Proche de Edoras

Le combat continuai et faisait rage autour de moi et sans cesse je craignait de me faire tuer.Et peu a peu je me rapprochai des Elfes.J'arrivai au niveau de Haldir et lui dit.

-Bonjour Seigneur Elfe!Bienvenue en Rohan...

Néoreld cria au énemie :

- Regarder !!!!

Puis il montra l'autre moitier de ses cavalier qui charger.

*Je n'avez enmener qu'une moitier.*

Néoreld cria a Tristan :

- Décant de ta monture je veux te parler.

Puis Néoreld rangat son épée.

Néoreld lui répondit :

- Je ses que tu ma reconnu Tristan...pourquoi a tu rejoin le Mordor !!!!

*pourquoi pourquoi...*

Néoreld lui dit gentiment :

- Maintenant tu a le choix !!!

*Pourvue qu'il reviènent de notre cotê.*

Néoreld dit a Tristan :

- non peut-être Galadriel.

Il s'adressat au Nazgul :

- Laice-nous trancille créature.

Néoreld mit sa main sur l'épaule de tristan et dit :

- Combaton pour le Rohan.

Puis il coupa la tête d'un orc et cria :

- pour le roi du Rohan !!!! Pour tristan yaaaaaaaaaaaaa!!!!.

Néoreld lui répondit en tuan un orc :

- A Lotholrien mes dabord reprenons Edoras.

Puis il chuchota a Tristan :

- Tu crois pourvoir t'ocuper de ta monture tu pensse pouvoir la tué.

Puis il dit a ses soldats :

- Aller en Lotholrien et obeisser a tristandes qu'il serat redevenus humain.

Les soldats partirent et néoreld dit a Tristan :
- Ses bon.

Néoreld rencercla Edoras puis il cria a ses cavalier :

- Charger !!!

Tous les orcs fut tués par la charge et les rares survivants parter trés loin et néoreld cria :

- Victoire!!!!

Puis il ordona a une dizaine de soldats d'aller protéger le trone de tristan juqu'a son retour.

Il dit :

- Protéger Edoras pendant mon abcence je rejoin Tristan.

Puis il parti et asser vite il ratrapa Tristan.

Neorled parlait avec le nazgul et moi je pris une ardeur toute nouvelle au combat.
*Comment peut-il prendre le risque de ce presenter devant un nazgul sans armes...pauvre fou.Que les dieux te protegent...*

Fin du combat!Je me rapprochat des murailles et du Nazgul.Il parlait toujours avec Neorled.Les arcs des archets étaient pointés sur lui.Je le regarda parler.La main droitre sur l'épée malgré tout rester au fourreau.Pret a bondir!

(on et partit)

Mérolianne, qui avait réunnis les quelques hommes restant, alla trouver Théodred.

-Nous sommes près a repartir, mon seigneur.

Elle avait chenger sa voix pour ne pas tromper son déguisement d'homme, mais a cause de l'effort physique, on pouvait percevoir l'aigu de sa voix, caractéristique féminine. Elle espérait que Théodred ne s'en rende pas compte.