Campement dans le Pelennor.

| HRP: Les troupes appelées doivent se rassembler ici avant le but. |

Les soldats d'Ancalìmë quittèrent Gondolin. Une énorme masse grise argent. Des chants de guerre s'élevaient dans l'air. Le vent tournoyait, en soulevant des gravillons. Les chevaux galopaient, vers le sud en Terre du Milieu. Chacun portait une lance en bois blanc avec un fer brillant. Leur cape bleu nuit voletait dans la douce brise. Leur armure majestueuse toute faite d'acier brillant et de touches d'argent brillait au soleil de matin. A la tête, la bannière de Gondolin flottait dans le vent. L'armada allait bon train. Leur vengeance allait être assouvie. Plus personne n'oserait s'en prendre aux elfes.
Le périple dura plusieurs semaines, au cours desquelles aucun brigand, aucune armée ne vint passer devant eux. Leurs arcs étaient rangés sur le côté, semblables à ceux de la Lòrien. Ils se tenaient fièrement, prêt à se déchainer contre la marée. Ancalìmë avait envoyé quérir de l'aide auprès du Grand Roi des Aigles. Deux semaines avant son départ, lors de son retour à Gondolin, elle avait envoyé des messagers un peu partout dans le Monde Connu.
L'armée parvint aux terres du Gondor, à la frontière, au mur des défenses du nord.Elle evoya une estafette à Minas Thirit préveir Aragorn et de tout ce qui allait être prévu. L'armée s'installa donc, en érigeant un campement dans le Pelennor.
Ancalìmë elle était partie vers l'est. Elle avait donné le commandement des troupes à Tyrion.

(Je ne me souviens pas que qui que ce soit aient été appelé nulle part ni que j'ai accepté que tu te déplaces Theoden. la prochaine fois, c'est un non immédiat. En passant, je vous le répète, les scènes conclues par MP ne comptent pas.)

Mon éclaireur revient à ma rencontre et m'annonça la victoire du gondor en pélargir, y compris la demande d'ouvrier venant d'arthor. Je lui envoya alors 100 ouvriers innactifs depuis longtemps étant poster au Gouffre de Helm. Après plusieur jours de chevauchade, nous arrivions enfin sur les champs du Pelennor où plusieurs armées se sont rassembler. Le Roi Théoden était présent.

Mes 30 000 cavaliers attendirent pendant que j'allais parlé avec le Roi.

J'entre dans la tente où plusieurs seigneurs attendais déjà. je fus surpris de voir de nouveau dans nos rang le garçon qui nous cosa tent de soucis autrefois. Je me rappel avoir été prêt à le prendre en charge pour que ces conflits se terminent.

Je m'incline devant le roi et les autres seigneurs.

Salutation mes seigneurs, désolé de cet intéruption. Je suis venue quérir vos ordres mon seigneur. nous étions en route pour le Pélargir, mais la bataille terminé, nous sommes inactifs pour le moment. A priorie, un assault d'envergure se prépare, quelle est la cible?

L'elfe fit une révérence au roi de Cair Andros. Il répondit à sa question.

- Les elfes qui sont sur ces lieux appartiennent au Roi Gil Galad de Gondolin qui se trouve dans la tente du prince Faramir et de la Reine Ancalìmë qui ne se trouve pas ici. Pour ma part je suis Dinglas fils d'Aedhon capitaine de la Garde des Cygnes. Je vous-y conduit monseigneur?

Il demanda à l'homme de le suivre, puis l'amena, après quelques minutes dans une tente bleue. Il ouvrit le rideau pour laisser passer Targon puis dit promptement à son Roi.

- Mon Roi, Targon Roi de Gondolin, Belfalas et Anfalas, souhaite vous parler. A Elbereth Gilthoniel.

***

L'aigle atterrit sur le sol du Pelennor. Ancalìmë enfonça son visage dans les duvets en dessous du cou de son vieil ami. Elle le remercia chaleureusement, puis se dirigea vers le camp. Ravageur était retourné, intelligemment vers Minas Thirit. Lorsqu'il l'aperçut, il henni de surprise et de soulagement; Il trotta vers elle, tandis qu'elle montait dessus. Après avoir traversé le mile qui séparait son lieu d'arrivée du camp, elle mit pied à terre puis confia son cheval à un palefrenier de Gondolin. Elle se dirigea vers la tante de Faramir, puisqu'on lui avait dit que gil Galad s'y était rendu. Elle pénétra à l'intérieur. Un de ses soldats en revenait, et en la voyant fit une révérence. Elle entra dans la tente, remarquant avec bonheur la présence de son mari, mais ne laissa rien paraitre pour le moment. Elle s'assit sur le banc qui entourait la table, puis dit.

- Me voilà. J'ai l'impression que les nouvelles ont été plus vite que moi Faramir. J'apporte des nouvelles des terres du dragon, que je réussi à atteindre après maints périls.

Elle prit conscience que son visage était encore par endroits tachée de terre et de sang, et que son armure ne brillait plus du tout, mais n'y prit pas garde pour le moment.

- Le dragon Glaurung n'a pas l'air prompt à un quelconque pacte. Mais il y a une chose dont il va profiter: la plupart des terres vont être vidées ou le sont déjà. Retrouver un territoire ravagé fait parti des risques auxquels nous devons prendre garde. J'aurais du envoyer 100 000 des gardes de Gondolin en Rohan, mais il en sera moins maintenant. L'autre partie ira Fondcombe aider pour la défense trop éprouvée d'Elrond. Avec les 50 000 d'Elladan, la défense sera tenace.

Elle soupira, sentant le poids d'une immense fatigue envahir ses épaules.

- A quels folies nous mène la guerre? Je me le demande bien. Ce qui est sur, c'est que si nous échouons, ce sera notre perte à tous. Mais parlez moi des nouvelles du Gondor et de sa seigneurie.


EDIT LEGOLAS: Psst, targon est pas ton roi à ce que je me souvienne )

Les soldats d'Elrond arrièvrent depuis Fondcombe dans le Gondor. Ils s'instalèrent dans le Pelennor avec le rste de larmée pis miren les tentes, et les divers bâtiments nécessaires. Elrond s'assit dans sa tente, près de se sgénéraux pour un rapide conseil de guerre. Il planta son épée dans le sol herbeux, se rappelant la dernière alliance et le reste, lorsqu'il combatté aux cotés de Gil Galad.

Alors que les chefs discutaient dans leur tente, je veillais à ce mes hommes gardes le morale avant la bataille à venir. Passant dans les rangs, je discute longuement avec mes hommes. A la fin de la journée je pris mon cheval et alla faire un tour dans les environs. Un jeune garçon s'amusait avec un lance pierre. Il percuta un tas de bous de bois qui s'effondra.

C'est alors que me vint une idée, une nouvelle arme qui pourrai nous servir pour la bataille à venir. jeretourne au camp, exposa mon plan à mes hommes et nous mirent aussitôt au travail.

Plus puissant qu'un bélier, plus précis qu'une catapulte et plus meutrier qu'une charge de cavalier.

Fëagil arriva dans les sanglants champs du Pelennor.
Après une marche depuis Pélargir, accompagné de ses collègues, il arriva au campement.
Là, il se dirigea vers les tonneaux de bière, histoire de se désaltérer un peu.
Cependant, il se rendit compte qu'un des tonneaux bougeait.
Il décida de l'ouvrir, et aperçut un vieil ivrogne du nom de Jack, qui y était à moitié endormi...
Il prit une chope de vin, et la lui lança au visage pour le réveiller, avant de lui dire :

" Mon ami, comment on se retrouve, hein ? "

Gil galad suivit aussitôt Ancalìmë pour la mort mais il murerais cote a cote, cette guerre était décisif pour tout les peuple libre de la terre du milieu ses pour sa que cette guerre devait être fait et non abandonner ses peuple a une mort certaine sans résistance envers les elfe. Sa lance a sa main il arrière devant l' armée de Gondolin prêt pour la bataille ayant tous leurs courage il dit a toute l' armée pour les encourager a cette bataille

Des terre sont occupé par le Mordor ont doit pas les laisser faire, on fait cela pour nos femme nos enfant et nos amis ! Cette bataille serrât peut être pour nous une de bataille ou on aura ressut le plus de perte mais ils auront pas mort pour rien il seront mort pour la terre du milieu et pour leurs libertés, Nés pas pour sa que vous étés devenue soldat ! Soldat ne les laissons pas nous tuer ou prendre notre liberté !

Se la avec l' aire de remonter le moral des troupes de leurs faire oublié qui pourrais jamais revenir sur cette terre.