| Les portes de Mithlond | ( obligatoire aux voyageurs )

Une lueur s'éveilla à l'ouest des Havres Gris. Deux des gardes du port purent la distinguer, longeant la côte du Golf de la Lune comme si elle s'était soudainement extirpée des brumes depuis le port de Forlond. A observer sa vitesse de déplacement, les deux elfes comprirent que ce ne pouvait être qu'un cavalier et sa monture qui s'approchait de la cité. Mais quel fut leur surprise lorsqu'à portée de leur vue de lynx, ils reconnurent l'étendard blanc et or de leur cité, celui de la maison de Cirdan. Pendant un temps, leur respiration se stoppa et une question se posa à eu:. Se pouvait-il que leur seigneur soit enfin revenu de son long périple auprès d'Ulmo ? Ils n'eurent le temps d'y réfléchir qu'un cor sonna en direction de l'ouest. Un cor doux et majestueux qui rappelait l'éclat des vagues sur les rivages des Falas. Ce cor, les deux gardes le connaissaient bien car il était celui qui précédait toujours une venue royale. En réponse au cor, des exclamations de joie s'éveillèrent dans toute la cité, comme si un bonheur indescriptible venait de s'emparer de chacun de ses habitants.

Rapidement, une foule d'au moins un millier de personnes se rua aux portes. Les deux gardes s'échangèrent un regard et leurs lèvres se courbèrent en un sourire heureux lorsque enfin ils aperçurent la haute stature de leur roi drapé dans un linge bleu et gris, suivit d'une longue cape d'un bleu nuit profond. Sa voix alors résonna contre la tour blanche où se tenaient les gardes:

- Im radan meth rath ( J'ai finalement trouvé mon chemin )

- Mae govannen aran Cirdan ! Minno ( Bienvenu Seigneur Cirdan ! Entrez ) Répondirent les gardes avant d'ouvrir les portes de la cité.

Et les portes s'ouvrirent puis se refermèrent derrière les pas de la monture grise du souverain des lieux. Cirdan était de retour.

Forteresse Blanche

La Forteresse Blanche

Cìrdan se baladait encore en compagnie de son second quand un garde de la cité vint le prévenir qu'un semi-elfe se tenait aux portes et demandait hospitalité tout autant qu'il se disait accompagné de la princesse Vyvial. Le roi de Lindon eut beau sonder sa mémoire, il ne connaissait aucun semi-elfe, en ce monde, ne le tenant pas au courant à l'avance de son éventuel venu. Intrigué, le noble roi s'excusa auprès de son second et prit congé de lui afin d'allez voir de ses yeux ce qu'il en advenait. Désormais seul, il s'avança de ce même pas lent et délicat qu'à l'allée, comme si le temps n'avait plus aucune importance depuis bien des ages. Le froissement de son étoffe bleuté était comme un murmure dans les couloirs de la forteresse. Recouvert par dessus d'une longue et soyeuse cape noire retombant aussi bien dans son dos que sur ses bras et une partie de son corps, il sortit en silence par les jardins extérieurs et se fraya un chemin à travers les rues de la cité jusqu'aux portes de garde. Là, il fit demander à ses gardes qu'elles soient ouvertes en son nom afin qu'il puisse jugé par lui-même du message que ce semi-elfe avait à lui porter.

Quand les portes s'ouvrirent enfin dans un assourdissant bruit de rouages, Bellerophon put voir la silhouette du plus vieux et certainement des plus sages des elfes, se dessiner progressivement devant ses yeux. Cìrdan était plus grand que la moyenne des autres elfes de la terre du milieu car il était des Premiers Nés de ce monde. Son visage était fin et ses yeux étaient comme deux cristal capable de percer aussi bien les cœurs que les âmes. Ses cheveux étaient châtains et se courbaient sur son visage comme deux rideaux de soie ébouriffés aux extrémités. Mais lorsque Cìrdan s'avança enfin vers lui, le chevalier put distinguer cette lueur étrange, comme si elle faisait partit d'un passé qu'aucun elfe encore vivant en ce monde n'avait connu. Une lueur qui savait redonner espoir et courage à quiconque la croisait. Oui, Cìrdan le Charpentier s'avançait.

Lorsqu'il fut assez prêt du semi-elfe qui se disait chevalier et, qui plus est, émissaire du prince Legolas Vertefeuille, le roi scruta son regard sans même que celui-ci ne le ressente réellement. A ce moment, il comprit qu'il disait vrai. Avec la plus grande courtoisie qu'il fut en moyen de lui offrir, Cìrdan abaissa légèrement sa nuque en guise de salut avant de plonger son regard de nouveau dans celui de son invité, pour s'assurer qu'il continuerait à dire la vérité.

- Mae govannen ! ( Bienvenu )

Soyez le bienvenu en ces terres, Bellerophon, chevalier de la Forêt Noire et émissaire du prince Legolas Vertefeuille. L'hospitalité, dîtes-vous ? Je vous l'offre aussi longtemps que cela pourra vous servir, seulement, assurez-moi que ma jeune fille est en santé, car rien ne saurait plus chagriner le père que je suis, que de la savoir mal en point à l'approche de ce lieu.

Cìrdan avait prononcé ces mots d'une voix lente et agréable à l'écoute, comme une musique dont les paroles demeuraient à tout jamais enivrantes. Il se tourna ensuite promptement de 3/4 et demanda au garde le plus proche de s'approcher. Quand celui-ci fut à ses côtés, Cìrdan lui demanda de préparer des chambres puis comme si de rien n'était, se tourna à nouveau vers le chevalier, attendant avec une peur dissimulée sa réponse bonne ou mauvaise...

HJ: desolé mais je viens de me rencontre d'une petite erreur, comme au Rohan tu disais que tu devançais Legolas et Vyvial j'ai pas fait attention sur ton post qu'ils étaient là donc comme ils sont pas arrivés encore on va dire que c'est ça lool parce que j'avais mal lu dans ton post qu'ils étaient à côté et j'ai posté comme si tu étais tout seul. Donc Legolas et Vyvial faite comme si vous arriviez à la suite de ce post. Desolé encore pour cette petite erreur :HJ

HJ: Désolé, mauvaise connection a Internet mais normalement, il ne devrais y avoir que Vyvial ici, personne d'autre sauf moi evidemment

Bellerophon inclina la tête en signe de respect a Cirdan puis essaya de répondre du mieux qu'il pouvait de répondre a ses questions.

-Je ne saurais dire exactement. Très honnêtement, je ne sais pas si votre fille ainée Myria va bien. Nous sommes partis de Forêt Noire avant le levé du jour au grand regret de mon suppérieur encore invisible aux yeux de votre cité. Nous savons tout simplement qu'une bataille devait bientot se dérouler chez les VerteFeuille prochainement. Elle a forcémment du y rester pour les aider a déffendre tandis que Legolas partait. Maintenant si la bataille a commencer par dela les montagnes, je ne saurais dire car nous n'avons recus aucune nouvelles depuis que nous avons quitter les frontières du Rhovanion.

Bellerophon marqua une pause et poursuivit ses réponses.

-Mais en ce qui concerne votre seconde fille, Vyvial, elle va bien comme votre messager a du vous le dire. Si elle n'est pas sur les lieux en ce moment, c'est qu'elle ne devrais pas tarder car nous nous suivions de très près elle et moi alors que nous approchions des Havres Gris.

Cìrdan attendait la réponse de sa fille quand une lueur dorée s'éveilla au loin, en provenance de l'est. Ses yeux couleur argent percèrent alors les étendues qui se dressaient devant eux et distinguèrent la haute stature d'un elfe. Immédiatement, le roi des lieux pensa à Legolas qui s'était fait bien plus que désiré. Et en effet, c'était bien lui. En quelques galops, il traversa les étendues de l'est du Forlindon comme un doux reflet doré puis il s'arrêta à son tour devant les portes des Havres Gris. Aussitôt qu'il posa son pied au sol, Cìrdan avança d'un pas en avant et le salua dignement d'un hochement de tête respectueux. En se redressant, Cìrdan aperçut une étrange lumière dans le regard de Legolas. Une lumière qui ressemblait plus à une ombre qu'à une quelconque forme d'espoir ou de joie. Plus intriguant encore, Legolas n'émit qu'une brève salutation en elfique sans même y ajouter le moindre mot de plus, comme s'il portait un fardeau qui lui empêchait toutes paroles.

Pendant un long instant, Cìrdan resta plongé dans ses pensées, soucieux qu'il était de voir le compagnon de sa fille aînée en si mauvais point. Finalement, après qu'il eut réfléchit assez longtemps pour tirer ses premières conclusions, Cìrdan s'avança jusqu'à se trouver en face du dernier de ses invités du jour. De sa voix enchanteresse, il s'adressa alors à lui:

- Ton regard est emplis de crainte, Legolas Vertefeuille, fils de Thranduil. Quant à ton silence, il en parle plus qu'il ne le devrait. Que t'est-il arrivé pour qu'une ombre si sombre se soit déposé au fond de ton cœur et se reflète désormais dans ton regard ? Il me vient pourtant en mémoire un temps où déposer son regard sur ton visage redonnait espoir.. mais en ce jour... je n'en ressens plus la moindre goûte, comme si tu en avais été soudainement vidé.

Lentement, Cìrdan vint se placer à côté de lui et d'un geste de main délicat, il lui indiqua par où se trouvait le chemin de sa forteresse afin qu'il puisse discuter de tout sans pour autant oublier de marcher vers cet endroit plus sure. Le roi de Lindon demanda également à Bellerophon, à Sasha et à sa fille de bien vouloir l'accompagner afin que chacun soit en mesure de lui rapporter des nouvelles dont il n'était au fait.

- Suivez-moi tous, j'ai grand besoin de converser avec vous.. dit-il sur un ton aimable, oui, j'en ai grand besoin, finit-il par se murmurer à lui-même tout en jetant un bref coup d’œil à Legolas.

Au Médecin

Après plusieurs jours a parcourir les terres pour revenir au port de départ, les elfes en charge de la garde de leur reine arrivèrent finalement aux portes de la ville. Avec soulagement, ils passèrent le portail, la reine leur ayant donner l'autorisation et allèrent la mener dans une des chambres du palais pour qu'elle puisse s'y reposer. Ils firent tout de suite venir sa soeur et des médecins des Havres Gris. La chambre offrait une vue sur le golfe de la lune, chose qui aidait beaucoup Myria a se détendre vu les circonstances.

-Ammenez-moi à boire et a manger je voue en prie.

Déjà le fait qu'elle cherchait a s'alimenter était un bon signe. Ils firent tout de suite ce que leur reine leur avait demander. Le message pour Bellerophon fut tout de suite envoyer.

saresh arriva rapidement désendu rapidement et donna un petit coup sur son cheval qui parti en restant pres

-alors il ouvre ou pas...

saresh regarda kir ennuiyer il avais besouin de someil il avais besouin de se dégourdir les jambe

saresh regarda le garde *et merde bon malgré mais ennuie je dois tout dire je vais me preparer a manger un plui de fleche*

-Saresh Hidden! rodeur du nord

saresh s'assi pres de kir-thelassis et regarda le garde un frisson lui parcouru le corps et sont esprit étai remplit de stresse

saresh ouvrit son sac et fouilla un peu....... *je vais manger un peu...de...lembas pourquoi pas..*

-j'aime peut être la viande mais la nouriture elfique s est vraiment délisieux et en plus sa se garde longtemps

saresh prit une petit bouchée et la remit dans son sac prit quel que gorger de sa gourde et regarda encor le garde qui étaai parti chercher un supérieur

Kir-Thelassis était plus calme que jamais on ne sait comment, elle avait fait partir son énervement. Elle observait les faits et gestes de Saresh, elle commençait à bien le connaitre. Certaines choses comme ce qui pouvait l'énerver ou s'il était susceptible, elle ne le savait pas encore. Avec un peu de chance elle le devinerait bientôt. Elle ferma les yeux et pensa aux changements qui avaient put être faits en ville et à l'état de sa demeure. Elle s'interrogeait déjà sur la prochaine destination de son voyage incessant.

Comment c'est chez vous ? Sur les terres humaines ?
Je suis certes déjà allée chez les humains mais je me demandais d'où est-ce que vous veniez.

Kir-Thelassis sortit une carte de son sac, la déplia et chercha quelques endroits par où elle était passée.

Voyez plutôt, je suis passée par ces endroits marqués d'un cercle rouge.

L'elfe en avait oublié le garde partit chercher quelqu'un.