Arrive avec des nouvelles inquiètante

Saresh regard a Kir avec un long sourir il lui dit quel que mot qui étai sur de la décourager

-la seule choses qui peux me remêtre sur pied s,est un bond repas avec seulement de la viande du poulet du pousson du porc salée et je serais sur pied

Saresh ferma les yeux en imaginant un grand bufet

Guillemot s’approcha en boitillant de l’homme à terre. Des soldats sortir de la citée et Guillemot leur cria :

_ Amenez le à la Maison des Guérisseur, il faut faire vite.

Les hommes prirent l’homme et montèrent aux septième étages. Un Gondorien arriva et essaya de soigner Guillemot.

_ Non, non ce n’est pas la peine, je vais bien.

Tout d’un coup ses forces partirent est il s’écroula.

_ En faite Aïe… Je crois que sa vaux la peine.

Il se tourna vers Elenwë.

_ Si vous pouvez allez en terres elfiques, je vous en serais très reconnaissant.

Un cor résonna en dehors de minas thrit les garde s'aprocher des muraile et vir 560 rodeur sur des loup touse en ang l'un deux s'aprocha et dis

-nous devon parler a notre seigneur Saresh de toute urgence au bien une personne qui est de confiance avec lui nous devon savoir quelle son les ordre

le groupes regardair les garde un epux éfrailer par la tonne de loup

Guillemot vit des rôdeurs arriver et s’avança pour parler avec le dirigeant.

_Saresh est au septième étage, à la maison des guérisseur, je vous laisse y aller mais le reste devra rester ici. La ville est assez démoralisé comme sa et des loups n’arrangeraient rien.

Il retourna sur la place principale de Minas Tirith, de nouveau sur pieds grâce aux soins des guérisseurs, fit venir les lieutenants de la citée et leur indiquèrent les ordres.

_ Je veux tout les civils dans les bâtiments du cinquième et sixième étage, les archers diviser en trois partie, une aux rempart de la ville, les deux autres à des étages différent. Faites venir quelques bâtisseur et construisais des abris pour les archers, je veux cinquante hommes dans les tours, aux meurtrière, à côté de la porte, ils seront plus que résistante face aux griffes des montures ailées si ils doivent venir.
Allé me chercher une épée et renforcer mon bouclier. Ah oui, aussi, Je veux plus de la moitié des archers avec des flèches de feu.

Apres la guérrison de Saresh il dit a s'est roudeur d'aller plui louin sur la plain pour les attaquer sur le flan gauche il partir en direction des montagne Saresh parti voir guillemot et dit

-nous devrion aussi enflamer les projectil des trebuchet

Saresh regarda tout les soldat marcher de al ou il étai on n'aurais dis des million de fourmi

-j'aurais besouin d'une nouvel cote de maille plus solide car mon ancienne s'est faite détruir par le nazgul

Invité

Pendant les quelques heures pendant lesquelles les hommes du Gondor construisaient des défenses inutiles et Saresh guérissait, Le Nazgûl se soigna et fit un bref allé-retour au Mordor à dos d'ombre ailée pour se s'équiper convenablement. Il revient quelques heures plus tard, aussi puissant qu'avant, totalement régénéré par la proximité de l'anneau lorsqu'il était à Barad-Dûr. Il atterrit assez loin pour ne pas être vu de la ville et courut se cacher derrière une colline non loin de l'endroit ou des rapaces étaient en train de se chamailler les restes de mercenaires du Sud et de Gondoriens tués par le Nazgûl. D'ici, il pouvait surveiller la cité, mais également attendre l'arrivée éventuelle de gens venus nettoyer le massacre, ou encore d el'un de ceux qu'il avait combattu, ce qui lui ferait encore plus plaisir. Il fut heureux de voir que ses actions avaient provoqués le trouble dans la ville et il resta donc là, à attendre, même si cela ne devait servir à rien. Il remarqua cependant les rôdeurs sur des wargs se dirigents vers l'une des extrémités des Champs du Pelennor, à l'opposé de lui. Il sourit, car ces crétins seront bien étonnés de ne voir personne. Il reporta son attention vers la cité...

Trois heures plus tard ces événement, Minas Tirith était en partie désert, les civils dans les habitations, les soldats cachés derrières les relief des remparts. Guillemot revit Saresh en partie en forme.

_ Oui bien sur, je pense que le forgeron est encore là bas et qu’il en a.

Les trébuchets avaient sorti les ballots de foin et les avaient misent en place. Le Mordor pouvait venir, la citée était prête.

(c'est pas des wargs, c'est des loups, les cousins des chiens !!!)

Saresh parti voir le forgeron qui lui fourni se quil avais besouin Saresh enfila une cote de mail et mit un petit manteau par dessus il mit sa centur intala des couteau un peu partou mit son épée dans son foureau apres l'avoir éguiser prit des fleche et une de mitril il prit un torche non alumer au cas ou si il devais alumer des fleche installa son carcois et s est fleche

monta sur les rampart il se mit au premier niveau pret pour la batail il s'adressa a un garde qui tremblais

-je sais que tu a epur mais si tu a une famille tue s est orc pour eu car si il entre dans la cité il turon tout le monde il jeteron les enfant des mur alors fais sa pour ta famille et pour le gondor

soldat:oui!,vous avez réson

-temps que l'arbre blanc sera la et que les drapeau ne seropn pas bruler le gondor est puissant

Tout d'abord Kir s'étonna de la remarque d'Elenwë puis elle l'ignora. Elle rigola de la bêtise de Saresh puis regarda sa blessure, des gardes vinrent emmener Saresh, elle retint l'endroit, *j'irais le voir tout à l'heure* elle dit à l'adresse du rodeur en étant dégoutée de cette idée

Vous l'aurez votre buffet c'est promis ! Mais c'est pas bien de narguer les gens comme ça.

puis s'adressant à Elenwë

Je ne sais pas si je reste, je pense qu'une fois Saresh soigné je m'éloignerais. Mais vous ? Vous feriez peut-être mieux de rentrer non ?

voyant le visage rétissant d'Elenwë elle comprit qu'il ne valait mieux pas la provoquer sur ce sujet. Un bruit sourd se fit entendre et des gardes firent leur apparition un peu énervés l'apparition de l'armée de Saresh avait fait son apparition, Guillemot était partit les accueillir, l'un de ceux qui appartenait à la troupe alla voir Saresh, Kir le suivit en vain vu que le rodeur s'était remis de ses blessures.

Rapidité et efficacité ! Je suis désolée mais votre buffet ... Je n'ai pas eu le temps de le préparer.

Elle sourit à Saresh puis se retourna, elle vit qu'Elenwë partait pour ses terres pour recourir à l'aide des siens. Jamais Kir n'avait participé à des batailles, son coeur palpitait de plus belle, elle se détourna et s'enfuit à la surprise générale, elle sortit de la ville et se précipita pour aller se cacher près des murs de la cité. Ses nerfs lachaient, les larmes lui montaient aux yeux.

* C'est pas la moment de lacher*

Saresh la suivi jusque al il lui dit

-il na rien a craidre j'ai partisiper a plusieur batail temps que vos ami sont la a vosu tendre le bras tout ira bien

Saresh tendis le bras a Kir qui étai assi les jenou au ventre en petit boule avec un large sourir Saresh qui saignais encor un petit peut de la bouche quel que goutelait

Invité

Derrière sa colline, le Nazgûl regardait ces imbéciles sur les remparts, en train d'attendre une attaque qui ne viendrait pas. Effectivement, le Seigneur des Tenèbres, Sauron, ne voulait pas prendre le risque de disperser les troupes alors que des ennemis du Mordor allaient peut-être tenter de prendre la Porte Noire. Il avait décidé de revenir quand même, au cas où une autre occasion de semer le trouble se présentait. Il finit par s'asseoir sur un rocher ayant jadis servit de projectile à trébuchet et continua à observer la cité, se demandant s'il était possible de descendre quelques rôdeurs avant la nuit...

Kir qui s'était fait suivre se rendit, elle ne pouvait pas reculer devant la confiance de Saresh, elle prit la main de celui-ci et se leva. Son visage était triste et pâle, ils rentrèrent dans la cité.

Sans vouloir vous offenser je voudrais rester seule.

Elle regardait Saresh droit dans les yeux, sa présence l'empêchait de partir, elle voulait tellement fuir, courir, un combat ne lui aurait pas fait de mal dans une situation comme celle-là.

Je ... je vais aller m'entrainer dans une salle de combat.

Elle sourit faiblement, ses yeux tournoyaient on voyait qu'elle préparait quelque chose.

Saresh hosa les épaule et parti au premier niveau sur les rampart et s'endormi sur du fouin panssant a se qui allais se passer avec Kir car il avias lit en elle que de al peur

-aller saleté de nazgul OUI TOI!!

Saresh qui avais l;e someil agité se reveilla et regarda la plaine...

La nuit s’étaient passé sans encombre, Guillemot n’avait pas dormi. Il été restait sur les remparts, tel un berger protégeant un immense troupeau.
La matinée s’installait dans la citée. La moitié des hommes avait quitté les remparts, pour aller voir les civils qui sortaient la première fois des bâtiments depuis quinze heures. Guillemot, toujours aux portes, guettait toujours le moindre mouvement suspect, et à par des oiseaux et des chiens sauvages, ne vit rien.

Saresh qui s'ennuiyais parti a l'écuri prit son cheval et parti pour la dale suivi de 560 roduer sur de sloup il passa a coté de l'armer du nazgul s'en se faire voir Saresh prit une fleche qui étai en feu et tira sur le champs juste pour rien pour le fun.

La nuit était douce, Kir-Thelassis s'était endormie par mégarde, elle se réveilla brusquement. Elle regarda par dessus son épaule, personne ... quelques soldats faisaient la ronde, elle rassembla ses affaires avec une vitesse éclair. Chantonna pour retrouver son cheval qui accourut aussi tôt. ravie de le revoir, elle le tapota. Puis montant dessus,

Va ! Pars à ta guise !

Elle se sentait si libre ! Son cheval hénnit et elle partit au galop, jetant un dernier coup d'oeil à la belle cité. Elle soupira songeant à ceux qu'elle laissait derrière soi.
*Tant pis*
Des larmes coulèrent le long de son visage froid, elle était triste et soulagée mais elle ne s'attendais pas à la suite ...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2007

Jhuldan était restait toute la nuit éveillé. il était restait seul dans le cinquième niveaux. Dès l'aude il alla rejoindre Guillemot. Lorsqu'il le trouva il lui dit:
- Bonjours, j'était venu pour te parlez de Elros il doit venir aujourd'hui.
Il regarda une masse noir s'avançait de devant Minas Tirith.
- En parlant du loup le voilà. Je te conseille vivement de le joindre à tes côté ses hommes sont aussi fort que les miens et nous on n'est l'élite. Sinon vous préviendrais tout les rois et tout les seigneurs de la terre du milieu que cents milles hommes devaste toutes la côté ouest.

En effet au lion à l'est de Minas Tirith, une armée apparut. Guillemot n'aimait pas l'idée d'avoir les Numénoréuns dans ses même rangs en sachant qu'ils pouvaient se retrouver plus tard dans le camp adverse avec Sauron.

_ Nous verrons bien Jhuldan. Nous verrons bien… J’espère juste qu’il nous aiderons pour l’attaque de la Porte Noir, leur soutien pourrait être très utile…

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Le lendemain de l'attaque du Nazgûl, le soleil brillait haut dans le ciel en début de matinée mais Peregrin n'en profita pas, car il fit une grasse-matinée dans son lit de camp dans l'une des tours, après avoir dû surveiller les champs du Pelennor pendant plusieurs heures dans la nuit. Il ronflait ainsi depuis un bon bout de temps quand soudain, un garde surgit dans la tour. Il semblait vouloir prendre son arme qu'il avait oublié puis partir, puis il vit le hobbit en train de dormir et faillit éclater de rire. Il se retint puis sortit de la pièce en claquant la porte sans faire exprès. Ce geste eut pour effet de réveiller Pippin, qui regarda autour de lui, les yeux mi ouverts, encore à moitié endormi. Il regarda alors la meurtrière ( petite fente dans les murailles d'un château fort permettant aux archers de tirer ) la plus proche et vit avec stupeur le soleil au dans le ciel, puis remarqua la salle vide. Il ne put s'empêcher marmonner :

"Aïe, ça va chauffer. Si le conseiller l'apprend, je fais passer un sale quart d'heure..."

Il se releva en hâte, s'apprêtant à sortir de la salle quand il vit qu'il n'était vétu que d'une chemise de la veille et d'un pantalon court un peu crasseux. Il se déshabilla en vitesse, enfila une chemise noire avec le blason du Gondor brodé dessus et un pantalon en cuir en guise de première couche d'armure, une cotte de maille en acier léger et des jambières en métal solide pour la deuxième et termina avec un tabard du Gondor très semblable à sa chemise et mit un casque pour cacher ses cheveux mals coiffés. Il boucla sa ceinture et rentra sa lame dans le fourreau. Pour finir, il prit un harnais peu visible qu'il s'attacha dans le dos et auquel il accrocha son écu, lui aussi de la marque du gondor, l'arbre d'argent. Il laissa ses pieds nus, aussi efficace que des bottes et sortit à l'extérieur.

Mais pendant ce temps, l'autre garde alla trouver le conseiller Guillemot et lui fit part de nouvelles exspérantes au sujet de l'hobbit. Effectivement, tout le monde devait être levé à 7h00 du matin et il est à présent 9h00 ! Peregrin Touque avait sauté deux heures précieuses vu la situation à dormir ! Après avoir terminé son rapport, le soldat s'en alla et quelques minutes plus tard, Peregrin Touque débarqua dans ses habits rapidement. Il fit un salut militaire devant l'intendant et d'après le regard de celui-ci, il semblait être au courant de la faute de Pippin. Maintenant, il fallait savoir comment il allait le prendre. Malgré tout, Pippin suivit le protocole et déclara sur un ton solennel lui donnant un air peu crédible :

"Seigneur Guillemot, j'ai désobéit aux ordres et je viens m'en repentir, je suis près à faire ce que vous désirez..."

Le hobbit attendit là, un genou à terre devant l'humain. Sans le savoir, il venait peut être de se lancer sur le chemin de la guerre, car si Guillemot avait besoin de communiquer via un messager avec l'armée aux portes de la cité ou d'envoyer une réponse aux soldats de Dale, il pouvait alors faire appel au hobbit. Mais il pouvait également le garder à ses côtés ou bien le renvoyer auprès des gardes.

[ Personelemment, je me vois bien assurer ta protection, mais c'est toi qui vois Smile

]

( HJ: J'ai pas eu le temps de suivre la bataille!!^^ dsl...)

Durant la l'attaque du Nazgûl, à cause de son genou, Elbarâd avait eu beaucoup de mal à assurer. Il avait pris un mauvais couo derrière la tête par le Nazgûl et s'était évanoui durant le reste de la journée.
Ce beau matin là, sur Minas Tirith, Elbarâd gisait sur le dalage d'une pièce d'une tour. Il ne sais pas comment il était arrivé là mais il y était. Il avait la tête d'une lourdeur insupportable et son genou allait un peu mieux. Il se leva, remit sa cape correctement, ainsi que sa queue de cheval ( comme à son habitude ) et sortit de cette pièce. Il se rendit soudain compte qu'il n'avait pas mangé depuis 4 jours. Il fallait absolument qu'il trouve quelque chose à se mettre sous la dent.
En quête de nourriture, Elbarâd ouvrait toutes les salles de cette partie de la tour. Il eut la surprise de découvrir derrière une lourde porte de bois un hobbit tout endormi, scène assez comique, il est vrai. Elbarâd se retint d'éclater de rire. Il reprit vite son serieux, et, en tant que Capitaine de Minas Tirith, il se devait de signaler le retard de Peregrin à son poste. Mais pour limiter les dégâts du retard de l'insouciant hobbit, Elbarâd claqua volontairement la porte derrière lui, ce qui avait pour but de reveiller Peregrin.
Elbarâd se rendit à Guillemot et lui expliqua la situation, le prevenant quand même de ne pas trop gronder Peregrin. Veiller sur le Pelennor toute la nuit n'est pas tache aisée. Elbarâd fit mine de s'en aller mais resta dans la salle, tranquillement adossé à une colonne quand Peregrin débarqua en courant dans la salle.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

( Tiens, salut toi ! Smile

Youpi ! 50 messages ! )

Le hobbit resta planté là, devant le conseiller Guillemot, dans la grande salle d'audience de la Citadelle dans laquelle l'écho de ses paroles s'entendait encore. Il finit par se relever et se tint bien droit en tenant le manche de son épée, crispé. Pippin regarda dans la salle, étonné de voir le capitaine Elbarâd posté dans un coin de la salle. Il se souvenait d'avoir un jour combattu à ses côtés à Osgiliath lors de l'année précédente parce que les orques avaient tentés de forcer le passage mais c'était tout. Il hocha très discrètement de la tête dans sa direction en guise de salut, puis reporta son attention vers le conseiller qui allait rpondre d'une minute à l'autre.

Malgré la dure journée de labeur et une longue veille pour surveiller les alentours, j'avais pu dormir un peu et me reposer assez, j'avais vu les quelques personnes partir, j'étais un peu déçue mais comme une belle matinée s'annonçait, je renfrognais ma déception. J'avais rejoins les gardes ainsi que Guillemot dans la salle d'audience, je vis arriver Peregrn Touque un peu désemparé par sa bêtise, malheureusement il en faisait bien souvent. Je souriais de son malaise mais j'avais pris un peu peur lorsqu'il se mis sous les ordres de Guillemot. Je m'avançais vers eux.

C'est une noble tâche que vous avez accompli hier soir jeune Touque, je tenais à vous remercier personnellement ...

Je ne savais pas trop quoi dire mais cette phrase m'étais venue toute seule. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu le hobbit, sa présence me faisait bien pliasir. Je lui souriais pour tenter de le rassurer

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Lorsque les paroles de l'elfe retentirent dans la salle, Pippin sursauta, car il n'avait pas vu l'elfe arriver, à moins qu'elle avait été là depuis le début, il n'en savait rien. Il se tourna vers elle et s'inclina comme le voulait la coutume au Gondor et déclara :

"-Bonjour à vous, noble dame elfe !"

Pippin était confus, car il n'avait pas la moindre idée de qui était cette elfe, qui elle semblait le connaître ! Il avait rencontré tant de personnes ces derniers mois qu'il avait du mal à se souvenir de tout le monde. Il préféra s'arrêter là et se tourna une fois de plus vers Guillemot qui gardait le silence. Le hobbit esperait que celui-ci n'était pas en train de lui préparer l'un des châtiments reservés aux déserteurs ou d'autres choses dans le genre...

Invité

Depuis la veille, beaucoup de monde avait quitté la cité blanche et le nazgûl n'avait pourtant pas quitté son poste. Il comptait bien régler son compte à Saresh, mais il était inutile de le suivre, car ses serviteurs lui serviront de bouclier, le lâche ! Non, il préféra attendre la sortie de Guillemot du Gondor, qui partirait forcement lui aussi. D'abord, le rôdeur et ses troupes, puis l'elfe de la veille, cet idiot d'humain sortira, Ulairë en était certain...

( Désolé, pas grose inspiration, ce matin, je suis meilleur quand il y a de l'action Very Happy

)

Elbarâd essayait de contrôler les hurlements de son ventre quand Elenwë prit la parole. Il ne l'avait pas apperçu en rentrant dans la salle. Elbarâd decida de s'avancer dans la salle pour atténuer le gêne que le jeune Peregrin devait ressentir. Il boitillait encore un peu mais sa douleur commençait à disparaître. Il se dirigea vers Peregrin.

" Dites moi. Durant votre veille des Champs du Pelennor cette nuit, n'avez vous rien vu d'anormal, des mouvements de troupes discrets, des apparitions... Je suis sûr que le Nazgûl n'est pas loin. Il reviendra, c'est sûr. et si jamais c'est le cas, je pourrais me défendre normallement. Mon genou va beaucoup mieux."

Il se tourna vers Guillemot.

"Qu'en pensez-vous?"

» Arrive avec ses soldats
» Arrive avec le prisonnier
» Arrivé avec le Roi de l'Harad
» Arrivé avec Thorin II
» Aragorn arrive avec Trangand