec lui, peut-être c'était tout simplement pour avoir son quota d'orc de la journée, ou encore par goût d'aventure et peut-être même tout simplement une curiosité très étrange. Du moins ce qu'il savait c'est qu'il ne resterais pas ici, peut-être même pas jusqu'a la fin du combat, ils allaient posé trop de question et il ne pourrais s'entendre avec l'elfe noir. il se recula tranquilement, tout en tirant des fleches, mais cette fois-ci il ne se déplaçait pas beaucoup.... il se cacha derriere et commença a écrire un court message qu'il accrocha a une de ses fleches... il tira la fleche tout prêt de ou il savait que les aventuriers allaient se retrouvé a la fin du combat, c'est-à-dire là ou sont leurs affaires qui pourrait les encombrer durant le combat, leurs barricades.

le message contient tout simplement: Cela m'a fait plaisir de vous aidé, vous ne me devez absolument rien.. je saurai vous retrouvé

Puis il partit, pas très rapidement mais tout de même, son loup le suivant tout en guettant ses alentours

Elbarâd ne cillait pas. L'elfe noire, malgré son air pervers et menacant ne lui faisait pas trop peur. En revanche, le sourire qu'elle arborait avait quelque chose de dérangeant. Elle était assez inquiétante.
Elbarâd préféra ne pas y prêter attention et reporta son attention sur son visage bestial et tendu. Elle se tenait l'épaule, ce qui pourrait donner l'avantage à Elbarâd dans un éventuel corps à corps. Mais elle prononca des paroles qui surprient Elbarâd.
Elle parlait de Kaërm, son ami. Elle paraîssait le connaître et Elbarâd se rendit soudain que ce devait être elle la raison de l'éloignement de Kaërm du combat tout à l'heure.
Elbarâd tenait toujours son épée fermement quand il marcha vers elle, la faisant reculer.

" Qu'avez vous à me demander? Et je vous previens... s'il s'agit de faire du tort à Kaërm, même si vous me torturez, vous vous mettez le doigt dans l'oeil!!"

Elbarâd avait rabaissé son épée et son visage était à présent très près de celui de l'elfe noire...

(Bon, vous faite tous un bon Rp pis s'trop long relire le tout ) Des Cavalier apparu un peux plus loin, ils regarda autour pour remplire leur mission, selon les sources qu'ils avaient eu, leur cible se trouvait a etre a Fornost, en regardant le combat, les cavaliers, du a leur petit nombre resta a l'écart puis tira une fleche un fois de temps en temps, au monde qui s'avancait vers eux, les Cavalier portait leur bannier de leur pays, leur ville, qui etait nul autre que Dol Amroth, le Capitaine avec sont second s'avanca en demandant

d'apres vous..Elbarad se retrouverait dans le coin?..

-Nous devrons commencé par allé voir avant tout chose, au pire..nous irrons voir dans la ville par apres..

Il Cavalier commenca leur formation de combat, puis desendit par apres, en regardant et surveillant les allentours il commenca leur recherche au sujet d'Elbarad, au Galop a travers le reste du monde qui se trouvait contre eux, et les attaquais. puis quelque instant plutard, le Capitaine de la Cavalerie se retourna puis vis Elbarad, avec quelque probleme...(Pas sur de la situation elle en demande des chose ma belle soeur ) puis il se placa derriere, a quelque metre d'Elbarad en demandant

General Elbarad?!...

Il se tue par la suite en regardant l'elfe noire, la main sur sa lance en attendant une reponce et une reaction de la dame

(J'espere que je me suis pas tromper nul part Very Happy

)

(Bon je vais tenter de donner un sens à tout cela, des actions menés de toute part et l’arrivée des cavaliers de Dol Amroth à quelque peu rendus l’histoire bien étrange je vais faire un message d’ensemble pour voir.)

Le temps s’était figer, les rôdeurs accompagnaient de leurs alliés d’un jour attendait fixant les bosquet entourant le sommet de la verte colline. Chacun des souffles de ses compagnons raisonnaient dans sa tête. Soudain Beren vit Kaërm l’Elfe noir rompre le rang. Il hésita un moment à s’élancer à sa suite pour tenter de lui faire reprendre le chemin de l’esprit lucide car c’était folie de partir ainsi. Mais à peine avait il eu le temps de poser sa main sur une caisse afin de bondir par-dessus celle-ci que le serpent de Syria s’élança à la poursuite de Kaërm. Il soupira toujours debout. C’est alors qu’une flèche faillit l’atteindre en plein visage. Il se jeta à couvert alors qu’une pluie de flèche vint frapper le retranchement des héros du bien. La riposte ne tarda pas, les quatre rôdeurs tirèrent après s’être assurer du tir. Quatre orcs s’effondrèrent. Le tour des wargz vint, en un hurlement commun ils chargèrent. Leur de l’épée avait sonner. Beren se redressa tirant deux flèches, deux wargz s’effondrèrent dans leurs élans.

Amoth –« Attendez !!! »

Nul ne bougea et les wagz furent arrétés par les barricades. Dégainant leurs épées les rôdeurs bondirent à l’assaut criant en cœur.

-« POUR L’ARNOR ET LES PEUPLES LIBRES !!!! »

Les brillantes épées forgées dans le nord frappèrent à maintes reprises alors que les autres compagnons avaient rejoint le combat. Les ennemis tomber les uns après les autres la gorge tranchée, le ventre éventré et les membres taillés en morceau. Les compagnons semblaient comme saisis d’une transe guerrière. Beren lui jouait de l’épée avant de profiter d’un temps de pause pour jouer de l’arc faisant mouche à chaque tir en vue de la proximité des cibles. Mais bientôt l’épée à la main il chercha à regarder la situation. Le combat faisait rage et encore personne de ses compagnons n’était mort. C’est alors que Kaërm et une Elfe noire inconnue bondirent or des bois pénétrant un groupe d’orc avec rage. Les fils du mal ne tardèrent pas à être tous réduit en cendre. Le combat encore de nombreuses minutes. Beren n’avait plus de flèches. Un wargz s’élança vers lui, d’une roulade il esquiva la charge avant de se relever et de percer le flan de l’animal qui s’effondra dans une longue plainte. Le cavalier se leva d’un bond lance braquée vers Beren mais une flèche siffla avant de percer la gorge du monstre. Amoth venait d’aider son petit frère. Les deux se joignirent bientôt aidés de Aromir et Erolosth ils formèrent un carré dos à dos nul ne parvenait à les abattrent. C’est alors que certains orcs commencèrent à hésiter. Mais Beren cherchant du regard les autres membre de la compagnie il vit que la mystérieuse Elfe qui avait accompagner était aux prises avec Elbarâd. Il s’apprètait à rompre le carré pour venir percer de son épée l’assaillante quand un cor sonna, l’étendard au vent et jaillissant des bois sûrement avertis par le bruit du combat et les cris, une cavalerie enfonça les lignes orcs les poussant à la fuite. Beren reconnut Dol Amroth. Les orcs prirent la fuite poursuivis par Erolosth, Aromir et Amoth alors que Beren s’avançait éssouflé par le combat, il regard les cavaliers de Dol Amroth qui venait visiblement quérir Elbarâd qui faisait encore face à l’Elfe..

(Je pense que c'est un peu mieux si nous partons sur cette base la maintenant ^^)

Nolofiriel avait esquivé de peu quelques flèches étant venues de nulle part, elle regardait les yeux assassins dans la direction d'où elles venaient. Les arbres cachaient la lune qui à présent n'allait pas tarder à se coucher à son tour. La nuit était claire, en partie grâce à cet astre si rond et si lumineux mais l'astre étant, Nolofiriel ne s'en préoccupait guère, son esprit était fort bien préoccupé par son interlocuteur ... Elle fixait le jeune homme avec de plus en plus d'avidité jusqu'au point où elle ne put détacher son regard du sien. Ils avaient tous les deux un regard déconcertant ... il s'approcha dangeureusement de son visage, il tenait son épée dans une main, Nolofiriel reculait tandis que lui reculait. Son visage sombre, mystérieux et inconnu faute de son capuchon abbatu sur sa tête, l'elfe noire sentit le souffle d'Elbarâd sur soi lorsqu'il fut proche d'elle. Avant qu'un garde n'apparaisse un cor sonna et Nolofiriel glissa à l'oreille d'Elbarad avec grande douceur ...

Je ne ferais jamais de tord à Kaërm, il est trop proche d'une personne à laquelle je tiens énormément mais je ne veux rien vous demander, je veux simplement ...

Les yeux de Nolofiriel, s'éclairèrent, la voilà face à deux Gondoriens et le garde demandait à voir le général Elbarâd ... elle connaissait son nom ce qui était fatal pour l'homme ... elle pourrait le tracer sans plus de problèmes. Un sourire de satisfaction se dessina sur son visage, que seul Elbarâd vit, geste peu habituel Nolofiriel enleva son capuchon, sa cicatrice, aurait pu en surprendre plus d'un mais l'ambiance n'y était pas, elle regardait le garde qui avait une lance à la main ... Elle fit les yeux ronds et le défia diaboliquement, elle savait qu'il n'avait aucun espèce de pouvoir sur elle, trop entrainée pour tuer elle le ferait sans même qu'il ne comprenne et ne puisse réagir, un jeu trop facile cependant très séduisant, elle passa sa langue sur ses dents aiguisées, toujours le rictus glacial aux lèvres. Elle regarda Elbarâd, puis s'approcah à son tour de son visage, et étant assez près de lui pour que lui seul entende ce qu'elle allait dire, elle lui chuchota à l'oreille :

J'ai ton nom, ton grade, j'en sais beaucoup sur toi, bien plus que tu ne le penses en plus ton odeur est ancrée à présent dans mon nez ... Mon flair est infaillible, s'il le faut je saurais te retrouver, ce ne saura que trop facile ... je te promet qu'on se retrouvera. Même Kaërm n'aura pas le temps de t'expliquer qui je suis ... lui qui me connait si bien !

L'air était frais, l'ambiance reposante et pourtant toujours tendue par la présence de Nolofiriel, elle respira un grand coup comme pour s'apprêter à dire quelque chose mais elle rigola, d'un rire doux et presque mélodieux. Elle fit un quart de tour, siffla son cheval qui apparut de nulle part et s'en alla en lançant un clin d'oeil au général.

*Je te retrouverais, toi et ton ami ... bien plus tôt que tu ne le crois !*

Elbarâd admirait Beren en train de se battre. Il se débrouillait vraiment bien et avait l'air d'en avoir subi beaucoup plus qu'on pourrait l'imaginer.
Le Général reporta son attetion sur Nolofiriel qui, bien que bléssée à l'épaule et au bras, pouvait se révéler très dangereuse. Les paroles qu'elle lui sussura à l'oreille était assez mystérieuse. Cette elfe noire avait l'air d'en savoir énormément sur Kaërm et elle devait être la seule personne à l'inquiéter.
Tout en fixant toujours Nolofiriel d'un regard d'acier, Elbarâd remarqua les cris d'agonie des orques. Cela voulait dire qu'on les achevait. Ils avaient pris la fuite donc la bataille était finie. Tant mieux, Elbarâd ne riquait plus de se voir poignarder dans le dos pour une de ces viles créatures.
Soudain, une présence se ressentit dans son dos. Elbarâd se retourna et tomba nez-à-nez avec un garde portant les couleurs de Dol Amroth. Le garde, à la grande surprise d'Elbarâd, prononça son nom et son grade! Mais que pouvaient faire en pleine forêt une délégation entière de Dol Amroth venir chercher Elbarâd? Il répondit

" En effet, je suis Elbarâd, Général des Forces Armées de Minas Tirith. Je suis brulant de curiosité sur votre venue ici. Aurai-je fait quelque chose de mal à Dol Amroth?"

Elbarâd n'avait pas ce genre de souvenir, il pense même ne jamais avoir mis les pieds à Dol Amroth. Cette venue l'intriguait beaucoup.
Soudain, Nolofiriel lui parla. C'était une sorte de menace de sa part. En effet, elle pouvait le pister. Alors elle appella son cheval d'un sifflement, sauta lestement dessus et s'en alla, adressant au passage un clin d'oeil à Elbarâd. Vraiment intriguante cette elfe noire.
Elbarâd se retourna alors vers le garde de Dol Amroth.

" Expliquez moi donc votre venue, mon ami!! Je suis vraiment préssé de la connaître!!..."

Ces mots dits, Elbarâd reforma machinalement sa queue de cheval d'un blond presque blanc. Ses cheveux tachés de sang lui retombait devant les yeux, ce qui est assez genant.

Le combat prenait fin et Kaërm se rendit compte que son ami Elbarâd n'était plus là,il se mit donc en quête de son compagnon sur le champ de bataille criant son nom dans la nuit.Il regardait les cadavres des orcs,non, ce n'est pas possible il n'aurait jamais pû mourrir a cause de ces créatures il était sans doute non loin ,mais ce qui l'effrayait c'était le retour de Nolorifiel il la savait proche et sentait sa présence.Il vit des traces de lutte entre un homme de grande taille grâce au marque laisser pas des bottes et apparement un femme plus précisément une elfe,ce fut alors le déclic il se mit a courir en suivant la piste elle s'éloignait de plus en plus du champ de bataille elle se dirigeait vers la forêt,alors,Kaërm tomba sur une scène étrange :Deux soldats aux blasons de Dol Amroth se trouvait face à Elbarâd, ce qui retint surtout le regard de Kaërm c'était la présence de Nolorifiel,il avait comprit ce qui c'était passé.Pendant que les personnes discutaient Kaërm échafauda un plan:lorsque que la situation fut calmée Kaërm se rua vers la position de l'elfe tout en criant qu'il ne fallait pas la laissée partir mais c'était top tard et l'elfe s'évanouit dans la forêt.Kaërm regarda dans la forêt et cria:

-Je te retrouverais et lorsque que ce jour sera arrivé je te ferai payer!!

Lorsqu'il eut fini il se tourna vers Elbarâd et avant que celui-ci eut le temps de poser une question Kaërm déclara:

-C'est une partie de mon passé que j'aurai préféré oublier.

Sur ce il se mit a la recherche de Syria.

LE Garde regarda l'elfe noire devant Elbarad, apres avoir dit des informations sur Elbarad..il avait fait une gaffe?...il ne va jamais le savoir..puis il continua quand Elbarad lui demanda leur venu

Notre venu est pour la raison que notre Seigneur, Targon, nous envoye vous cherchez, il demande a vous voir, ces important, bah..plus pour vous que pour lui..

Le Capitaine regarda l'elfe noire, si elle suivait Elbarad juste cas Dol Amroth, l'endroit le plus sur qui se trouve au Gondor..elle trouverait trop d'information encore a sont sujet..puis il continua

L'elfe noire...cest?...

Il resta muet par la suite, attendant une reponce venant d'Elbarad

Nolofiriel partie, Kaërm surgit soudainement d'un buisson, fit quelques pas entre les arbres et rugit des menaces envers Nolofiriel. Ces menaces firent frissonner Elbarâd. Kaërm paraissait hors de lui.

""-C'est une partie de mon passé que j'aurai préféré oublier.""

Quand Kaërm prononca ces paroles, Elbarâd se dit qu'il aurait des explications à lui donner quand il aurait le temps. Mais ce n'était pas le cas pour l'instant. Kaërm partit à la recherche de Syria. Elbarâd esperait qu'il ne lui est pas arrivé de malheur.
Elbarâd interpela Kaërm:

"Mon ami!! Attends un peu!! Je vais sans doute partir pour Dol Amroth. Donc nous allons devoir nous séparer maintenant, après ce combat."

Elbarâd lut la deception dans le regard de l'elfe noir.

" Je suis désolé... Nous nous reverrons de toute façon... c'est obligé...Mais je crains que mon séjour à Dol Amroth ne soit très long. Je t'enverrai une missive pour te faire venir en temps voulu.
Bon courage mon ami."

Ne pouvant maîtriser ses émotions, Elbarâd serra l'elfe noir contre lui dans une grande accolade. Il était assez rare de voir une amitié aussi encrée entre un elfe noir et un gondorien. Elbarâd relacha Kaërm qui s'éloigna.
Elbarâd se tourna alors vers le garde.

" Vous voulez parler de l'elfe femelle? C'est une elfe très dangereuse qui connait mon ami, l'autre elfe noir. Celui-ci, c'est Kaërm, un ami de longue date en qui j'ai une très grande amitié. Nous avons bataillé ensemble des dizianes de fois. Ne croyez pas que vous me contraignez à m'en séparer... Je le reverrai..."

Sur ce ,il siffla lui aussi son cheval Eltaras et sauta dessus... Il était prêt à gagner Dol Amroth...

Syria combattit longuement, jusqu'à ce que le dernier orque s'écroule ou prenne ses jambes à son coup. Elle avait répété sa méthode sur les quelques autres wargs et tuer beaucoup d'orques. Le sang noir des orques et le sang écarlate des wargs se mêlaient sur ses bras nus, encore chauds. Elle avait dû se retirer dans les fourrés pour tenter de trouver une plante à appliquer sur sa vilaine blessure à la cheville, qui lui arrachait bien malgré elle des plaintes qu'elle se forçait à étouffer. Elle vit enfin les feuilles facilement reconnaissables de la petite plante. Syria s'agenouilla à côté d'une grosse pierre lisse, y plaça la racine beige brunâtre et, après s'être reposée un peu, elle commença à la broyer avec le pommeau de sa dague. Puis, elle la mélangea patiemment avec de l'eau de sa gourde et s'apprêtait à l'appliquer sur la profonde entaille lorsqu'elle fit alerter par un léger bruit à côté d'elle.

Elle recula dans l'ombre et s'y fondit, scrutant dans la direction du bruit. Elle vit une silhouette qu'elle reconnut.

HRP : C'est Kaerm en passant ^^

Kaërm avait cherché de longue minute Syria après la bataille, le départ d'Elbarâd l'avait surpris mais Kaërm connaissait la cause de cela, Elbarâd avait raison de faire cela on ne peut pas lutter contre l'amour.Pendant qu'il recherchait la jeune femme il s'approcha d'un des orcs: celui-ci semblait avoir un tatouage sur le corps, il représentait une croix surplombée par une étoile mais Kaërm n'y prit pas grande importance car il avait entendu une plainte étouffé.Kaërm se dirigea vers le lieu où il avait entendu le bruit et il fut ravi de voir Syria mais il vit qu'elle était blessée a la cheville,il savait ce qu'elle faisait car il avait fait la même chose pour sa blessure au flanc.Il s'approcha et déclara:

-Vous êtes une habile combattante cependant je vois que vous êtes blessée,il s'approcha d'elle et regarda la plante qu'elle utilisait,puis-je vous aider?Demanda t'il.

Attendant une réponse,il se mit a genoux aux niveaux de la jeune femme,le vent était frais et la lune claire.

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