Campement dans le Pelennor.

L'heure de la bataille approchait, mais avec l'aide de mes 30 000 cavaliers, nous avions réussis à terminer le premier prototype du destructeur. Le plus loin possible du camp, nous procédions au essaie de la machine.

Semblable au baliste de l'isengard, mais orienté à l'horizontale. Celle ci était capable de projeter d'énorme bloc de pierre, comme le principe du lance pierre. PLus loin, un mur fait avec des troncs se dressait et servait de cible.

Le premier tire fut réussit. La violence du choc contre le mur résonna dans le pelennor et celui ci fut désintégré. Un deuxième essai fut effectué mais avec deux épaisseurs de tronc. Même résultat. Nous continuions de rajouter des épaisseurs jusqu'à ce que le projectile ne puisse plus passer.

Au bout de 5 épaisseurs, ils nous fallaient tirer un projectile de plus pour raser le mur. J'imagine alors le sort d'une porte même renforcer, ou le sort d'une formation de piquier à l'entré de celle-ci. Une charge de cavalier précédé de cette arme pour ouvrir la voie serai indéniablement réussi.

Les essais concluent, le prototype est renforcé. La joie de mes hommes se fit entendre dans tous les champs du pelennor, tous heureux car comme moi, ils voyaient les résultats de l'arme à Minas Morgul.

La dernière tache et la plus dure est de faire approuver le Destructeur aux seigneurs.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 208 Date d'inscription : 11/09/2006

apres avoir rassembler les troups qui etait a Eomer, dans le Rohan fini par arriver au Gondor, la ou le Roi Theoden souhaitait les apporters a Minas Ithil, mais Eomer en apporta que 25 000 Cavaliers, soit la moitier de sont armé et l'autre etait rester dans le Rohan, comme il avait fait avec Dave Fusure aux idee non certaine d'attaquer une terre du mordor, il avait prit des mesure de securiter envers sont peuple, alors une fois arriver dans le campement, il s'etait deja preparer uen excuse pour ces hommes qui avait ete demander de rester au Rohan, il rentra dans le campement dans le coin des militaire Rohirim, il decendit de sa monture, le monde etait content de voir le marechal avec eux pour Minas Morgul, Eomer fit monté sa tente, avant de voir Aldor, il alla le voir en demandant

Seigneur Aldor.. ou est le Roi?...

Bien qu'il n'avait peut a dire, il devait quand meme signaler sa presence dans le campement au Roi..

Un rohirim vit que le Seigneur Eomer avait l'air de chercher quelque chose, alors le cavalier alla le voir et il lui dit par la suite en s'inclinant.

Cavalier Rohirim: Mon seigneur, les seigneur du rohan et tout les généraux son attendut dans la tente du roi, le seigneur du Rohan souhaite leur parler, je croit que votre présence serait recquise.

Le cavalier regarda Eomer et il attendit par la suite en souriant une aimable réponse venant de la par de Eomer ou une réaction venant de sa part, puis un autre messager partie vers les montagne de fer et vers Lamedon.

Jack qui avait etait reveillé en sursaut apres c'etre reçut une choppe de bierre ,se leva et reconnut Féagil .Un mercenaire Dunedain qui l'avait rencontré à l'auberge de Bree .Il se leva du tonneaux puis il regarda Feagil :

'Tu à raisons l'ami comme on se retrouve .

Jack se rebessa dans son tonneaux et continua de parler à Feagil

'Tu ne feriez mieu de ne pas me parler car si on me trouve c'est couik pour moi .....tu pige .....certe je vien de te dire cela mais personne jusqu'à la n'à pu m'attraper .Et meme quand j'était attraper je me sorter de la situation .Bon se n'est pas tout mais j'ai des peuples à sauver .Meme si eux veulent me tuer .

Jack ferma le couvercle du tonneaux et avanca tout en regardant par un petit trou pour savoir si il y avait des gardes .Il avanca à petit pas ,puis se tourna en direction de Feagil puis il lui disa

'Tu veut m'accompagner l'ami ?On va faire un tour dans les lignes ennemies l'histoire qu'on y mette un peu la pagaille pendant la bataille ,comme je ses si bien les faire

Puis après quelque heure, un drapeau put enfin se faire voir au loin dans le Pellenor, il s'agissait du drapeau des montagne de fer, les bête(ressemblant a des taureau) avançais avec un chariot derriere eux, puis 5 catapulte purent etre vue par les rohirim et les elfe, puis le cor des montagne de fer furent entendu dans tout le Pellenor, puis les nain arrivèrent enfin dans le campement, il construire leur tente et tout les soldat nain prirent une pause.

Puis après quelque minute, une autre baniere apparue, c'étais celle du Lamedon, le cor de Calembel retenti dans tout le Pellenor, puis les 5 catapulte apparurent et tout les guerrier de Calemebl prirent place sur le campement en fabriquant leur tente.

Fëagil écouta Jack parler, et ne put s'empêcher de sourire un bon coup.
Puis il affirma :

" Je veux bien, cela me fera de la distraction, et cela m'échauffera un peu...
et entre nous, j'en profiterai pour renforcer ma réputation, ainsi les gens feront plus souvent appel à mes services. "

Il attendit alors que Jack lui montre le chemin à emprunter pour causer le trouble et la pagaille dans les lignes ennemies.

Elle se retourna vers son armée, qui stoppa sa démarche.

- Maintenant, nous marchons vers la mort. Peut-être qu'aucun de nous ne reviendra. Mais nous serons morts bravement. Si c'est ainsi que doit s'achever la puissance des Noldor, il en sera ainsi. Mais si il a été décidé le contraire, ce sera votre bravoure et votre courage qui front pencher la balance de la providence. Vous n'êtes pas seuls elfes, vous êtes dans une alliance. Si nous devons mourir, emportons le plus de personnes possibles avec nous! Gloire et mort!

L'armée acclama, puis se remit en marche. Elle chevauchait aux côtés de Gil Galad, et lui parla d'un ton décidé.

- Si Minas Morgul ne tombe pas, ce sera la fin des Peuples Libres. Ils lanceront des assauts contre les terres vidées. Mais j'ai autre chose qui leur remontera le moral et les aidera à affronter l'ombre. Quelque chose que j'ai pris de Lorien. Vous verrez cela lorsque nous y seront arrivés.

A se moment quand un rohirim vit l'armée de Ancalime partir, il alla chercher Tristan dans la tente du roi Theoden et il dit.

Rohirim: Mon seigneur, Ancalimer et ses troupes partent pour Minas Morgul, devons nous sonner le cor de Fenmarche pour partir également?

Tristan: Alors mon roi, le temps est arriver, l'ultime guerre a sonner, il se peux que aucun de nous ne reviennent en vie, mais soyer sure que nous nous seront battu bravement.

Il salua le roi et il alla vers son cheval et il monta dessus et il prit l'étendart du Rohan et il regarda ses troupe, nain, rohirim et hommes qui le suivait et il dit en parlant d'une vois forte.

ROHIRIM, SOLDAT DES MONTAGNE DE FER ET DE LAMEDON, l'heure de la bataille a sonner, soyer brave, ne laisser point la peur gagner vos coeur.

Il s'arretta et il fit galoper son cheval devant l'immense armée de 150 000 hommes qui étais avec lui.

Soldat un jour les bouclier volerons en éclat, les épée tuerons les orc, mais se jours n'est pas arriver, aujourd'hui se seras l'heure des loups et des hommes, mais se jours n'est pas arriver aujourd'hui nous combattrons, pour tout se qui vous est chere sur cette bonne terre je vous ordonne tenir soldat de la terre du millieux.

Son cheval se mit sur deux pattes et les hommes se mirent a crier la gloire des hommes, les cor de toute les cité se firent entendre et Tristan partie avec son armée a la suite de Ancalime et il alla a ses coté et il dit.

Mes hommes vous suivrons jusqua la mort.

Entendant de grands mouvements d'armées et de cor derrière elle, elle tourna un instant la tête puis reprit silencieusement sa route. Un soldat, très jeune arriva près d'elle, lui disant que les soldats du Rohan la suivrait jusqu'à la mort. Impassible, elle dit d'un ton neutre, s'adressant aussi bien à Gil Galad qu'à Tistan. Elle regardait devant elle, le regard vide.

- Alors la mort nous irons chercher, réveiller et soit vaincre, ou périr avec elle. Qu'importe la ruine, qu'importe la mort, qu'importent la douleur et la souffrance... Je n'ai plus souvenir d'aucune joie. Vainquons l'ennemi. Il se brisera sur nos boucliers, et nos épées fendront l'air, en signe de victoire... ou de détresse. Je reviendrai ayant combattu avec succès les armées du Mordor, ou je ne reviendrais pas. Je sens une présence ténébreuse qui me voile le cœur, haute et puissante, sans pouvoir savoir ce qu'il en est. Le mal gronde en Mordor, ils rallient leurs légions. L'information a du filtrer, et je tuerai celui qui l'a laissé faire et celui qu'il la rapporté, qu'il soit ami ou ennemi, puissant ou faible. Dusse-je même aller le chercher au fond des crevasses du Destin, ou au fond de l'Océan.

Il écouta se que disait Ancalìmë et fut d' accord avec elle, il dit a Tristan :

Tu peux revenir voir ton roi il auras besoin de toi plus que nous.
Ancalìmë, nos soldat sont braves et il ont gagné beaucoup de bataille mais celle pourrais être notre dernier bataille face a Minas Ithil.

Il aurais préférer que sa soit pas sa mais avec tant d' armée il était a peu prés sur de gagner face au Mordor il se prépara a cette bataille depuis longtemps sa lance était dans sa main prêt a être utilisé si besoin, Ancalìmë et lui mèneras l' armée de Gondolin contre Minas Morgule. Il marchera jusqu' a que Minas Morgule soit en veut et puisse l' attaquer.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Les cors résonnaient, des cris montaient des campements… Ainsi donc l’armée de l’alliance se mettait enfin en route ?...
Thirit n’en était pas plus heureux que cela, selon ses informations, ils y avaient d’immenses mouvements d’armées se produisaient en Mordor et ses environs. Attaquer une place forte dont les défenseurs seraient aussi nombreux voire plus nombreux se révèlera plus que difficile.

Sortant de sa tente, le Commandant de la Compagnie Noire ordonna le rassemblement de son armée.
Rapidement, les tentes furent démontées, les armes et le matériel rangé, le reste brulé. Et les 50 000 hommes soldats de la Companie se rassemblèrent en ligne pour une revue d’effectif.
Avec ses deux Capitaines à ses cotés Artahrys et Hanna, Le Commandant passa en silence devant ses hommes, marchant d’un pas droit, montrant une assurance sans limite envers ses troupes.

Une fois revue d’effectif effectué, le trio de commandement se dirigea vers les chefs de l’alliance.
Arrivé prêt d’eux, Thirit demanda d’une voie neutre :

Devons nous nous attendre à des problèmes sur le chemin ?

- Je le sais, et il se peut que cela soit la dernière bataille décisive que nous ayons à mener. Il n'y aura aucune retraite pour nous, et aucun survivant si il y en a du côté ennemi. Je mènerai les combats jusqu'à notre anéantissement. En route pour Morgul, même si le feu des ténèbres doit nous prendre là bas ou Son marteau nous écraser. Tristan. Si la bataille tourne mal, repartez dans vos contrées les défendre. Il est sur que si nous échouons, un assaut vous guettera. Ils n'auront aucune pitié de nous, et nous n'en aurons aucune. Un duel à mort, c'est plaisant.

Restant silencieuse quelques instants, elle reprit en riant.

- Voilà la plus belle de nos comédies! Nous marchons sur Minas Morgul avec une infériorité frappante, tels des déments. Que ceux qui nous observent doivent se rire de nous! Et dire que que si les Peuples libres tombent, on nous pointera du doigt, nous, ayant voulu les sauver de leur mort. Nous aurions pu autant rester à Gondolin d'affaires qui ne nous concernent pas. Si seulement Cîrdan de Mithlond se serait montré moins inapte à lever ses armées... Mais une aide viens toujours lorsque nous sommes au pire alors ne désespérons pas. Il pourrait lever trois cent milles elfes, et pourtant. Nous pourrions pourtant changer d'objectif, et l'ennemi prit au dépourvu nous attendrait à Morgai. Mais nous fonçons tête baissée dans la gueule assassine du Mordor. Mais par où passer? La Porte Noire est trop bien gardée, les montagnes de cet immonde Ver sont infranchissables, de même que l'Ephel DUath. Mais au sud du Mordor... Les routes sont ouvertement larges, pour permettre le commerce avec l'Harad et le Khand. Si nous coupons leur nourriture, ils ne tiendront pas longtemps, mais nous sommes en sous-nombre. Ou attaquer alors, si c n'est...

Elle tourna la tête, surprise, par un homme qui venait de les rejoindre. Elle reconnu Thirit.

- Je suis contente que vous soyez venus ici, même après mille dangers. Votre peuple est brave Thirit. Pour répondre à votre question... Je dirais non. Il n'osera pas un terrain découvert, et il craint trop notre cavalerie, surtout si le Rohan est au complet. Non, ils nous attendra à Morgul, derrière ses murs. Mais il est imprévisible, alors restons sur nos gardes.

Tristan et ses troupe marchait toujours avec les elfe et les autre guérrier qui venait combattre contre Minas Morgul et Tristan regarda Ancalime avec un petit sourir en coin.

Bien, si sa tourne mal, je ferais reculer mes hommes et je partirais vers le Rohan, mais vous devrer couvrirent notre retraite, car sinon on ne pourras jamais partir de ses terre hostile.

Puis il dit par la suite.

De toute facon, vue le nombre que nous sommes, il ne gagnerons jamais cette guerre, Sauron a jadis perdu face a moin nombreux que lui et qui les guidait, c'étais l'alliance, alors nous seront vainceur.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 208 Date d'inscription : 11/09/2006

Les soldats semblait partir?.. Eomer regarda ses Cavaliers et regarda les cavaliers Rohirim, decidement sa promesse envers ses hommes ne tenait plus... mais bon, ils avaient foie en eux, le Marechal du Rohan regarda alors Tristan, en esperent naturellement qu'il ne reviendra pas.. et commenca a faire galopper son monde dans les troups du Rohan.. aucune machine de guerre?... eomer se retourna pour inspecter les soldats... mais ne voyait toujours pas de machine de guerre.. si oui.. Tristan avait du les apporters des montagnes de fer... il continua a marcher en passant par Ancalime, ne comprenant rien de son Elfique?... il continua en service d'eclaireur pour larmé en route pour le Mordor.. Eomer savait bien c'avec Idrahil a leur coter, le Mordor ne craignait plus une Cavalerie.. fallait etre prudant contre les attaques surprise en route...mener contre eux..

Tidus et ses compagnons de l'alliance venaient d'arriver en Gondor en passant par le Nord, ils avaient fait un détour par le Cair Andros pour des provisions. Ils avaient croiser en route de nombreux orcs et de nombreux ourouks qui avaient mal fait de quitter leurs groupe. Les 50 000 hommes avancaient, chacun d'une bannière mais d'un signe comun: Celui de l'alliance. Avant de partir et durant leurs nombreuses escales, ils avaient améliorés leurs armes, et créer de nombreuses postures de guerre aussi bien deffensives qu'offensive. Pour Tidus, la déffence étit la meilleure attaque. Il avait édiger avec son père une arme qu'ils nomèrent l'Ancalimon. Un arc composer de huit barres à doigt, pouvant ainsi tirer huit flèches à l'horisontale. Malheureusement, pour faute de moyen, ils ne purent en faire qu'une dizaines, et que seul les membres de la compagnie des loups pouvaient porter.

Ils arrivèrent enfin à destination. Déja, ils apercurent les titanesques armées du Rohan. A ce moment précis, Tidus pensa: "Ne serai-ce pas la le même nombre d'hommes que l'alliance avait auparavant? Si oui, je ne craint qu'a la fin de cette bataille il ne reteras plus rien..."
Ils s'avencèrent, en marchant légèrement, mais surement. Les hommes firent leurs camp à l'écart des autres hommes, et les représentant de l'alliance s'aprochèrent sous l'éclat de la lune qui fondaient sur eux. Tidus trouva Ancalimë un peut plus loin, et il lui dit alors en souriant:

"Je craint que l'alliance ce perde parmit les hommes de Gondor, et autres terres que je ne saurait citer. En tout cas, ce n'est pas une mauvaise nuit pour les corbeaux qui tournent déja depuis pas mal de temp au dessus de votre camp. Quel sera le programme de l'attaque? Avez vous des machines de guerre? Avez vous déja préparer les plans de l'assaut? Ont raconte que Mina Morgul est plus puissant que l'Angmar. Laissez moi vous dire que 150 000 de mes hommes sont mort la bas... Je vient mais avec la raison... Que l'on va tous mourrir..."

Il se retourna face à sont père qui en le regardant un peut de travers partit rejoindre les hommes de l'alliance. Tidus alor fixa longuement Ancalimê, dans l'espoir d'avoir une reponse...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Ainsi donc le chemin serai normalement pas très long à couvrir, les hommes ne subiraient pas d’assaut ? Tant mieux, ils garderont leur force et leur mentale n’en pâtirai pas. Toujours entouré de ses deux capitaines, le Commandant de la Compagnie Noire ne dit rien, comme à son habitude, écoutant et analysant la situation. Néanmoins, il ne put se résigner à garder le silence aux paroles de Tidus.
Lâchant un soupir d’exaspération, il répondit d’une voie calme et froide caractéristique de son attitude posée et réfléchie :

Parler encore plus fort seigneur, des fois que tout le camp ne vous est pas entendu !

Il décrivit un arc de cercle avec son bras en désignant l’immense campement

Regardez ces hommes !
Ils pensent se battre pour le bien, pour la paix, ils ont foi en leur patrie et en la victoire !
La foi de vaincre, la pensée d’être vainqueur… C’est tout se qui les tient debout pour la plus part d’entre eux ! Voulez-vous leur retirer cet espoir ?

Ne vous méprenez pas, je sais très bien que cette bataille nous coutera très cher et que la victoire est loin d’être acquise, mais c’est un discours plein de promesse que je tiens à mes hommes.
Un homme plein d’espoir vaut beaucoup plus au combat qu’un homme sans espoir…
Gardez vous paroles pour vous, si vous n’êtes aussi pessimiste que cela et que vos hommes le sont également, alors veillez à ne pas approcher de ma Compagnie… Le désespoir est un mal qui se répand dans une armée bien plus vite que la maladie et mes hommes n’ont pas besoin de cela…

Tournant la tête il s’adressa à Ancalìmë avec un sourire sans joie

Je suis venue comme je me suis engagé à le faire. 50 000 hommes, tous prêts au combat…
Vous devez surement avoir une stratégie, mais j’aimerai vous préciser que Ma Compagnie n’est pas très à l’aise dans un assaut… Pour l’exploiter au mieux de sa puissance, donner lui un rôle défensif, un point d’encrage pour notre armée, et mes hommes vous démontreront se qu’ils valent…
Je dispose également de 20 Balistes préparé pour abattre dragons et Nazgul. Vous aviez pu voire leur efficacité à FondComb, j’espère qu’elles le seront aussi à Minas Morgul…

Thirit savait que parler de la sorte à Tidus n’était pas la meilleur solution, mais il ne voulait pas entendre ce genre de discours défaitiste et encore moins dans la bouche d’un des officiers de l’armée…
Lui avait aussi ses doutes, sa Compagnie Noire étaient bonne en terrain découvert, mais l’assaut d’une forteresse était loin d’être son point fort… Et ils allaient se lancer dans l’une des plus grande bataille de ce temps…

Tristan toujours a la tete de son immense armée avancais avec Ancalime et Gil Galad a a tete de cette grande alliance, la guerre allait etre dévastatrice, mais il devait tenir bon et continuer d'avancer, alors Tristan vit un de ses teneur d'étendard arriver a ses coté et Tristan lui dit.

Fais signe au catapulte de nous suivre et dit leur de rester hors de porte en arrivant, il ne faut pas qele tombe des le départ.

Puis Tristan continua, le teneur d'étendard alla faire se que lui dit son seigneur, puis ls chariot qui étais tirer par des bete avancais, il étais pret pour la grande bataille, 10 catapulte étais avec eux, 5 des monts de fer et 5 de Lamedon, alors il contiuer d'avancer et l regarda autour de lui, Minas Tirith ne bougais pas.

Elle ne fit qu'hocher la tête, avec un regarda vague. Elle reprit la parole.

- Bon, partons maintenant dans ce cas. Mais j'ai un autre plan, dont je ne préfère pas vous parler maintenant, au vu des oreilles indiscrètes. En route maintenant. J'ai envoyé un messager à Gondolin pour ordonner d'amener des engins de sièges. Béliers, catapultes, balistes... Si nous détruisons leur force aérienne, la victoire sera à nous. Les dragons n'aimeront pas ce que nous leur concocteront. J'aimerais bien voir leur tête face à des engins en fer! Nous creuserons des fossés, les mettrons au fond. Ils seront moins vulnérables à leur "atterrissages".

Elle se détacha des autres, les laissant à leurs discussions. Elle se dirigea vers l'armée qui marchait. Elle passa devant eux, et s'éclaircit la voix avant de dire:

- Cavaliers Noldor! L'heure est venue! En route pour la guerre et la ruine, en route pour notre mort! Combattez pour la mémoire de Fëanor qui nous apprit à forger ces épées, combattez pour nos vies, combattez pour les Peuples Libres! Nos cris de joie retentiront lorsque notre marteau s'abattra sur leurs frêles esclaves! En avant maintenant, en avant!

Elle retourna ne trottant auprès des autres, tandis que les campements étaient abandonnés. L'immense armada se mit en marche, atteignant l'Osgiliath.

Les aigles avait depusi longtemps rejoint l'armée, car partis en même temps que Thirit il étaient arrivé uen semaine plus tot. Ils étaient donc resté en hauteur en sillonant l'armée de l'alliance. Thorondor se sentit à son aise dans les airs avec ses autres compagnons. Il y était déjà allé avec son élite aérienne. Vingt aigles y était. Lui, Gwaihir, Landroval, Meneldur, Myniaturo, Freytalas, Haynalom, Celebdilion, Thirrion, Mavaldir, Ulmion, Eanassa, Nèleftir, Griftalion, Galdor, Bilithys, Vrandil, Ilifronost, Belefalas et Sanamos. Ces noms légendaires étaient de l'ancienne race, celel qui vivait avant le sac de Gondolin et qui a survécu. Les autre était surement très puissant mais n'avat pas leur puissance. Ils volaient au dessus en faisant des rapport à leur seigneur et dormaient en haut de minas thirit dans la montagne. Ils suivirent les autres armée de l'allaicne quadn l'heure fut venu.

L'armé était partie en avance. le Destrcucteur terminé, il ne restait plus qu'a prévenir le Roi et partir en guerre. Nous devions faire vite, car les armé partie en avance ne tiendrai surement pas très longtemps sous les remparts de Minas Morgul.

Je m'a vança vers le Roi. Mon Seigneur, nous avons mis au point une nouvelle arme qui nous permettra de défoncer sans difficulté les portes et défenses de Minas Morgul. les 35 000 meilleurs cavaliers du Rohan sont pret à combattre. nous n'attendons plus que votre ordre. Partons nous en guerre?

Tidus suite aux paroles de Tirith baissa la tête. Dans ce que lui avait dit l'homme, il reconnu comme quelque chose qui était loin de lui, si loin qu'il ne put le rattraper... Ce n'était qu'un souvenir qui lui sembla noir... Il se remémora toute les épreuves qu'il avait du vaincre, et tint à Tirith un regard soulager, et lui parla d'une voix triste:

"Ce que tu vient de me dire, me rappèle quelqu'un que j'adorait. Mais qu'au fond de moi, en parler me blesse. Cette personne est morte en pensant pouvoir faire le bien. Il m'a offert gloire et honneur, mais surtout victoire. Il me rendait confiant... Sur de ce que j'avancait... Mais après sa mort, je sombrit dans les ténèbres et je devient comme l'ennemi, je pense comme l'ennemi... Karsh, mon frère, tu parle comme il m'a parler dès les premiers jours ou nous nous sommes rencontrés... Tirith, c'est cela? Merci... Vous avez raison... Un homme plein d'éspoir vaut bien mieux qu'un homme sans éspoir. C'est bien vous qui l'avez dit? Dans ce cas, je garderait espoir..."

Il retourna avec ses homme et se prépara à partir... Le plus tôt sera le mieux...

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