Royaume des monts cendrés

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

De retour du gouffre de Helm, Glaurung décida de laisser aller les autres peuples et seigneur noirs se débrouiller.
Il revint avec ses 100.000 orcs du Roi-Sorcier et les installa dans les montagnes. Bien qu'il s'agissait d'une barrière infranchissable, avec l'aide du dragon et sa connaissance des passages secrets, ils parvinrent à s'insinuer dans les pics et les ravins et arrivèrent au centre des monts cendrés, un endroits moins accidentés entouré d'une large barrière montagneuse.
Là, les grands travaux commencèrent. Glaurung ordonna à ses orcs de commencer à creuser la montagne. Se faisant, il partit rassembler SON armée, pas celle constituée d'orcs confiées par le Roi-Sorcier que Glaurung méprisait... Non ! Une armée constitue de trolls, de loups et d'autres créatures du genre.
Durant des semaines, le refuge dans les montagnes fut aménagé.
Lorsque Glaurung revint la première fois, les orcs avaient déjà creusés le début des galeries. Ayant donnant ses ordres, il repartit aussitôt !
Lors de son voyage, il commença par rassembler des trolls des montagnes et des loups sombres encore intactes de toute évolution. Pas vraiment des loups-garous, mais pas non plus de simples grands loups. Des créatures deux fois plus grandes et féroces. Des wargs se joignirent également à lui ainsi que des orcs sauvages.
Son armée de créatures rassemblée et les monts cendrés ratissés, Glaurung disposait de ses troupes. Si le Roi-Sorcier redemandait ses orcs, ils pourraient toujours se battre.
Elle était constituée de 20.000 orcs, 15.000 loups sombres et 5000 wargs sauvages. En outre, 5000 barbares s'étaient joins à lui de même que 5000 Uruks sauvages. Le tout, couronné par une centaine de trolls des montagnes. Mais la plus belle découverte du grand ver fut celle de deux œufs dans une lointaine et inaccessible caverne, pas pour Glaurung, des œufs de dragons !
Durant ce temps, les orcs continuèrent à creuser, rejoins par les barbares, les trolls et les orcs sauvages qui apportèrent encore beaucoup de force et de puissance à l'ouvrage.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 115 Date d'inscription : 28/01/2008

Imaragon attégnit enfin les mont cenrer se fut facile en volant.Arriver al il vint vori Glaurung.

-Alors Glaurung quel est ton plan quel endroit va tu attaquer moi je penssait attaquer un térritoir déja faible comme Pélargir.Qui se fait attaquer en se moment j'ai u nautre dragon qui surveille Angband je ne peu l'éloigner d'Angband si je part avec mais uruk ses ma protection quand je^part en guerre. mais je peu l'aporter si j'i vais seule.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

"J'hésite à aller à Pelargir.
Si mes renseignements sont exacts, le Roi-Sorcier y lance toutes ses troupes, beaucoup plus d'un million d'orcs !
Je ne pense pas qu'il ait besoin d'aide en réalité ... J'imaginais attaquer ailleurs en fait. Comme tu peux le constater, j'ai une très grande armée ici et Ancalagon n'est pas très loin non plus. Je ne me remet pas de ma défaite à Fondcombe et je désire y retourner me venger. Qu'en penses-tu ?
J'ai déjà pris ma décision en réalité et je prépare mes troupes. Me suivras-tu encore une fois ? A moins que tu n'aies une autre idée ..."

Quittant les lointaines terres des Béornides, elle galopait sur Ravageur. Les voyages à cheval lui étaient si familiers qu'elle ne ressentait rien de douloureux ou d'agaçant à être secouée pendant de longs jours. Après avoir longé les rives de l'Anduin depis les Champs du Celebrant, elle s'était détachée de sa route pour partir vers l'est. La traversée du Dagorlad fut dure et éprouvante, mais ayant fait une importante réserve d'eau sur le Grand Fleuve, elle y arriva sans grande difficultés autres que respiratoire. L'air pestilentiel obligeait à se boucher constamment le nez, et elle avait enfilé un épais tissu autour de son nez et de sa bouche. Etant tombée sur une tempête de vent, elle s'était retrouvée le visage plein de terre et tout noir.
La traversé à travers les steppes orientales fut ponctuée d'assaut de brigand;.Malgré la prise du Rhùn par le Gondor, le pays n'avait pas été nettoyé, et c'était tout à fait impossible vu au fait que les Terres Noires étaient proches. Elle refit route vers le sud. En prenant bien soin de ne pas laisser d'indice de sa présence, elle n'allumait plus de feu et ne posait pas pied à terre. Seul le pas léger de Ravageur se voyait. L'étalon était joyeux de "faire de l'exercice" aussi longtemps, et Ancalìme fut mi-agacée, mi-soulagée par cet enthousiasme. Mieux valait un cheval trop enclin à s'amuser qu'un cheval malade et boudeur. Le voyage n'avait eu que très peu d'effet sur son endurance, mis à part quelques essoufflements par moment ou pertes de vitesse. Mais la traversée était bientôt finie.
Après avoir envoyé des espions elfes un peu partout dans la Terre du Milieu après l'attaque de Fondcombe, elle avait appris où le dragon s'était installé. Oh, c'était facilement reconnaissable, car beaucoup d'armées étaient rassemblées en ce lieu, et le terres alentours étaient désolées. Prise d'une colère e voyant le paysage, elle éperonna Ravageur qui repartit de plus belle. Elle parvint à un col.

- Ered Lithui... Un mal est à l'oeuvre ici, il frappe et donne vie à ces créatures.

Elle reprit sa route, traversant vallée sombre et rebord. Elle fini par arrivé à un immense plateau, où cela grouillait d'orques et de créatures du mal. Ravageur fit de son mieux pour aller se cacher, et elle mit pied à terre. Elle avança précautionneusement à travers les rochers, de son pas léger. Des compagnies d'orques sillonnaient le paysage, écrasant de leurs horribles pieds toute la végétation rare qu'ils pouvaient. Elle fini par tomber sur un orque qui semblait haut-gradé, puisqu'il fouettait d'autres soldats et arborait sur son crâne une tête d'homme défigurée. L'orque s'écarta quelques instants de son groupe pour ramasser quelque chose sur le sol, et elle en profita pour lui tomber dessus, enfonçant sa lame dans son cou. Elle lui murmura à l'oreille.

-Amène-moi à ton maître, ou je peux te jurer que dans quelques instants, ta tête en tiendra plus sur ton cou. Pas de faux pas, pas de traitrise. Tu n'auras pas le temps de crier.

Elle avait prit grand soin de revêtir une armure d'ourouk, qui lui couvrait presque chaque parcelle de sa peau blanche. Elle fini, après quelques temps par se débarrasser de l'orque, qui lui même n'avait plus à soutenir grand chose. Elle gravit des parois abruptes et raides, et fini par arriver à un sommet. Deux dragons discutaient de leurs voix tonitruantes, parlant de leurs guerres à venir. Elle se débarrassa se son casque et de ses habits du Mordor dans un coin, en toujours en longeant de rochers autour du sommet, et elle fini par se dévoiler. Se dressant de toute sa hauteur, elle tenait fièrement sa lance sur le côté, dans main, plantée dans le sol. Son épée était rangée dans son fourreau, une étrange lumière blanche s'en réchappant. Elle dit, pour déclarer inutilement sa présence, le flair des dragons étant infaillible.

- Avant de me faire bruler vive, puis-je m'annoncer? Vous avez devant vous Ancalìmë Laravala Aethelia Lame-d'Argent, Lumière-Bénie-de-la-Nuit, reine de Gondolin et princesse d'Aman. Puis-je aussi annoncer l'objet de ma visite, et ses raisons?

-mode Imaragon-

-Fondcombre eu.... je dirait plutot quelque choses de plus faible nous avons vue comment les elfs ont répliquer avec la tonne de renfort... attaquons plutot Esgaroth... attend Thirit ma blesser au cour du combat il am persser avec ses balist vengons nous il à beaucoup aider à fondcombre détruison Carrock!quelques centaine d'homme face à la grande fureur des dragon ha ha il ne tiendrosn pas une seconde!

Ancalìmë observa l'autre dragon parler. Il ne l'avait pas remarqué. Il répondait à Glaurung. Il parlait d'une attaque de Carrock. Quelle imbécilité! Les armées de Gondolin ne tarderaient pas à rappliquer, afin d'aider leur nouvel allié. Très bien, ils pourraient venir. Alors dans ce cas, le armées seront défaites. Elle frappa avec mauvaise humeur sa lance dans le sol, et un bruit sourd se fit entendre.

- La putride haleine des dragons a-t-elle fait descendre leur ouïe et leur vue à un point qu'ils n'entendent pas même un mumakil se présenter?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

Glaurung fit mine de n'avoir rien entendu un instant puis un dixième de seconde plus tard, il s'était jeté en avant et en hurlant sur l'elfe qui tressaillit et recula de surprise.

"Ma putride puanteur, toute reine que vous soyez ... Aura bien suffisamment rapidement raison de vous si vous adoptes encore une fois ce ton déplaisant.
Je ne suis pas un abrutit d'orc et j'ai des convenances. Lorsqu'un, une dans ce cas-ci, ambassadrice se présente, je sais la laisser en vie mais lorsque celle-ci se permet de m'insulter sur MES terres, entourées d'armées innombrables et qu'elle est incapable de quitter mon royaume seul sans un guide comme elle est venu, j'ai des doutes sur la tenu que je dois adopter.
Montrez du respect et j'en montrerai.
Je vous ait vu mais ne pensez pas que deux dragons s'arrêteraient dans leur discussion pour une simple reine elfe de pacotille qui se croit puissante dans un endroit où elle n'a nul pouvoir.
Toutefois, je vous écoute. Votre présence m'intrigue et je m'engage à vous laisser partir en vie. Dites ce que vous avez à dire."

Ancalìmë sauta sur un rocher pour que sa voie porte mieux, mais il n'y avait aucun besoin. Sa voix était très sereine, même amusée. Elle dit avec ironie.

- Reine elfe de pacotille? C'est fort interessant. Peut-être devrais l'ajouter à mon nom. Revenons au sujet... Vous désirez connaitre l'objet de ma présence?

Elle fixa le regard lourd et inquisiteur du dragon. L'autre ne parlait pas.

- C'est fort simple... Vous n'êtes pas sans savoir que l'alliance des hommes et des elfes est de loin capable de porter une ombre aux légions de Barad Dur. Et il est dans notre interret commun qu'une quelconque menace "ose" vous importuner. N'est-ce pas? Beaucoup de seigneurs sont prêt à se venger de vous, et des torts que vous leur avez causé.

Elle regardait intensément le dragon, avec un léger dédain qui ne lui était pas familier.

- Beaucoup disent que es Peuples Libres ne peuvent pas se réunir pour porter un coup aux légions de l'Oeil, mais ce n'est plus certain maintenant. Sauron et ses acolytes ont forgé la belliquosité des seigneurs et rois de la Terre du Milieu. Personne ne désirerait que votre... cher royaume soit mit à bas par une alliance explosive. Même avec l'appui de votre vénérable hôte et de ses amis ailés. Mais cela aurait des compromis. Come par exemple un traité de non-agression commune vers les territoires elfes.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

Glaurung regarda l'elfe discourir longuement et parler d'une alliance capable de vaincre Glaurung.
Losqu'elle eut terminé par une proposition de pacte de non agression, Glaurung éclata d'un grand rire amusé et moqueur tant et si bien qu'il lui fallut deux minutes entières pour reprendre son souffle.
Toujours rigolant, il lui répondit.

"Vous me menacez ? Quelle idée amusante ! Etes-vous donc si aveugle pour ne pas avoir vu en regardant autour de vous que cette forteresse est imprenable. Vous n'en connaissez pas vous même l'endroit malgré que vous y soyez déjà parvenu. A votre avis, pourquoi AUCUNE forteresse ne se trouve au nord du Mordor ? Mais tout simplement parce que cette chaîne de montagne est INFRANCHISSABLE !
Rien qu'en la traversant, vous perdriez la moitié de votre armée par des éboulements, des crevasses cachées, des ravins sans fonds et des chemins trop étroits pour être employé par vous et vos alliés. Il n'y aucun moyen de parvenir ici et de me défaire, sans y perdre les trois quarts de vos hommes. En êtes-vous donc capable ? Pensez-vous donc qu'une fois votre armée anéantie vous serez encore capable de vous opposer a la volonté de Sauron ? Moi pas.
En réalité, je me suis réfugié ici car je sais que vous ne pourrez pas me porter atteinte dans cet endroit. Et même si vous parveniez à revenir avec toutes vos troupes, vous trouveriez une forteresse trois ou quatre fois plus puissantes que les ruines et les montagnes dévastées qui forment en ce moment mon royaume. Il n'est pas encore bâtit. Simplement il est en construction et vous ne savez rien alors de ce qui vous attendra.
Je refuse donc catégoriquement votre proposition, sauf si vous avez autre chose à mettre en balance. Si je puis y gagner quelque chose, je réfléchirai à votre proposition."

P'tit Nouveau Nombre de messages : 115 Date d'inscription : 28/01/2008

-Et aporter autant d'homme que vous le voudrz deux dragons volants qui crache leur soufle dans des couloire étroit vous ne résisterer pas une seconde.... tendit que Glaurung détruira le reste avec les hommes et uruk.Alors parter petite oreille pouintu ou je te brule!

Imaragon s'envoal alors vers Angband ça forteresse était défendu par un autre dragon (permi par Legolas) Elle est tr`s solide elel qui à survécu à l'assault d'une immence alliance, Naugrim,Elf et hommes tous ont perdu al vie la bas. Angband est tellement grosse (je parle des caverne d'Angband) qu'il faudrait tous les être d'arda pour toute les détruire (façon de parler quand même XD)

Ancalìmë ne fut pas surprise de la réaction du dragon. Elle regarda avec dégout l'immonde bête s'envoler.

- Alors est-ce donc cela la toute puissance des Grands Vers? Se terrer dans des montagnes entourés de pauvres créatures qui n'ont d'autres choix que de se plier à la volonté de leur maître sous peine de mort? Un soldat motivé en vaut son quintuple, c'est une chose que vous et Gorthaur avez toujours omis de prendre en considération. Voilà un beau scénario que vous m'exposez. Puis-je vous en offrir un autre?
Ne répondriez-vous pas à une sommation de combat hors de vos terres, plus au nord et ainsi déshonorer votre "royaume"? Petite oreilles pointues... Très charmant les coutumes que vous utilisez dans votre langage. Même si j'ai l'apparence d'une elfe...

Elle donna un coup de main dans l'air pour dire de laisser tomber.

- Bon, attendez et voyez ce qu'une alliance infime peut faire de l'orgueil de Sauron. Quelque chose à mettre en balance? Je ne crois pas, vraiment, que cela servira à quelque chose de prolonger ce débat trop peu mûr. Vous êtes bien confiant Glaurung, de la solidité de vos systèmes. Ils ont tous une faille, comme Gondolin en fut témoin. Je partirais par la voix des airs, je n'ait aucune confiance en vos esclaves.

Soudain, comme attendu depuis bine longtemps, un cri aigu retentit dans l'air. Un aigle se posa sur le sol. Il observa d'un oeil neutre le dragon, attendant qu'Ancalìmë prenne place. Elle sauta sur l'aigle, en se cramponnant en faisant attention ne pas lui arracher de plume. Elle fit une sorte de révérance courtoise au dragon, tandis que dans une battement d'ailes, elle disparue.

***

Elle volait depuis quelques dizaines de minutes sur le dos de l'aigle. S'approchant de son oreille, elle cria.

- Merci d'être venu Ladroval, je me demande comment j'aurais fait sans toi. Tu m'as dit que Thorondor avait été appelé? Voilà une bonne chose. Que notre amitié soit à jamais liée, et que les vents vous porte jusqu'à la fin des temps. Le dragon était très en colère, et il gagera de se venger, son courroux sera terrible.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

Glaurung regarda partir l'elfe. Comme il l'avait promis, il ne tenta rien et la laissa repartir.
Tandis qu'il continuait de donner l'ordre de construire sa forteresse, il prit bientôt le partit de rassembler ses guerriers tandis que ses immondes esclaves rampants continuaient à bâtir sa forteresse.
Il les fit former et rendre fous. Son but ? Faire d'eux des troupes d'élites n'ayant aucune peur ...

Oui, son courroux serait terrible mais le bien n'avait pas idée de l'endroit où il frapperait.

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