Entrée en scène

Solelh resta silencieux, faisant mine de ne rien avoir entendu a la remarque désobligeante de la furie rousse. Il en avait plein les étagères a mégots de toute ces histoires. Pourquoi, en premier lieu, avoir voulu venir en ville? Dans ce genre d'endroits bourrés de monde, ou la bêtise humaine n'a d'égale que le nombre de crétins?

Finalement, le rodeur poussa un long soupir en entendant la remarque de Ker. Oui, sans doute, il réalisait bien le privilège qu'on lui offrait, mais sa nature, si profondément contestataire, l'avait depuis toujours poussé a considérer les privligèges plus comme des fardeaux que des cadeaux. Et ca ne risquait pas de changer aujourxd'hui, d'autant plus que le rodeur était dans un de ses très nombreux mauvais jours.

"Ouais, t'as sans doute raison. Mais je suis sans doute tellement contrariant que je peux pas m'êmpecher de me dire qu'a la première occasion, je prends la reine en otage avec mon arbalète. Et je suis pas le genre de type a vouloir ou a avoir l'interet d'attirer l'attention comme ça. Quoi que ca puisse être rigolo en fin de compte... Héhé"

Solelh fit jouer deux fois le mécanisme de l'arbalète négligeament, comme pour expliquer son point du vue sur la façon de traiter la noblesse.

" Enfin... Si vous voulez, j'vous laisse ma place, vous m'avez bel et bien l'air d'y trouver de l'interet, vous"

Solelh eut un sourire en coin a l'adresse du Nùmenoréen, sourire que celui-ci aurait pu sans doute prendre pour un sourire de complicité du fait que le rôdeur avait absoluement tout compris sur la vraie identité de Ker et Ecarlate. Seulement, n'etant pas un grosbill et vu que Solelh etait, ne l'oublions pas, la personne la plus dénuée d'empathie du voisinage, celui-ci n'avait absoluement rien compris et n'avait pas un seul instant douté de quoi que ce soit. Vous auriez pu lui expliquer que vous êtes un poireau farci transformé en prince par une sorcière qu'il vous aurait cru... avant de vous cuire.

Puis, il tourna le regard vers Ecarlate en attendant de voir ce qui allait se passer avec les gardes. La curiausité était un vilain défaut, mais il estimait ne pas pouvoir tomber plus bas.

« Je n’en veux pas de votre place, j’ai déjà la mienne. »

Répondit une Ecarlate qui avait du mal à se retenir d’ajouter que : jamais elle ne bosserais pour ces prétentieux d’elfes, aussi imbus d’eux même qu’un paon faisant la roue devant un miroir.

Pourtant elle se tue. Ce genres de réflexions étaient fatales, car tout le monde, dans le charmant pays de Gondor, se devait d’aimer les z’entils Elfes sous peine d’être jeté dans de joyeuses geôles, où il fait si bon vivre, par de perspicaces gardes qui auraient de suite compris que vous vénéreriez Melkor.

Mais voyant le "précieux" opinel, transporté révérencieusement à part dans le château, Ecarlate éclata bruyamment de rire, le genre de rire contagieux qui prenait un spectateur dans une salle de cinéma et pouvant gâcher la soirée d’un jeune homme essayant d’effrayer sa petite amie en l’emmenant voir un film d’horreur de série Z de type les Zombies Vs Gozilla.

Aussi, cette fois ci, Yrris ne s’empêcha pas d’ajouter, à l’adresse des gardes, un moqueur :

«Ho nooon.. j’y crois pas ! Et les mecs ! Faites gaffe ! J’ai un dangereux cure dent dans ma trousse de toilette ! Hahaha ! Et j’ai aussi une brosse a cheveux ! hihihi ! J’vous dit pas les dégâts de zones que je peux faire avec !! Est-ce que les flageolets sont considérés comme une arme ? J’sais pas.. y’a moyen de faire quelque chose avec… surtout si vous les filez à un .. bon bref. »

La vengeance de la milice ainsi raillée fut immédiate et la femme du ce plier aux fouilles avant même d’avoir eut le temps de dire son titre !
Aussi les gardes trouvèrent dans les effets personnels de la sbire de Sauron :

De nombreuses fioles d’infâme poisons
Tout les plans des souterrains de Cair-Andros
De la poudre de Sarouman en flacon de 40 ml
Des méches d'allumage
Des dagues empoisonnées
Une armure en Mithril
Un parchemin porno d’Idrahil.
Un string Minas-Morgul by Nigth
Un t-chirt I love Melkor
Une boule à neige Barad-Dur
Et un scroll d’invocation de PG…

… bon , plus sérieusement.

Ecarlate ouvrit ses sacs pour déballer ses affaires. Affaires qu’elle avait prit grand soin de trier avant de les amener avec elle.
Ces effets personnels dans les sacs se résumaient à :

Bas blanc et jarretières rouges
- Sous Vêtements
- Corsage/jupon blanc long en dentelle
- Sous-robe de soie fluide rouge foncée, aux manches cintrées
- Corset rouge
- Jupe ample rouge
- Bottines brunes en daim
- 1 savon, un linge éponge + brosse
- Rouge à lèvre noir et rouge/ Far à paupière noir
- Masque Crébains
- Sel, Epices mis dans la sacoche de poisons-soins Variags (pour détail demandez Mp)

«Attention! C'est fragile! Ce sont des échantillons d'herbe médicinal et aussi d'épice que j'importe de l'Ouest et du Sud.»

Dit-elle pour rassurer les Soldats qu'en ils tombérent sur la sacoche en cuir.

«Nan nan nan! Vous ne me les mettez pas de côté! Sinon, vous m'empécheriez de travailler.
Je suis Akaltéque. Importatrice de produit Orienteaux.
Et je suis venue proposer ma gamme d'épices et de baumes aux soigneurs et aux aubergistes de cette ville! Donc, si je n'ai pas mes échantillons, je fais comment, bande de gros malins?
Donc, les armes, j'm'en fout. Croyais moi que si j'suis aggréssée en votre citée, j'irais porter réclamation contre la sécurité de cette ville à Minas-Morgul. Par contre, mon outil de travail ! Nua! (non en haradrim) Vous me le laissez!»

Sur elle, ils trouvèrent alors qu’elle leur disait sans se débattre et écartant sa redingote* pour la fouille :

« Allez-y doucement mes tout beaux ! Je suis encore vierge…de fouilles ! hihihi ! »

A la ceinture de cuir brun: 3 dagues de lancées, 1 fouet de 2 m 50 et Une Main Gauche dans son fourreau incrustée de gemmes.
Dans les poches de la redingote: un briquet médiéval, un foulard noir et une bourse contenant diverses monnaies de pays étrangers

En bijoux, elle portait: un serre cou de velours noir, Une grosse barrette en Ar-borang et son bracelet assortie*

Bien sur elle avait dissimulé diverse babiole. Mais les soldats allez rarement fouiller dans les cheveux et la culotte, sinon ils auraient trouvé du matériel de crochetage et ils ne faisait jamais retiré les bottes, sinon ils auraient trouvé une paire de chaussette.. si si.

* si elle écartait la redingote, c’était pour éviter qui ne sente la grande dureté de la parmenture gauche. En effet, même si les deux coté de la redingote était épais et rigide, , l’un des côtés portait la lame de la rapière dont le reste des éléments étaient la barrette et le bracelet. Et même si la redingote était étudié pour cacher l’arme, il y avait toujours un risque, moindre, mais un risque.

Chieur du clan Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 22/06/2008

Et c'est alors que l'on arrivait à la fouille que les gardes semblèrent enfin remarquer l'apparence de Varsha. Comme tout les autres, en fait, car jusqu'à présent Ecarlate tel un astre rouge, avait éblouit toutes les personnes présentes en arrivant.

Varsha était, lui, une singularité obscure, car il était tout de noir vêtu, excepté de ci delà des îlots de couleurs venant de gemmes délicatement taillées par l'art Variag. Trois boucles d'oreilles, portées sur la gauche, faites en ossements finement travaillés. Ses cheveux étaient noués en une queues de cheval par un bijou, d'ossement lui aussi, et rappelant une patte d'oiseau griffue.
Il portait une ample cape grise, ornée de plume de crébains noires comme la nuit, entourant ses épaules et descendant jusqu'à mi-dos. Un fermoir d'obsidienne, serti d'un petit rubis la retenait, assortie avec ses yeux, de la même couleur que la pierre. Un pourpoint de cuir, dont l'apparence rappelait des écailles grâce au travail de l'artisan, lui protégeait le torse, et était ceint à la taille par une ceinture de la même matière à fermoir d'argent. Lui protégeait les jambes un pantalon gris, d'une coupe assez simple. Ses bottes en revanche, étaient beaucoup plus remarquable, car elles rappelaient les pattes de l'animal totem de Varsha, le crébain comme tout le monde l'aura sans doute deviné. Il portait des gants gris, chacun d'eux ornés au dessus par trois nouvelles plumes noires, afin de compléter le tableau.
Avec le simple bâton de 2m50 qu'il avait tenu à prendre, afin de remplacer son Usriev, il semblait ce que tout le monde avait accusé Gandalf : un porteur de malheur!
Et le malheur, il l'apportait sous l'aspect de sa propre et chiante personne.

Lorsqu'il écarta sa cape dans un mouvement ample, afin de monter qu'il était vierge d'armes, une petit paquet blanc tomba derrière lui, dans un « floc » et s'étala par terre.

Étouffant un juron, il se retourna pour voir sa précieuse substance par terre, irrémédiablement gâchée, qui lui servait à marquer son gibier.

De plus mauvaise humeur encore, si c'était possible, il écarta brusquement son sac devant le nez des gardes, qui purent y voir :

-Une flopée de bijoux d'artisanat Variag,
-Encore d'autres bijoux
-Un piège à lapin (AÏEUH)
-des vêtements de rechanges, de couleurs et de coupes très différentes de ce qu'il portait
-La statuette d'un crébain en bois noir
-Une casque dont la visière, une fois rabattue, donnais l'allure d'un bec, couvrant l'intégralité du visage, et allant avec la tenue qu'il portait actuellement.
-Une pierre à aiguiser.
-Un petit couteau à dépecer.
-Un savon et une serviette éponge (respectivement neuf et propre).
-Une cuillère en bois.

Varhsa, ainsi montrant ce qu'il avait, dit à Ecarlate :

« Dis leurs que s'ils abîment quoique ce soit, je les castres avec ma cuillère en bois! »

« Heu? Si je leur dis cela ils risquent de mal le prendre! »

Répondit Ecarlate a Varsha

«…. mais puisque tu veux.

Bruhum… »

Toussota-t-elle en mettant son poing devant la bouche puis, prenant la voix la plus diplomatique possible pour annoncer la menace :

« Sir Varsha, préfère vous avertir que, messieurs, si vous veniez à détériorer une seule de ses effets personnel, il se fera un point d’honneur de vous priver de la partie la plus masculine de votre anatomie grâc à un ustensile de cuisine. Et il n’est pas du genre à plaisanter, le connaissant. »

( c'est Beau Jilliam tu as droit a ta monture, du moins les gardes dans la ville, ou un garde, va t'escorté jusqu'a l'écurie la plus près ou l'autre si elle est pleine, afin que tu sache ou aller )

Les gardes se rendirent compte qu'ils s'étaient un peu ridiculisé apres le rire d'Écarlate, cependant c'est que Kerwin leurs avaient demandé de mettre les armes des trois voyageurs ensemble tout simplement puisqu'il ne savait pas que le numénoréen n'avait qu'un couteau. Ensuite ce fut la fouille du variag et de la rousse. Les échantillons furent laissé a Yrris par un:

- D'accord madame.

Il s'assurerent qu'aucune armes ne se trouvait dans le fond du sac, puis redonnerent le sac a la dame au cheveux de feux, la fouille ce fit rapidement, ils ne remarquerent pas la rapiere qu'Écarlate cachait, cependant. Ensuite pour ce qui est de la fouille de l'autre Variag ça commença avec une poudre blanche qui tomba au sol, un des deux gardes alla s'assuré que ce n'était pas du poison, il s'y connaissait un peu en poison, du moins asser pour savoir si s'était du poison mortel ou non sans y gouté. Ce ne fut pas le cas, ensuite dans le sac la seule chose qui fut retiré fut le couteau a dépecé. Le gardes ayant comprit qu'il ne parlait pas leurs langue fit juste lui montré le couteau a dépecé comme pour lui dire qu'il le prenais. Ensuite il y eut le commentaire qui fut traduit pour Yrris, les deux gardes hocherent la tête, ils n'avaient pas peur de sa menace mais ne voulait pas en faire tout un cas.

- C'est bon vous pouvez entrez, je vous souhaite de bien vous amusé et que vos produits soient un succes.

Les trois gardes se parlèrent un peu entre eux une fois que le Varsha et Écarlate n'était pas a une distance pour entendre, ils se parlaient tout en les regardant, eux qui étaient de dos aux gardes. Ensuite ils allèrent parlé a d'autres gardes, puis les trois gardes entrerent dans la ville et quatre gardes en sortirent, Donc il y avait maintenant 9 gardes en dehors de la cité si le compte est bon.

Chieur du clan Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 22/06/2008

Alors que les gardes emportaient loin de lui son couteau à dépecer, il jeta un regard interrogateur à Ecarlate. Il ne s'attendait pas à ce qu'on le lui confisque! Ce n'était qu'un couteau à dépecer après tout, tuer un homme avec relevait de l'exploit. Bon évidemment, enfoncé dans l'œil il était parfaitement capable de mettre fin aux jours heureux d'un garde quelconque... A condition que la victime soit consentante ou ligotée...

Ecarlate? Pourquoi ils ont emmenés mon couteau à dépecer? Qu'est-ce qu'ils ont contre un inoffensif couteau à dépecer? Ils collectionnent? J'espère au moins qu'ils ont confisqués les couteaux de cuisines!

Solelh poussa un soupir en regardant les gardes enmener le couteau ridicule de Varsha. Puis il regarda son arbalète, l'air amusé. Il n'arrivait pas a croire qu'il avait suffi de râler pour qu'on lui rende a la seule condition de rester aux côtés d'une reine elfique quelconque. Surtout qu'a peu près trente seconde après qu'on lui ait rendu, il avait failli assassiner un cul béni de Cair Andros. Il avait de plus en plus envie de réitérer l'acte mais en appuyant cette fois sur la gachette, juste histoire de voir l'ampleur des conséquences. La petite voix dans sa tête lui souffla plusieurs fois des encouragements mais il les laissa tomber dans l'interieur de l'oreille d'un sourd.

Il ne parlait pas a proprement parler le Variag. Enfin, juste assez pour prendre une baffe, du moins, mais il crut comprendre que Varsha était assez surpris. Solelh, lui, ne l'etait pas. Un garde aurait pu confisquer un coupe ongle sous pretexte qu'on peut tuer quelqu'un avec si les coupe-ongle avaient existés...

"Bon, escusez moi si j'me trompe, hein, mais vous conaissez la ville? Ch'peux vous accompagner jusqu'a votre auberge? J'j'amais mis les pieds a Cair Andros, moi..."

Ker-Dûnaphil répondit à Solhel :

Je ne suis pas d'ici non plus, mais une auberge ne devrait pas être trop difficile à trouver. Sinon et bien, les gardes pourront toujours nous renseigner,

finit-il en haussant les épaules. Cair Andros n'était pas une grande ville, ni une grande île. Et le nùménoréen se demandait à présent quoi faire, car de nouveaux acteurs étaient rentrés en scène. Notamment un variag brutal (dans ses paroles tout du moins), une jeune femme au cheveux de feu ainsi qu'un rôdeur au regard d'acier (surtout quand il menace de tirer sur un noble avec son arbalète). Il ne manquait plus qu'un homme impitoyable, une elfe agile et rusée (spécimen rare) un roublard perspicace et un nain comme les autre pour avoir une équipe complète (ment inefficace).

Bon, nous y allons? Je commence à avoir froid dans ces régions du nord, personnellement.

Spoiler:

"Ouais, t'as p'tet' raison, ca devrait pas être si difficile a trouver..."

Solelh jeta un regard désapprobateur vers la ville dans laquelle il allait bientot de perdre. Il avait toujours preferé la vaste nature aux villes étriquées et désordonées. Et loin d'une sombre histoire de spiritualité, c'etait tout simplement que dans le noir, il vaut mieux se prendre un arbre plutot qu'un coin de porte.

Soulevant rapidement sa cape, Solelh prit soin d'attacher son arme a un crochet cousu dedans, ce qui faisait figure de dissimulation sommaire tant que la cape ne s'ouvrait pas trop... mais vaut mieux ca que rien.

"Bon, j'vous souhaite un agréable séjour ici, de pas vous faire tuer par des enragés désarmés, tout ça, tout ça..."

Et il partit pour rentrer en ville avec l'attitude du bon rodeur, c'est a dire en marchant vite, en regardant vers l'horison et en évitant toutefois de trébucher sur un pavé parce que sinon ca fait tout de suite moins classe.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 24/03/2008

Cirus avait quitter il y a de celà trois jours la régions des nains où il fut relaché aprèsun incident léger. Sur sa route il avait entendu deux voyageurs parler d'une cérémonie ou d'un festivale. Quelqu'il en soit il savait en tout cas qu'il s'agirait d'une forme de grande fête. Interressé, il decida de les suivre afin d'assister à cette évenement. Il finit par s'entedre avec eux et discutaire tout le long de la route. il s'agissait d'humains assez bavards, et lui qui était de nature silencieuse, il ne se priva pas de parler de divers sujet. La raison était peut être dû au faite qu'il n'avais personne à qui parler et que les occasions étaient rares dans sa propre patrit. Arrivé au port, il entendit une rumeur dans l'embarcation dire que le fort était sur une île, qu'il était magnifique, que les armes n'était pas autorisé, que les nobles seront présents, que c'était très bien gardé, que le fort était à un certain Targon et des tas de choses encore. Il était curieux de savoir ceux d'on il s'agissait, mais si certaines rumeurs était réel, il fallait qu'il s'y prépare dès maintenant. Il entra dans l'embarcation et chercha un peu dans les couloirs. Il ramassa un corde qui était solide et fîne, le genre utilisé pour la pêche. Il là déposa prêt d'une fenêtre et s'assit à son rebord. Bientôt il arrivait à Cair Andros. Cirus regarda le couloir vide, et prit la corde qu'il avait enroulé rapidement sur le trajet puis il là passa sur l'épaule droit et sous le bras gauche. Lorsque le couloir fut vide de marin, et l'île presque proche, il se laissa tomber par la fenêtre de l'embarcation. Sachant que les passagés du bateaux étaient sur le pont et sans doute illuminé par le fort, il ne ferait pas attention à un objet ou une personne tombant à l'eau. Cirus inspira durant sa chute il mit ses bras raid droit en pointe au dessus de sa tête sachant qu'il était à l'envers. Tombant comme un manche en bois en longueur, grace à son agilité sur-humaine car elfique, son plongeons était presque silencieux. Mélangé celà au faite qu'il pleuvait presque et donc la chute était invisible. Son premier reflex fut de nager en profondeur pour éviter que des curieux y jettent un oeil. Il nagea alors aussi vite que possible sous l'eau comme un véritable poisson en direction de l'île. Il se rapprocha du côté ou il vit la falaise. Hélas le temp n'était pas au pire encore mais ca n'allait pas tarder. Il lui fallait monter avant qu'elle soit mouillé et glissante car il l'était, et son agilité ne lui serait plus d'une grande utilité. Il l'escalada aussi vite qu'il pouvait. Arrivé presque au sommet, il se déplaça sur la longueur. Soudain ses pieds glissèrent du au faite que la pierre sur laquelle il étaient debout cèda, et il faillit laché prise. Il tenait d'une main la falaise, le reste de son corp était suspendu au dessus du vide. En bas la grosse pièrre qui avait cèdé tomba, et se coupa en deux. Il jetta un oeil à sa seul main qui le maintenant suspendu. Il serra la falaise, et utilisa les muscles de son corp pour rattrappé la falaise. Il continua à se déplacé, et arriva finalement sur le côté, soit à l'arrière de ce qui ressemblait au pied d'un mur du fort pratiquement innaccesible sauf par la falaise. Il s'empara alors d'une flèche, d'un de ses sacs ou il y mit de la terre pour faire du poid les attacha enssemble et attacha le tout à sa corde qu'il avait prit au bateau. Cirus jetta un oeil au quelques oiseau dans le ciel ainsi que de leur façon de planer pour certains, celà lui permetait de connaitre la direction, et la force du vent. Il ne pouvait pas le faire de sa position car le mur pourrait modifier la direction du vent. Il resta là à les contempler durant quelques minutes vol de ces être dans un ciel sans soleil apparent, puis il saisit son arc, et tira la flèche dans les air en contrôlant sa force. La flèche s'élèva dans les airs, puis arrivé aux sommet, la flèche perdit de la vitesse. Elle passa de l'autre côté entre le mur et le bastion. dans un coin vide et étroit. Cirus attacha ses épées à la corde ainsi que son arc. Si les rumeurs du bateau disait vrais, alors il n'aurait pas fait tout ca pour rien.

Quelques instants plus tard il se présenta à l'entrée tel un simple elfe non armé, sans sa capuche sur la tête mais tout trempé. le garde fut légèrement surpris:

- Ne vous en faite pas messieux. Je suis maladroitement tombé dans l'eau peu avant l'arrivé. je suis facilement remonter à la nage. Mais ne vous en faite pas. Je vais bien.

Il afficha un sourire rassurant. Les garde le fouillèrent mais ne trouvèrent aucune armes sur lui. Mais qu'il soit entrée avec ou sans celà n'aurait rien changé il voulait assisté à cette fête seulement, or il refusait de s'en séparé pour prévenir une menace.

Juste de l’autre côté des gardes, dans la cité, un petit groupe d’humains dissertaient sur leur avenir proche.
Un variag brutal, un rôdeur au regard d'acier, un homme impitoyable –ancien roi d’Umbar en vadrouille anonyme- et une femme au cheveux de feu…. Oui, en effet, il ne manquait plus qu’un elfe agile et rusé, un roublard perspicace et un nain comme les autre pour que l’équipe la plus désolante de l’univers soit au complet.

Mais, Cair Andros n’était pas un donjon. Bien qu’Yrris se demandait si en tapant à la porte, les gardes ne leur auraient pas fait moins d’ennuis.

Aux paroles du Variag, la rousse humaine se retourna en direction des gardes, pour a distance les observer, et répondit en haussant des épaules :

Varadji : « Tu sais, entre tes mains, même une simple feuille d’arbre pourrait devenir autre chose qu’une inoffensive feuille d’arbre… donc c’est peut-être pas un tord qu’ils te l’aient confisqué. Car je te rappelle que je ne suis ici que pour consulter un médecin. Chose qu’eux aussi ne doivent pas s’imaginer. Je paris qu’on va être sous surveillance, chose qui ne m’arrange pas pour tu sais quoi. »

En effet, Ecarlate n’avait pas envie que son identité soit dévoilée. Et il y avait toujours un crétin pour dévoiler les identités. Elle était le Gouverneur de Nouvelle-Umbar. Entre d’autre terme, reine…. Elle trouvait que ce titre, reine, faisait vielle peau qui avait trouver le bon partie à épouser pour atteindre le pouvoir, ça ne faisait pas jeune femme dynamique qui avait gagné son royaume de ses propres mains.
Bien sûr, il y avait princesse…mais franchement, certaines histoires et comportement sur celle-ci étaient tellement encrés dans l’éducation que princesse ne faisait que penser à jeune fille sans défense, pleine d’émois, cherchant le prince de leur vie. En gros, un ramassis de nunuches qui n’avaient eut droit au titre que parce qu’elles étaient bien nées.
Non, Gouverneur était décidément parfais. En plus, il n’y avait pas de féminin à Gouverneur. Donc, cela était parfais pour gardait sa liberté et son anonymat.

Au rôdeur, la femme après un peu de silence, perdu dans ses pensées, lui dit :

« Bhaaaa.. moi non plus, je suis jamais venu et je vous croyais logé au château, vous ? Que je le sache vous êtes garde du corps de…. je sais pas qui… désolée, j’ai pas tout écouté. D’ailleurs vous aussi vous êtes logé au châteaux … »

Finit-elle en s’adressant à l’ancien roi d’Umbar…Subitement, elle se rendit compte de la situation. Elle était entrain de parler à l’ancien seigneur de son royaume, ça sentait le règlement de compte dans un proche avenir.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 24/03/2008

Pendant ce temp non loin de là un rôdeur elfe venait de passer l'entrée. Les gardes avaient procèdés à une fouille, mais en vain. Cirus passa les portes et les salua une dernière fois:

"J'espère que vous passerez une bonne soirée !!! ... Il avacea et pensa tout bas dans ce tête. *crétins...*

Il s'arrêta sur cette dernière pensé, et regretta un peu. Il ne connaissait pas ses humains, mais ils étaient surment fiers défendeurs de ce lieu fort bien connu semblait-il avec tout ce qu'il avait vue. Il avancea dans la foule de personne, et attrapa vifement une main au passage qui s'approcha dangeureusement de ses poches. Aussi rapide que surprenant, il avait détourné la main de la personne sans que personne, ni le ou la roublard(e) ne sache ce qui venait de se passer. Il n'avait même pas posé un regard sur la personne. Il quitta très discretement la foule et par sa plus grande indiscretion, quelqu'un lui fit un croche pate en marchant. Cirus Trébucha et bouscula une personne proche à l'extérieur de ma foule. Il tomba au sol sur le côté et sa tête tapa un objet dur au sol. Il perdit légèrement ses sens, sa vue était à peines floue, et son ouïe devint légèrement en écho. Il se mit assis, et tenta de voire la personne qu'il avait bouculé. A première vue une jeune femme rousse. Les contour de sa vision était flou, et le centre à peine net. On aura cru une sorte d'image romantique. Il esseya de se faire pardonné comme il le pouvait:

-Oh! je vous demande pardon je suis extrèmement confus... Je ne vous ais pas vue je suis tombé... je... Il soupira au sol et leva la tête quelques secondes après pour s'exprimer clairement:

-Pardon.

Il avait l'habitude qu'en général les gens réagissent mal, l'insulte ou auttre. Il avait prit l'habitude, et préférais se faire silencieux à ces moment là.

La jeune femme à l’ondulante chevelure de feu se retourna vers le malheureux elfe. Son doux regard émeraude, emplie de compassion, se posant sur le visage aux fins traits elfique.
Ses lèvres pulpeuses et carmines s’entrouvrirent pour demander avec une voix douce et tinté d’une légère mélancolie, douc mélodie romantique :

« Ho ! Je suis navrée, c’est entièrement de ma faute, comme je suis désolée que pourrais-je faire pour me faire pardonner ? »

Elle tendit une délicate main à la peau laiteuse et aux ongles nacrés pour l’aider à se relever lui proposant son aide

« Par Eru ! Mais vous êtes blessé ? Puis-je m’honorer à vous soigner… j’admire tant votre race…»

Bon, arrêtons là, le phantasme. Ce qui se passa, bien que l’elfe aurait sûrment préféré la situation évoquée si dessus, fut d’un tout autre accabie.

Bousculée par un mouvement de foule, Yrris se retourna pour voir qu’elle en était la cause et s’apprêta à aider l’homme à se relever, en tendant une main gantée de cuir, quand elle constata que l’Homme n’en était pas un… Un Elfe.

Aussitôt la main se retira et le regard émeraude, dans l’ombre du tricorne, se mua en regard proche de la haine, si proche qu’ils devaient dans logés dans la même rue des sentiments et voisins de pallier.

Dans une vague de flottement rouge et noir, la femme recula en un pas vif, réflexe inné qu’elle avait rapidement acquis face à la race qui de son point de vue était la plus sournoise au monde. Sa position de replie fut stratégique, elle se mit derrière le plus dangereux du lot : Varsha.

« J’y crois pas. Je vais être bonne pour changer de fringue ! Il m’a touché ! En plus, il est… ATChaaa ! Mouillé ATCha ! Il a du trouver la taverne et s’plonger dans un tonneau d’Eau de Vie ! Atchaa ! Pour marcher autant de travers ! Atcha ! J’déteste ça ! Atcha»

En effet, la rousse détestait ça, dés qu’un elfe montrait le bout de son nez à moins de 10 m, son nez à elle la démangeait, et elle ne pouvait se retenir d’éternuer frénétiquement comme le ferait un allergique face à du pollen. Ainsi caché dans le dos de Varsha, elle continua à éternuer les mains devant le visage.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 24/03/2008

Cirus tendit sa main pour attrapper la main de la jeune femme mais elle là retira aussitôt. Il cru dabort à une stupide plaisanterie, et se releva donc de lui même et lorsque la jeune femme se mit à reculer comme si Cirus était atteind de la peste. Cirus resta là l'air étonné, puis reprit:

-Ca va pas ?

Il n'eu pas du mal à comprendre qu'elle l'avait évité parce qu'il était un elfe. Celà lui fit froid au dos, et décida de partir là laissant sur place. Il lui fallait de toute façon récuperer ses armes.

Spoiler:

Tss. Bon, je ne dis pas ne pas pouvoir tuer quelqu'un avec un couteau à dépecer, mais je m'attendais pas à ça de gardes en armures...
Lopettes. Mais bon, pour "tu sais quoi" ça va, tant que tu ne le hurles pas, aucun d'eux ne se doutera de rien. Pff. Crétin en plus d'être lopettes. Mériterait qu'on y foute le feu.

Répondit un Variag, mi-figue mi-raisin face à cette situation qui l'exaspérait. En tant que variag, et comme tout ceux de son peuple digne de ce nom, il respectait la force, ainsi que les personnes suffisamment intelligente pour largement combler leur manque de force. En tout cas, son humeur n'arrangeait pas sa verve d'ordinaire déjà fort peu appréciée...

Puis il demanda :

Qui c'est qui comprend le varadji à part toi et moi?

Car il avait en effet noté qu'elle avait tenu à ne pas mentionner le "tu sais quoi", même dans sa langue, alors qu'à priori, aucun des pèquenots du coin ne devait pouvoir la comprendre.

Je pourrais être logé au chateau. D'autant que c'est confortable, je pense. Luxueux je ne peux dire, je ne connais pas la mesure de la... Fortune des hôtes du chateau.
Par contre je sais que ce n'est point intéressant pour ce que je compte faire. Une auberge comblera bien plus facilement mes désirs.

Fit un roi de Nùmenor, en haussant les épaules. Et puis, il était en voyage, en ce moment, et ne restait jamais bien longtemps au même endroit. Inutile de se faire du mal en dormant confortablement dans un lit en sachant que le lendemain on était bon pour le duvet de campagne. Lorsqu'Ecarlate pris la main... Ou faillit? Il n'avait pas bien vu, de l'elfe. Il s'amusa de sa réaction. Compréhensible, quoique étrangement excessive venant de cette femme. Ses yeux emplis de haines parlait pour elle : elle devait avoir un compte à régler avec eux! Pas si étonnant puisqu'elle travaillait pour Melkor, mais aux yeux de Ker-Dûnaphil, c'était le genre de chose qui embellissait un CV de fort belle manière.

Le variag, lui réagit plus subtilement :

Si tu veux je peux lui casser un bras? Ou une jambe! Je peux? Je suis sûr que personne ne nous en voudra! Ou alors... Non je sais! Un œil au beurre noir! Personne ne peux m'emprisonner pour un œil au beurre noir! Tu pourrais même faire des paris qu'en dis tu?

Réaction au diapason de son humeur! Et puis, maintenant le variag commençait à s'ennuyer. Hors dans le Khand on avait appris à trouver la distraction là où on le pouvait. Et l'elfe avait une belle tête de distraction.

Spoiler:

Varadji : « Arrêtes Varsha, la soldatesque serait capable de croire que je t’ai fait entrer illégalement et de t’enfermer avec les armes confisqués. . . hihihihi»
Répondit-elle au Variag en voyant avec soulagement l’Elfe s’éloigner.

Ecarlate réfléchie quelques instants ; elle se demandait si il était plus intéressant de dormir dans une auberge ou dans un château. L’auberge était une soirée réussit assurée mais politiquement parlant le château l’emportait, et cela lui permettrait de rencontrer ce fameux Seigneur Targon.

« Ho? Tu es si pressé de mettre la main sur des filles de joies? Décidément, tu ne penses qu’a ça ! »
Fit-elle en se rappelant qu’elle devait le tutoyer pour se faire passer pour son ex.
« Soyons franc : Est-ce que tu peux me faire entrer dans le château ou est-ce que tu ne peux pas ? »

Le hasard.
Quel étrange phénomène que le hasard.
Certains sages ont dit que le hasard n’existait pas, il n’était que la conséquence de chaque acte que nous commettons.

En effet, cette vision pouvait se justifier en se remémorant un peu le passé :

-Prenons une jeune fille ordonnée nommée Charlotte qui voulut tenter l’aventure en fuyant une citadelle absolument cachée dans les hauteurs des montagnes.
- Mettons cette jeune fille curieuse, par hasard, sur un champ de bataille.
- Mettons sur ce champs de bataille un jeune prince qui lui sauve la vie et un lycanthrope désordonné qui perd ses affaires.
Aussitôt la jeune fille s’imaginera le prince en prince charmant et ramassera les effets personnels du Lycanthrope.

-Reprenons cette jeune fille et faisons lui rencontrer une reine elfe cherchant refuge pour la nuit.
Il est logique que la jeune fille emmène la reine elfe dans la cité du prince, Cair Andros, pour tenter de le revoir.
Les jeunes filles sont d’un romaaantisme.
-Rajoutons une rousse provocatrice pour assaisonner tout cela et une Elfe romantique pour dévoiler le côté mufle du Prince.

Maintenant le Hasard est prêt à agir ainsi :

Pour avoir l’épée de son pire ennemi, le prince était prêt à tout, même à faire des avances à la jeune fille, du moins, c’est ce qu’affirma la rousse à la jeune fille.
Aussitôt l’épée acquise, ce prince alla rejoindre l’elfe de sa vie, car princesse donc importante, donc armée, donc union entre deux nations puissantes. (oui, un prince ne va jamais vers une roturier sauf dans les contes de fées).
Mais ce qu’ignorait ce prince, comme quoi le hasard fait bien les choses, c’est qu’une rousse passant par là allait expliquer à la jeune fille qu’elle s’était faite roulée. De suite, Charlotte alla récupérer son arme, et cerise sur le gâteaux, le prince s’empressa de qualifier la jeune fille de Gamine alors que précédemment, pour avoir l’épée, il était prêt à l’appeler amie.
Avec ce simple comportement, Kerwin venait d’affirmer à Charlotte qu’elle avait raison quand elle pensait qu’il n’était qu’un sale petit rat manipulateur et doué du QI d’un bigorneau trop cuit…
Les comportements masculins sont parfois stupides et ils déclenchèrent bien plus de guerres que le firent la beauté des femmes.

Mais revenons sur la rousse.
Celle-ci, reine de la provocation, réussit à convaincre le pire ennemi du Prince de venir à Cair Andros. Il faut dire que ses Crébains avait bien bossés pour cela.

Et à présent, une Charlotte furieuse se dirigeait vers l’entrée où, encore un coup du hasard, se trouvait le pire ennemi du prince.

Après vous me parlerez de Hasard ?
Non…
Hasard est le nom que Morgoth prend quand il ne veut pas qu'on le reconnaisse.

Après avoir eut vent de ce qui se passait à Cair Andros, la brune avait décidé de quitter Minas Tirith et de reprendre sa vie de vagabonde. Elle avait galopé deux bonnes journées avant d’arriver au port. Elle usa un peu de ses charmes pour pouvoir embarquer sur un bateau, mais le résultat était là vu qu’elle se trouvait maintenant à Cair Andros. Après avoir rabattu sa capuche, cachant ainsi sa longue chevelure rousse et ses yeux dorés, Kazumi avança jusqu'à l’entrée où se tenait un petit groupe de personnes bien bruyantes.
De plus, il bloquait l’accès à l’entrée, évidemment. L’Ecarlate ( Kazumi pas Yrris !) poussa un soupire et s’arrêta quelques instants pour analyser la scène. Apparemment, toutes les armes étaient confisquées… Elle avait bien fait de laisser un bon nombre de ses affaires sous la garde d’ Eledhwen dans les forêts d’Anfalas. Toute sa collection de poison était planquée sous des rochers, c’était un peu archaïque mais en général, ça marchait à la perfection. Elle y avait laissé également son épée-sabre, prenant juste ses dagues. Puis bien sûr, quelques vêtements de rechange et de quoi se faire belle. Elle était peut-être vagabonde, mais n’en restait pas moins une femme.
Sortant de ses réflexions, elle aperçu enfin une silhouette qui lui rappelait quelques chose. Des vêtements spéciaux… Et cette crinière rousse. Une mogiau ici ?
Ca lui faisait rappeler qu’elle n’avait jamais prit la peine de partir à la recherche de sa nombreuse famille… En réalité, elle n’avait vu qu’une fois quelque membres de sa famille durant un voyage. Sinon, ses connaissances des Mogiau s’arrêtaient à son cher papa. Quelques noms par-ci par-là, mais ils ne venaient que très rarement à Anfalas. Ah ! Elle est bien belle la famille.

Kazumi leva les yeux au ciel. Après tout, toutes les rousses n’étaient pas Mogiau. Elle remit sa belle cape sanguine et franchit les derniers mètres qui la séparaient de l’entrée de la ville. La jeune femme évita habilement les obstacles humains et alla se planter devant les gardes.

« Je souhaite entrer dans la ville… Faites ce que vous savez à faire et vite. »

Glaciale… Comme à son habitude. Elle grillait aussi peut-être la place aux joyeux people qui stationnait là, mais elle s’en fichait comme d’habitude. Les mœurs sociales s’était pas son rayon. Et au pire, un crétin ou une crétine lui ferait une remarque, ce à quoi elle répondrait froidement voire avec cynisme et l’incident serait clos… Du moins c’est ainsi que Ca se déroulait en règle générale.

Spoiler:

Tu crois vraiment qu'ils m'enfermeraient avec les armes confisquées? ($)($)

demanda un Varsha plus qu'intéressé par cette menu probabilité. Ce n'est pas tant d'être avec tant d'arme qui l'enchantait plutôt que la possibilité de leur faire amèrement regretter de s'être enfermé dans la même pièce que lui. Quoiqu'être enfermé avec des lopettes... Mouais.

Bon, blague mise à part... Les lances n'étant pas mon types de femmes préférées, je crois que je vais m'abstenir alors.

Regardant les bâtiments de pierres, le variag ajouta :

Et franchement, je crois que je n'aime pas la ville.

Varsha se sentait en effet légèrement claustrophobe ici. Il n'imaginait pas qu'on puisse vivre au même endroit toute une vie... Ne serais-ce qu'à cause des déchets qu'une occupation humaine produit immanquablement.

Ker-Dûnaphil quant à lui... Pris la provocation de la rousse à la légère. Par ailleurs, la question qu'il lui posa alors éclaira son intérêt pour les suites du chateau d'un jour nouveau, bien qu'il ignora ce qu'Ecarlate avait en tête.

Je me doutais bien que mes propos étaient ambigües! fit il en gloussant. Mais voyons, si je cherchais effectivement des filles de joies, j'irais au château!
Et puisqu'on en parle justement, oui, je peux t'y faire entrer. Je peux aussi t'avoir une suite, et même une place au repas, s'il y en a un.

Déclara-t-il simplement, en jetant un regard amusé à Yrris, attendant sa réaction.

HRP:

désolée message Hrp mais c'est pour dire que je continue Ici:

https://terredumillieurp.editboard.com/les-maisons-f97/dans-les-rues-dans-la-fete-t3614.htm#64416

Les gardes virent arrivé une nouvelle personne, et durant l'arrivé de cette personne et la fouille et tout le tralala, ils laissairent passé les autres gens qui avait été fouillé, il ne restait donc qu'elle et quelques autres voyageurs venant du même bateau qu'elle. Donc un garde s'avança vers la jeune demoiselle puis il prit la parole, repondant a son ton froid par un ton chaleureux comme il se devait d'être fait.

- Votre nom et ainsi que votre titre vous pris-je.

ainsi donné un autre garde se trouvant un peu plus en recul le nota comme il avait été fait pour toutes les personnes ayant entré dans la ville. ( si ce n'est pas donné j'éditerai, seulement me le dire en pm si la suite ne fonctionne pas avec ce que ton personnage réponderais. ) Puis il se devait de procedé a la fouille, il avança donc d'un pas avant de déclaré ceci

- Je vais devoir vous fouillez madame, veuillez donné vos armes, mais la fouille est inévitable, pardonnez moi mais ce sont les regles, j'espere que cela ne vous importunera pas trop.

Dit-il tout en baissant legerement la tête, comme un signe de respect et de politesse, le garde tentait d'être chaleureux, mais ce n'était pas en quoi constituait son entraînement avec un seigneur comme Targon, donc il procéda a la fouille ( Encore une fois mp si sa ne correspond pas ) Et il trouva ??? .... ( suspend... tan tan! )

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